"La réforme des retraites devra nous conduire à revaloriser le profil de carrière des enseignants" (@EPhilippePM, l… twitter.com/i/web/status/1…
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La retraite (entre autres) des enseignants
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Et en 2019, de bonnes nouvelles en perspective :
Pour information générale :
- Les tables de mortalité INSEE : www.insee.fr/fr/statistiques/3311422?sommaire=3311425
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A niveau de qualification égal ?

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"Si l’on applique brutalement la prise en compte des primes et les nouveaux modes de calculs aux enseignants, eux s… twitter.com/i/web/status/1…
"Si l’on applique brutalement la prise en compte des primes et les nouveaux modes de calculs aux enseignants, eux sont perdants. Il faudra des mesures salariales." - @delevoye, à l'Assemblée nationale
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Les statisticiens de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) dit: les assurés ayant eu une carrière complète et ayant cotisé uniquement à la fonction publique d'Etat percevaient en moyenne une pension de 2572 euros,
Loys dit: votreargent.lexpress.fr/retraite/retrait...u-prive_2089974.html
A niveau de qualification égal ?
Bien sûr que non. On ne compte ici que les fonctionnaires "ayant cotisé uniquement à la fonction publique d'Etat". Il y a donc au moins deux gros biais qui démolissent cette étude :
- Une grosse partie des agents publics des catégories ouvrières ont été embauchés sous statut d'ouvrier d'Etat. Ils ne sont donc pas comptés dans l'étude. D'autres ont été transférés de la fonction publique d'état vers la fonction publique territoriale. Se concentrer sur le seul régime de la fonction publique d'Etat permet donc, comme le sous-entend Loys, de focaliser sur une population à haut niveau de qualification.
- Par ailleurs, la moyenne de la fonction publique d'Etat est fortement tirée vers le haut par les retraites de beaucoup de hauts fonctionnaires, qui s'échelonnent entre ultra-confortables et extravagantes. Si au lieu de prendre la moyenne, les auteurs de cette étude publiaient la médiane du public et du privé, on aurait je pense des résultats très différents.
Bref, cela ressemble à une étude de commande, publiée pour emballer une réforme inique.
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Une remarque finale dans l'intervention de M. Macron laisse perplexe à propos des enseignants : "à des moments de la carrière on ne doit plus être devant des élèves" (8'18) : "C'est pas vrai qu'on peut être devant des élèves jusqu'à 65 ans de manière innocente [...] à 55 ans on en a marre, on est usés : donc il faut pouvoir avoir un job un rectorat ou dans des fonctions où on sera moins exposé aux élèves". On parle ici d'une bonne centaine de milliers d'enseignants...
Mais les questionnements les plus importants sont ailleurs et méritent une petite analyse :
Une pension actuelle de 1.200€ ?
Une enseignante de Rodez s'étonne de la pension moyenne actuelle des enseignants évoquée par M. Macron, à savoir 1.200€. M. Macron persiste et demande les chiffres à M. Delevoye : il découvre en direct (4'19) que la pension actuelle des nouveaux retraités enseignants est de 2.600€, chiffre qui laisse sceptique M. Macron : "A mon avis, 2.600€, il faudra me dire comment on les retrouve [...] Moi je pense que mes 1.200 je suis pas dans le faux" (4'40).
Fort opportunément, une enseignante présente dans la salle témoigne qu'elle touche 1.140€ : sa carrière n'étant pas connue, difficile d'expliquer un tel écart avec la moyenne (carrière courte ? à mi-temps ?). Mais pour M. Macron la conclusion s'impose (4'50) :
"Ah... Donc je suis pas dans le faux. Bon, ça me rassure. Voilà, c'est bien. Donc, quand je vous disais 1.200€, j'étais pas dans le délire. [Applaudissements] Non, mais c'est très important parce que... attendez, là on parle de beaucoup de chiffres, je veux quand même clarifier les choses pour vous [...] Quand je vous dis que je suis autour de 1.100-1.200€, je suis pas entièrement déconnant, par rapport à une fin de carrière d'un prof. Il y en a qui touchent beaucoup plus quand ils font des heures sup', quand ils sont agrégés ou autres, il y en a qui touchent un peu moins : je suis peut-être en dessous de la moyenne mais je suis dans la réalité, et votre voisine le montre" [...] "Ça montre bien que notre système actuel, il n'est même pas lisible pour les actifs qui sont fonctionnaires [...] un enseignant aujourd'hui de la fonction publique d'état ne sait pas calculer sa retraite et il a peur."
