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Les pratiques de lecture de la jeunesse
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Dans "Rue des écoles" du 26/11/17 : "J'aime pas lire" .
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Un minimum de bon sens et d’observation nous souffle pourtant qu’on n’a pas cessé de lire, mais que la place de l’écrit et de l’écrivain a été, comme on dit, réassignée : peut-être que l’on achète moins de livres et de journaux, mais la plupart d’entre nous lisons et aussi produisons de l’écrit en timeline, sur Twitter, sur Facebook, et nous lisons et produisons (certes moins) des images fixes ou animées, sur YouTube, en stories sur Instagram ou Snapchat, etc.
Car « lire », ce n’est pas seulement abouter des lettres pour déchiffrer des mots, c’est surtout savoir interpréter. Or, quand on regarde le genre de « textes » que sont les stories, dont la réussite repose sur un habile contrepoint de l’écrit et de l’image, on se dit que la lecture n’est vraiment pas en reste, ni l’inventivité en péril. Et qu’on est passé d’un système légitimant des « auteurs » (qui sont, comme leur nom l’indique, « autorisés ») à une société où il n’est plus illégitime (ni non plus légitime) pour personne d’écrire et de créer.
Fabrique du sens
Parallèlement, on entend dire que la littérature est morte, mais on sait par ailleurs que cette plainte date du milieu du XIXe siècle et de l’industrialisation de l’édition. Rien de neuf dans le déclinisme, donc. Ce qui a changé peut-être, enrevanche, c’est que, comme l’a analysé Alexandre Geffen dans son essai Réparer le monde (Le Monde du 29 décembre 2017), les lecteurs du XXIe siècle attendent surtout désormais que la « réparation » apportée par la fiction soit un soin direct, un pansement, et non plus un travail.
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Extraits :
Le temps de lecture pris chaque soir par les parents avec leurs enfants est, outre-Manche, un rituel qui se perd dangereusement. En 2013, la proportion d'enfants de moins de 5 ans auxquels un adulte lisait quotidiennement dépassait les deux tiers (69 %). Elle a fondu à seulement 51 %.
Selon la dernière étude annuelle réalisée à l'automne par Nielsen Book Research afin de « comprendre la consommation de livres par les enfants », les 3-4 ans essuient ainsi la plus forte baisse observée toutes classes d'âge confondues, entre 0 et 17 ans. Or, s'ils ne savent pas encore lire, les enfants de cet âge sont plus enclins à manipuler des livres quand les adultes leur font la lecture régulièrement.
Selon l'étude, cofinancée par l'éditeur Egmont et récemment citée par « The Guardian » , 40 % des moins de 4 ans à qui l'on prend la peine de lire chaque jour regardent des livres par eux-mêmes quotidiennement. Une proportion qui monte à 73 % chez les enfants de 8 à 13 ans.[…]
La concurrence croissante du numérique, en particulier, se fait sentir dès le plus jeune âge sur l'appétit des petits Britanniques pour les livres. Trois parents sur cinq (61 %) se disent inquiets du temps passé par leurs enfants devant un écran. En particulier pour les garçons : 40 % de ceux âgés de 3 à 4 ans préfèrent être sur Internet plutôt que de lire.
Au total, pas moins de 28 % des enfants de cette classe d'âge regardaient quotidiennement YouTube en 2017... alors qu'ils n'étaient que 10 % en 2013.
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Les jeunes ne lisent plus? Allez petit fil (thread) ⤵️ sur ce marronnier de la pensée. On va faire dans le désordre… twitter.com/i/web/status/9…
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Implications
The pronounced shift away from legacy media and toward digital media among adolescent populations has implications across several areas. First, college faculty can expect that iGen students will have less experience reading longer form print, especially books, which may make it more difficult for them to complete class readings (Bartolomeo-Maida, 2016). Education will increasingly have to adapt as students experience the intake of information in fundamentally different ways. In addition, young digital media users tend to switch between tasks at a rapid pace, often every few seconds (Yeykelis, Cummings, & Reeves, 2014), a different model of attention than in previous generations, with still-unknown implications for education and the workplace. In business, marketers and advertisers will find that young consumers can be reached nearly exclusively online rather than through print, with TV a useful but shrinking medium for advertising to younger consumers (Southgate, 2017).
www.franceinter.fr/societe/les-adolescen...-les-reseaux-sociaux
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L’enseignant est un intermédiaire entre le monde des livres et le jeune lecteur, mais quelle place occupe aujourd’hui le livre jeunesse dans l’enseignement ? Parler du « livre jeunesse » et non de « littérature jeunesse » permet d’évoquer des pratiques pédagogiques variées dans de nombreuses disciplines.