A la fin de l'intervention, s'adressant au professeur :
Je corrige aussi des a priori anxiogènes qui sont faux
2.500€ en moyenne dans le premier degré, 2.850€ en moyenne dans le second degré ( source ) : les écarts existent mais ils n'ont rien d'extraordinaire ni d'illisible.
Cette volonté, de la part de M. Macron, de "clarifier les choses" en s'appuyant sur un cas atypique sans rapport avec la moyenne et de conclure que le système n'est pas "lisible" à partir de chiffres non significatifs a donc bien quelque chose de singulier.
Pourquoi une telle insistance à vouloir démontrer que le système serait à ce point inégalitaire ? qu'il ne serait pas lisible ? à affirmer que la pension moyenne des enseignants serait de 1.200€ et non de 2.600€... si ce n'est pour préparer les esprits à des pensions à peine meilleures, et ce au nom de la justice et de la" transparence" ?
Rappelons que le minimum vieillesse est actuellement de 868€ et le prix médian d'un hébergement en EHPAD est de 1.950€ par mois ( source : MSS ). Il est vrai que le président a également soutenu qu'on pouvait trouver des EHPAD à 1.500 ou 1.700€ par mois : selon la même source ministérielle, seuls 10% des EHPAD offrent des hébergements à moins de 1.700€ par mois.
Les privilèges des fonctionnaires : les six derniers mois à 75% ?
Des privilèges qui ne correspondent pas tout à fait à ce que M. Macron soutient par ailleurs, c'est-à-dire une pension moyenne de 1.200€...
M. Macron oppose les 25 meilleures années à 50% du salaire dans le privé et les six derniers mois à 75% dans le public. Une injustice, semble-t-il. Mais c'est oublier que, si l'on veut comparer avec le privé pour plus de justice, il faut donc comparer les retraites et les salaires (sur lesquels sont calculées les retraites) à niveau de diplôme équivalent (les salaires des enseignants sont inférieurs à ceux des diplômés du supérieur en général, tous diplômes confondus) : les salaires des professeur français en milieu de carrière sont précisément parmi les plus faibles de l'Union Européenne (dans le second degré, -20% par rapport à la moyenne de l'OCDE selon RSE 2018 ).
Les six derniers mois et les 75% compensent précisément des salaires beaucoup moins attractifs dans le public que dans le privé.
Dans la logique de M. Macron, il faudrait donc que les enseignants soient pénalisés dans leur carrière ET dans leur retraite ! Mais, pour faire accepter cette idée, il suffit de la présenter comme un progrès, comme nous allons le voir. Et quel progrès !
"repenser la carrière dans toutes ses composantes"
M. Macron reconnaît implicitement que le passage au taux le moins favorable serait désastreux pour les enseignants ("on va se donner du temps pour repenser la carrière"). Il confirme d'autre part qu'il n'a nullement l'intention - tout en disant qu'il veut le faire... - de "revaloriser" les salaires des enseignants (ou plutôt de rattraper leur grave perte de pouvoir d'achat de ces dernières décennies) (7') :
Si je revalorisais, comme je veux le faire, l'ensemble des enseignants - quand on parle de l’Éducation nationale dans notre pays, on parle d'un million de fonctionnaires : c'est le premier employeur du pays - si je voulais les revaloriser comme c'est, c'est dix milliards : on ne peut pas mettre dix milliards demain ! C'est vos impôts, ou c'est la dette pour nos enfants
Curieusement, M. Macron affirme que la carrière des enseignants "progresse peu", "avec des bonds quand vous passez le Capes ou l'agrégation" (sic) : cette dernière affirmation laisse perplexe. La progression dans la carrière est très nette (à un rythme variant selon l'avancement) en points d'indice : ce qui ralentit désormais grandement cette progression, c'est la perte progressive de valeur du point d'indice que l'actuel gouvernement perpétue.
Pour M. Macron, "il faut que la carrière progresse davantage" pour qu'"on paye mieux"... mais sans revaloriser le point d'indice qui permettrait de "payer mieux" tous les enseignants : il faut donc en conclure qu'une telle "progression" ne peut concerner qu'une partie des enseignants (dans une logique de saine concurrence entre collègues), la majorité étant condamnée à ne pas être payée mieux et à subir, par conséquent, non seulement des salaires qui ne progressent pas mais un effondrement des pensions.
Plus clairement, que le métier "change"... en augmentant le temps de travail de certains (ou de tous) pour espérer compenser au moins pour partie l'effondrement de leur pension alignée sur le régime général. Un belle "revalorisation", en effet !Peut-être aussi on change le temps de travail et la relation au travail. Je pense que les enseignants de votre génération, ils sont tout à fait prêts - ils le font d'ailleurs bien souvent, hors du temps scolaire ! - d'accompagner les jeunes différemment, que ce soit valorisé, que ça puisse être demandé aux enseignants, que le métier change. Qu'on regarde aussi les périodes de vacances par rapport aux autres.
Curieux glissement. On ne parle plus du million d'enseignants, ici, mais d'une petite minorité de personnels... de direction (dont le travail serait plus éprouvant que celui des simples enseignants) : pour plusieurs centaines de milliers de professeurs du secondaire, il y a une dizaine de milliers de collèges et lycées en France.Et puis qu'on pense la carrière en valorisant beaucoup plus qu'on ne le fait aujourd'hui les périodes d'encadrement - aujourd'hui quand vous êtes directeur dans le primaire, directeur de collège, c'est terrible, c'est sous-valorisé, ça crée des situations de stress très dures.
En rappelant que le bilan social du ministère faisait état pour les personnels de catégorie A non enseignants (19% de primes) d'un salaire moyen en 2016 supérieur de 35% aux salaires des personnels de catégorie A enseignants (12% de primes) dans l’Éducation nationale...
Seulement ceux du système de demain qui auront accepté des fonctions d'encadrement ou une charge de travail supplémentaire (moins de vacances, service hebdomadaire accru), le reste ne relevant donc pas d'une carrière "plus intelligente". Quant à la grande majorité des autres...Il faut que les retraités du système de demain se retrouvent au même niveau que les retraités du système d'aujourd'hui mais avec une carrière plus intelligente.
Et ne parlons pas des contractuels (8%), dont le recrutement explose actuellement et dont les perspectives de carrière sont nulles.
Avec des dispositions aussi catastrophiques (plus de travail pour seulement compenser un effondrement des retraites), nul doute que M. Macron prend la bonne direction pour résorber la terrible crise des vocations qui frappe l'école depuis bientôt une décennie.
Pour résumer : une séquence saisissante dans laquelle la méconnaissance manifeste du dossier retraite des enseignants se révèle finalement très utile...
Jean-Michel Blanquer sur la réforme des retraites: "Nous ne mettrons pas les enseignants dans une situation où ils… twitter.com/i/web/status/1…
Analyse convergente de Pascale Fourier sur son blog de "Mediapart" du 6/10/19 : blogs.mediapart.fr/pascale-fourier/blog/...-vous-etes-deconnant
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▶ #Retraites des enseignants Pour Jean-Paul @delevoye, "si nous appliquons brutalement le système tel que nous l'a… twitter.com/i/web/status/1…
www.lejdd.fr/Politique/jean-michel-blanq...eves-remonte-3928920
Les professeurs s'inquiètent de la réforme des retraites, qui pourrait aboutir à une baisse de leur pension. Pouvez-vous les rassurer?
Une application du projet de réforme des retraites sans mesure d'accompagnement pourrait avoir un impact négatif sur les professeurs. Le reconnaître est déjà un pas important. Or le président de la République et le Premier ministre ont toujours dit que nous n'entrerons pas dans cette réforme sans traiter cette question.
Emmanuel Macron a ouvert la porte à une revalorisation des salaires, mais qui serait liée à une augmentation du temps de travail et à une réduction des vacances. Vous confirmez?