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Rien sur les écrans ou les jeux vidéo...
www.franceculture.fr/emissions/les-pieds...ts-sans-substance-22
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Pourtant, le "Café" s'est donné beaucoup d emal pour moderniser l'étude des œuvres du patrimoine...
Pas de panique. Pour être moderne, il suffira : - de créer un compte Tinder pour Julien Sorel - d'imaginer la Une d… twitter.com/i/web/status/1…
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Il faut se pincer...« Il faut faire comprendre aux enfants et aux adolescents que leur cerveau est riche mais vulnérable, martèle Olivier Houdé
Et ensuite le relativisme qui, sous une fausse forme de dialectique, annihile toute pensée :
L'analogie avec l'écriture est idiote : "les penseurs" renvoient au seul Socrate qui la critique en tant que philosophe pratiquant le dialogue, le paradoxe étant que sa pensée (ou supposée telle) nous est rapporté par un livre de Platon, Le Phèdre...Un tel pessimisme nous pousse vers des réflexions opposées : et si nous étions, emportés par les alertes des neuroscientifiques, en train de dramatiser, comme les penseurs l’ont fait au moment de l’invention de l’écriture (horreur, on allait se « reposer » sur des mots écrits) ? De regretter un âge d’or de la littérature qui n’a sans doute jamais existé ? De sacraliser l’activité lecture et l’objet livre alors que le secteur des livres audio est en pleine santé (un Français sur dix en achète, 18 % en ont déjà écouté) ? Pire, de se concentrer sur la « culture légitime » et d’oublier que les littératures de l’imaginaire – et en particulier la science-fiction – connaissent un certain succès, notamment auprès des jeunes lecteurs ? Sans parler du triomphe des livres destinés aux young adults, des fan fictions et des nouvelles formes de littérature créées sur les réseaux sociaux…
Et quel rapport avec "un âge d’or de la littérature" ? Il est ici question de lire la littérature, pas de l'écrire...
"le secteur des livres audio est en pleine santé (un Français sur dix en achète, 18 % en ont déjà écouté" : ces chiffres parlent d'achat mais ne disent rien de pratiques de lecture. Comme si on disait que les Français mangent du quinoa parce que tel pourcentage y a déjà goûté...
L'évocation (comminatoire) des "cultures légitimes" (concept à définir) vient encore un peu plus stériliser la réflexion : comme si les "cultures légitimes" avaient interdit jusque là toutes les autres cultures... On voit bien qu'il s'agit d'évoquer les secondes pour faire oublier les premières et légitimer l'oubli des "culture légitimes", remplacées par les "nouvelles formes de littérature créées sur les réseaux sociaux"...
Voilà qui fait rêver...Le chercheur imagine qu’« à moyen terme, avec l’intelligence artificielle, les hologrammes, la réalité virtuelle, on devrait assister le lecteur dans sa visualisation, et lui permettre d’échanger plus avec ses personnages. On peut imaginer les lecteurs du futur comme des zombies hallucinés avec des implants rétiniens, vivant dans un monde fictif comme dans Matrix...
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Marie Grosbois "coordinatrice et rédactrice pour le Super Média" n'a jamais enseigné et n'a pas d'élèves : c'est dommage, elle aurait pu éprouver ce qu'il en est d'une telle "légende"...
Donc quatre livres dans le cadre des loisirs par trimestre... enfin, en réalité, si l'on consulte l'étude Ipsos 2016 , six livres en primaire mais seulement deux livres au collège par trimestre, soit un livre pour un mois et demi ; et par "livre" il faut entendre aussi bien roman que bande-dessinée ou manga.On va donc se faire un malin plaisir à faire mentir cette affirmation.