Il a dit que c'était l'occasion de réfléchir au professeur du XXIe siècle, à sa place, à ses missions. Pour moi, le professeur doit redevenir central dans la société, en apportant plus d'humanité dans une civilisation de plus en plus technologique. C'est un grand chantier ouvert pour que la fonction d'enseignant soit reconnue avec le prestige et l'attractivité qu'elle mérite. Ça passe par la rémunération et les conditions de travail. Pour les vacances, le vrai sujet est le soutien scolaire : il faut des vacances pertinentes, éducatives, pour les enfants défavorisés. Des professeurs s'impliquent, leur engagement peut ouvrir des perspectives d'amélioration de leur pouvoir d'achat.
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Sur la réforme des retraites, ma lettre aux Professeurs: -les pensions ne baisseront pas. -Pour y arriver, les rém… twitter.com/i/web/status/1…
Merci @jmblanquer pour cette mise au point nécessaire. Les professeurs ont tout à gagner de cette réforme des retr… twitter.com/i/web/status/1…
Et ce courrier adressé à tous les enseignants de France :
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.@jmblanquer sur la compensation de la #réformedesretraites chez les enseignants : "On ne peut pas lâcher de chiffr… twitter.com/i/web/status/1…
Tribune d'Eric Oudin : www.liberation.fr/debats/2019/12/09/refo...e-professeur_1768192
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Edouard Philippe dit: Il serait inacceptable que les enseignants perdent le moindre euro de pension compte tenu de cette application. Cela ne se produira pas. Nous inscrirons dans la loi la garantie que le niveau des retraites soit sanctuarisé et comparable au niveau des retraites ou des fonctions équivalentes dans la fonction publique.
Selon "Le Monde", "il semble effectivement que l'âge de 64 ans concerne tous les gens qui prendront leur retraite après 2027" (âge pivot).
www.gouvernement.fr/des-garanties-apportees-aux-enseignants
www.education.gouv.fr/cid147735/reforme-...aux-enseignants.html
Diagnostic
La pension de retraite des fonctionnaires est actuellement calculée sur la base du traitement des six derniers mois, sans les primes.
La pension du système universel sera calculée sur les revenus de l’ensemble de la carrière, y compris les primes. Cela implique de mieux prendre en compte la situation spécifique des professeurs de l’éducation nationale, des universitaires et des chercheurs, dont les primes sont faibles par rapport à celles de fonctionnaires comparables, et qui seraient pénalisés par l’application aveugle des nouvelles règles, sans changement par ailleurs.
Enjeux
L’évolution de la pension de ces personnels dans le système universel est une réelle préoccupation à la fois pour des raisons évidentes d’équité, mais aussi d’attractivité des métiers.
L’enjeu est donc de revaloriser progressivement leurs rémunérations de manière à maintenir le niveau de leurs pensions.
Mesures
Le Gouvernement garantit aux enseignants et aux chercheurs que leurs pensions ne baisseront pas. Cet engagement figurera dans la loi.
Ces personnels bénéficieront ainsi d’une revalorisation progressive et significative de leurs primes. Ces éléments devront se décliner dans le cadre du dialogue social propre aux deux ministères.
La première génération concernée par la réforme partira à la retraite à partir de 2037 : comme les autres salariés, les personnels nés avant 1975 et qui partiront donc dans les 17 années qui viennent ne constateront aucun changement dans les modalités de calcul de leur retraite.
Ceux qui partiront à partir de 2037 auront, comme les autres fonctionnaires, une fraction de leur pension correspondant à la durée de l’activité professionnelle exercée avant 2025, calculée avec les règles actuelles ; et une seconde fraction de leur pension calculée en points avec les règles du système universel, à partir de 2025. La part de la pension calculée avec les nouvelles règles augmentera donc progressivement : pour la première génération concernée qui partira à partir de 2037, elle représentera moins d’un tiers de la pension totale.
La revalorisation des primes des enseignants et des chercheurs qui leur permettra de ne pas subir de baisse de pension pourra donc intervenir elle aussi progressivement, avec une première étape en 2021. Elle portera en priorité sur les débuts de carrière.
Pour ce qui concerne les personnels de la recherche, cette réflexion s’inscrit dans le contexte plus global de l’élaboration de la loi de programmation pluriannuelle de la recherche. La présentation de ce texte en Conseil des ministres au premier trimestre 2020, sera l’occasion de poser la question de l’attractivité des carrières et de revaloriser dès 2021, les carrières des personnels de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Le Ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse et la Ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation engageront des négociations avec les organisations syndicales d’enseignants et de chercheurs avant la fin de l’année 2019. Elles devront aboutir d’ici le printemps 2020.
Comment peut-on "garantir" des pensions sur la base de des primes par essence variables d'un enseignant à l'autre ? Les enseignants du primaire ne bénéficient d'ailleurs que de très peu de "primes" (le terme incluant les heures supplémentaires).Le Gouvernement garantit aux enseignants et aux chercheurs que leurs pensions ne baisseront pas. Cet engagement figurera dans la loi. Ces personnels bénéficieront ainsi d’une revalorisation progressive et significative de leurs primes.
Pour les enseignants nés en 1975, "qui auront faire une grande partie de leur carrière dans l'ancien système et une… twitter.com/i/web/status/1…
www.francetvinfo.fr/economie/retraite/re...esseurs_3741219.html
L'expression "enveloppe globale" est ambiguë : s'agit-il d'une augmentation progressive ou cumulée ? C'est très différent...L'enveloppe globale d'augmentation pour les enseignants atteindra "forcément, sur plusieurs années, plusieurs milliards", estime Jean-Michel Blanquer. Quant au chiffre de 400 à 500 millions par an déjà évoqué dans les médias, Jean-Michel Blanquer affirme qu'il s'agit d'un "ordre de grandeur" mais que "ce serait une erreur de donner des premiers chiffres aujourd'hui puisque, précisément, ça doit résulter à la fois du dialogue social et des différents calculs que nous avons à faire."
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EN DIRECT | #Retraites : @EPhilippePM participe à un débat avec des professeurs à Nancy pscp.tv/w/cMPEVTFlZGpu…
www.estrepublicain.fr/edition-nancy-et-a...er-a-nancy-en-direct
"Garantir les pensions des professeurs", c'est "un engagement solennel du Premier ministre qui sera inscrit dans la loi", confirme-t-il. "Elles ne baisseront pas", mais "vont augmenter très substantiellement", promet-il. "Nous le planifierons sur plusieurs années."
www.lesechos.fr/politique-societe/societ...es-retraites-1156467
La revalorisation des enseignants "C'est à peu près 10 milliards et donc c'est infaisable en une fois, mais si vous regardez l'effort sur une durée de 10 à 15 ans, il est totalement différent."
15/12 : www.lefigaro.fr/actualite-france/reforme...on-blanquer-20191215
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Le titre de l'article rappelle quelque chose :
"Si on est un enseignant, on est un grand gagnant de la réforme" (@jmblanquer le 6 décembre 2019) twitter.com/MariestellPech…
Aucune mention dans "Le Figaro" du "simulateur" gouvernemental mis en ligne le 19/12/19 :
www.snes.edu/Retraites-le-simulateur-du-gouvernement.html
www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/201...6023620_4355770.html
Plus généralement : www.liberation.fr/debats/2019/12/19/retr...s-populaires_1770224
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www.liberation.fr/checknews/2020/01/02/l...s-de-pension_1771508
www.marianne.net/economie/bienvenue-aux-...voriser-les-systemes
blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/20...choc-budgetaire.html
www.liberation.fr/france/2020/01/05/rent...cir-le-front_1771762
www.liberation.fr/debats/2020/01/06/nous...es-grevistes_1771808
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Face à des enseignants réunis le 13 décembre dernier dans un gymnase de Nancy, le Premier ministre, Edouard Philippe, expliquait que le coût de la revalorisation salariale était "de l'ordre" de dix milliards d'euros. Répartis sur combien de temps ? "On a une dizaine d'années et parfois un peu plus pour revaloriser un peu plus les enseignants", répondait Edouard Philippe. Comme l'indiquait Jean-Michel Blanquer le 15 décembre dernier dans le Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, ces dix milliards devraient se répartir de 2021 à 2037.
Sauf que, ce lundi, le ministre de l'Economie est beaucoup plus prudent - voire carrément frileux - sur le montant dédié à la revalorisation du salaire des enseignants. "Là ça va être plusieurs centaines de millions d'euros, nous le savons. Je ne peux pas vous donner de chiffre exact…", hésite Bruno Le Maire, sans plus de précision sur la période ou la fréquence à laquelle les profs bénéficieront de ce budget. Surprise par ce premier louvoiement, Léa Salamé s'assure d'avoir bien compris : "Vous parlez de plusieurs centaines de millions d'euros, moi j'ai lu le chiffre de dix milliards d'euros, seulement pour que les profs gardent leur niveau de pension. Est-ce que c'est un chiffre qui est farfelu, dix milliards d'euros ?", demande-t-elle. BLM botte à nouveau en touche : "Je ne peux pas vous donner de chiffre précis avant que Jean-Michel Blanquer ait engagé les discussions avec les enseignants", répond-il, évoquant les négociations sur la revalorisation salariale ouvertes le 13 décembre par le ministre de l'Education nationale avec les organisations syndicales.
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Erwin Canard dit: Alors c'est cocasse, ça. Laurent Escure, de l'unsa, dit que le gouvernement assurera une revalorisation des profs de 10mds d'euros en ajoutant : ''Le gouvernement ne peut pas le dire mais moi je le dis'. Jean-Michel Blanquer : ''Nous sommes sur cet ordre de grandeur, jusqu'en 2037, et nous revaloriserons les professeurs de façon significative''. [...] Le ministre prend beaucoup de précautions au moment d'évoquer le budget de la revalorisation, et parle de ''ce chiffre'' mais ne le précise pas. Seul Laurent Escure a parlé de 10 milliards, le ministre ne veut certainement pas qu'on lui reproche ce chiffre s'il s'avère finalement plus bas.
Jean-Michel Blanquer devrait en être. Trop hâte de la question de Léa Salamé : "Jean-Michel Blanquer, pour beaucou… twitter.com/i/web/status/1…
www.liberation.fr/france/2020/01/10/retr...ans-le-texte_1772246
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www.liberation.fr/france/2020/01/11/retr...-de-philippe_1772514
«Je suis disposé à retirer du projet de loi la mesure de court terme que j’avais proposée, consistant à converger progressivement à partir de 2022 vers un âge d’équilibre de 64 ans en 2027», écrit le Premier ministre dans un courrier envoyé aux partenaires sociaux au lendemain de nouvelles concertations à Matignon sur le «financement» des retraites et en pleine journée de mobilisation à l'appel des syndicats. Pour bénéficier d’une pension à taux plein, sans malus, une personne née en 1960 devait, même si elle avait tous ses trimestres, travailler quatre mois de plus. Quatre mois supplémentaires pour une autre née en 1961 et ainsi de suite jusqu’à un âge pivot de 64 ans dès la génération 1965.
www.lemonde.fr/politique/article/2020/01..._6025556_823448.html
www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/202...6025607_4355770.html
www.lejdd.fr/Politique/reforme-des-retra...chit-au-49-3-3942509
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www.liberation.fr/debats/2020/01/14/les-...de-retraites_1772791
www.liberation.fr/france/2020/01/14/les-...es-retraites_1773019
"Public Sénat" du 14/01/20 : "Retraites : un article du projet de loi porte sur l’épargne retraite et la capitalisation"
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Le 16/01/20 sur le site du MEN : www.education.gouv.fr/cid147735/reforme-...aux-enseignants.html
Brève - Jean-Michel Blanquer - 16/01/2020
Après les annonces du Premier Ministre Édouard Philippe sur la réforme des retraites vers un système universel, mercredi 11 décembre, Jean-Michel Blanquer s'est exprimé sur l'impact de ce système pour les professeurs. Un dialogue et des négociations avec les organisations syndicales sont ouverts depuis le 13 janvier et s'échelonneront jusqu'à juin 2020 en vue d'une loi de programmation de revalorisations salariales.
Diagnostic
La pension de retraite des fonctionnaires est actuellement calculée sur la base du traitement des six derniers mois, sans les primes.
La pension du système universel sera calculée sur les revenus de l’ensemble de la carrière, y compris les primes. Cela implique de mieux prendre en compte la situation spécifique des professeurs de l’éducation nationale, des universitaires et des chercheurs, dont les primes sont faibles par rapport à celles de fonctionnaires comparables, et qui seraient pénalisés par l’application aveugle des nouvelles règles, sans changement par ailleurs.
Enjeux
L’évolution de la pension de ces personnels dans le système universel est une réelle préoccupation à la fois pour des raisons évidentes d’équité, mais aussi d’attractivité des métiers.
L’enjeu est donc de revaloriser progressivement leurs rémunérations de manière à maintenir le niveau de leurs pensions.
Mesures
Le Gouvernement garantit aux enseignants et aux chercheurs que leurs pensions ne baisseront pas. Cet engagement figurera dans la loi.
Ces personnels bénéficieront ainsi d’une revalorisation progressive et significative de leurs primes. Ces éléments devront se décliner dans le cadre du dialogue social propre aux deux ministères.
La première génération concernée par la réforme partira à la retraite à partir de 2037 : comme les autres salariés, les personnels nés avant 1975 et qui partiront donc dans les 17 années qui viennent ne constateront aucun changement dans les modalités de calcul de leur retraite.
Ceux qui partiront à partir de 2037 auront, comme les autres fonctionnaires, une fraction de leur pension correspondant à la durée de l’activité professionnelle exercée avant 2025, calculée avec les règles actuelles ; et une seconde fraction de leur pension calculée en points avec les règles du système universel, à partir de 2025. La part de la pension calculée avec les nouvelles règles augmentera donc progressivement : pour la première génération concernée qui partira à partir de 2037, elle représentera moins d’un tiers de la pension totale.
La revalorisation des primes des enseignants et des chercheurs qui leur permettra de ne pas subir de baisse de pension pourra donc intervenir elle aussi progressivement, avec une première étape en 2021. Elle portera en priorité sur les débuts de carrière.
Pour ce qui concerne les personnels de la recherche, cette réflexion s’inscrit dans le contexte plus global de l’élaboration de la loi de programmation pluriannuelle de la recherche. La présentation de ce texte en Conseil des ministres au premier trimestre 2020, sera l’occasion de poser la question de l’attractivité des carrières et de revaloriser dès 2021, les carrières des personnels de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Le Ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, Jean-Michel Blanquer, reçoit les organisations syndicales depuis le 13 janvier pour leur présenter la méthode et le calendrier de négociations pour les 6 mois à venir. L'objectif est de parvenir en juin 2020, dans le cadre d'une approche globale du métier de professeur, à un protocole d'accord sur des scénarios de revalorisation permettant de garantir aux enseignants un même niveau de retraite que pour des corps équivalents de la fonction publique. Ces discussions permettront de préparer l’élaboration d’une loi de programmation pluriannuelle.
Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, poursuit du 6 au 17 janvier les entretiens bilatéraux engagés avec les organisations syndicales autour de la loi de programmation pluriannuelle de la recherche. Une réunion multilatérale spécifique aura lieu le 24 janvier, afin de faire un point d’avancement sur le chantier relatif à l’attractivité des carrières des chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs et techniciens.
Quel montant de revalorisation pour les enseignants ?
Revaloriser le métier enseignant et rendre les carrières plus attractives sont des priorités pour le Gouvernement : compte tenu de la structuration des rémunérations des enseignants, ils ne doivent pas être lésés par la réforme systémique des retraites. En effet, les futures pensions ne seront plus calculées sur les six derniers mois de traitement mais sur l’intégralité de la carrière. Ces nouvelles modalités ne portent pas préjudice aux autres fonctionnaires de catégorie A dont les primes constituent une part importante de leur rémunération ; en revanche, elles modifient sensiblement les règles pour les enseignants qui perçoivent peu de primes.
Cette garantie a été réaffirmée par le Premier ministre dans son intervention devant le CESE, le 11 décembre dernier. Il a été notamment précisé que le projet de loi portera la garantie que les pensions des enseignants ne baisseront pas et que les personnels enseignants bénéficieront d’une revalorisation progressive et significative de leurs primes.
Ainsi, confirmant ces engagements, l’article 1er du projet de loi instituant un système universel de retraite, soumis au Conseil d’Etat, intègre ces éléments forts. Cet article porte aussi la garantie que les mécanismes permettant d’y arriver seront inscrits dans une loi de programmation pluri annuelle.
Dans le cadre des discussions avec les organisations syndicales, dont la première s’est tenue le 13 janvier, le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse a confirmé qu’un premier volet de revalorisation de 500M€ serait engagé dès 2021. Les modalités d’affectation de cette enveloppe feront l’objet de discussions dans les toutes prochaines semaines.
Même si tous les personnels sont concernés par la revalorisation, les enseignants en débuts et milieux de carrière seront plus directement concernés par la réforme. Cette revalorisation s’articule avec des améliorations du système public.
Les différentes étapes du dialogue social
De janvier à fin mars 2020 : phase de concertation avec les organisations syndicales
D'avril à juin 2020 : phase de négociation en vue du projet de loi de programmation
Avant fin juin 2020 : séances de synthèse en vue de la préparation du PLF-2021 et du projet de loi de programmation
Le processus de discussion a débuté en janvier avec des ateliers consacrés au premier degré et des ateliers second degré
Les ateliers premier et second degré se poursuivront en février sur l'amélioration du fonctionnement des collectifs pédagogiques et l'examen des premiers scénarios de revalorisation salariale. Par ailleurs des ateliers portant sur des thèmes communs se dérouleront en février et mars afin de traiter de la formation, de la qualité de vie au travail et l'amélioration de la condition enseignante et enfin de l'égalité professionnelle femme/ homme.
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21/01/20 : "Retraites : salariés, fonctionnaires, indépendants… qui va cotiser plus, qui va cotiser moins" (Les Echos)
23/01 : "Réformes des retraites : la CFDT crie victoire pour les fonctionnaires" ("Le Monde abonnés)
23/01/20 (tribune) : "Réforme des retraites : « Les femmes divorcées seront les grandes perdantes »" ("Le Monde" abonnés)
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25/01/20 : "Le Conseil d'Etat étrille le gouvernement" ("Libération")
Réaction le 28/01 à l'occasion d'une cérémonie de vœux ministérielle :
Laurent Pietraszewski dit: Nous entendons l'avis du conseil d'état mais nous avons pris un engagement politique de concertation sur une loi de programmation pour les enseignants. Nous l'assumons
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Etude d'impact, réforme des retraites, on y retourne. Voici les simulations sur des cas-types de professeurs des éc… twitter.com/i/web/status/1…
Des erreurs évidentes :
www.ouest-france.fr/economie/retraites/r...rojet-de-loi-6719343
www.humanite.fr/pensions-des-profs-letud...d-brut-et-net-684274
⚠️ Effectifs et traitements des fonctionnaires : les prévisions du gouvernement jusqu'en 2030 postulent que la part… twitter.com/i/web/status/1…
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Le système de retraites actuel a au moins l’avantage de garantir une pension d’un montant clairement déterminé. […] Comment l’avenir pourrait-il être désormais autre chose qu’une spéculation inquiète ? Dans notre "aujourd’hui" désabusé, las et laid, les lendemains ne chantent plus.
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M. Blanquer garde dans sa manche un atout : la revalorisation tout juste mise en chantier. Elle peut aussi devenir sa faiblesse.
« Il s’est battu avec Bercy pour l’obtenir, et voilà que le dossier retraites sort et qu’il découvre, comme tout le monde, que les enseignants, sans compensation, pourraient être les grands perdants de la réforme, raconte un proche du ministre. Or les enseignants ont besoin d’une revalorisation parce qu’ils le méritent, et pas parce que le calcul des pensions est bouleversé. L’imbrication des deux sujets, je suis sûr que le ministre ne l’avait pas anticipée. »
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Mais aussi cette tribune d'Antoine Bozio : "« Ce que ne dit pas l’étude d’impact sur la réforme des retraites »"
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