“En moyenne, les jeunes lisent six livres par trimestre, dont deux dans le cadre scolaire et quatre dans celui des loisirs.”
Ipsos pour le Centre National du Livre (2016) Les jeunes et la lecture .
Oui : "70% des jeunes déclarent aimer lire. Un tiers déclare même adorer"... mais lit peu : la lecture de livres par loisir [BD et mangas compris] arrive d'ailleurs "en 7ème position des activités les plus pratiquées hebdomadairement (68% en moyenne, 60% pour les garçons) derrière la TV (92%), les vidéos (88%), les amis (87%), la musique (86%), le sport (84%) et Internet (84%)."La nouvelle génération aime lire.
S'il faut mesurer des pratiques par la consommation, le marché du jeu vidéo en France atteint des records et son chiffre d'affaires se mesure, lui, en milliards...Pour le prouver nous nous sommes penchés sur les chiffres d’un secteur directement concerné et qui serait bien embêté si les jeunes n’ouvraient plus un livre : l’édition. Le secteur jeunesse est le troisième secteur de l’édition le plus rentable en France, avec tout de même 347,6 millions d’euros de chiffre d’affaire en 2018. Ce n’est pas pour rien que l’avant dernière édition de Livre Paris était principalement consacrée à la littérature Young Adult.
8h pour Internet... et autant pour la télévision : la compatibilité s'en trouve d'autant réduite.Au cas où vous seriez encore inquiets, on vous remet encore une petite couche de chiffres : 96% des jeunes âgés de 7 à 19 ans lisent régulièrement , et plus des ¾ d’entre eux affirment aimer lire pour leurs loisirs et pas seulement les livres imposés à l’école, en y consacrant minimum 3 heures par semaine. Ce qui laisse aussi la place à d’autres activités de loisir comme aller sur Internet qui leur prend, en moyenne, 8h par semaine.
Mais justement, on a tendance à trop souvent opposer lecture Versus Numérique, mais pas besoin d’un combat dans l’octogone, les deux sont compatibles.
On peut d'ailleurs lire dans l'étude Ipsos que "L’environnement familial infléchit fortement les pratiques de lecture, les jeunes qui sont les plus grands lecteurs et valorisent le plus la lecture sont ceux qui vivent dans un foyer où (entre autres) les parents contrôlent le plus Internet : temps passé, sites visités et moments de connexion".
Encore une "légende" !"Les trois facteurs majeurs qui jouent en défaveur de la lecture sont :
- La possession personnelle par le jeune d’une télévision, et dans une moindre mesure d’un smartphone ou d’un ordinateur
- L’absence de carte de bibliothèque dans le foyer et l’absence de livre au foyer
- L’utilisation assidue d’Internet (plus de 12 heures par semaine)."
Et les types de contenus aussi, beaucoup plus attractifs : réseaux sociaux, vidéos, jeux vidéos...Des horizons de lecture démultipliés par le numérique
Trêve de chiffres, c’est aussi, tout simplement, que les jeunes générations nées dans le numérique ont plus de choix. Avec un accès illimité à tous les contenus possibles et imaginables grâce à Internet, c’est comme si une bibliothèque géante de contenus était disponible. Les supports de lecture se sont eux aussi démultipliés : tablette, smartphone, liseuse.
Les micro-fictions sur Instagram et les "threads" sur Twitter promus comme pratiques de la lecture...Par ailleurs, il existe maintenant une multitude de nouveaux modes de narration donc de nouvelles façons de lire. Celles-ci ne sont pas forcément prises en compte dans les études, car ne respectent, pas totalement, le format roman donc plutôt des formats courts que l’on peut voir sur les réseaux sociaux : micro-fictions sur Instagram, thread sur Twitter, pour n’en citer que deux.
Mais pourquoi un tel besoin de mettre en avant de tels substituts à la lecture de livres alors qu'il a été démontré auparavant que les jeunes lisent ?

Il ne s'agit nullement de stigmatiser qui que ce soit mais de constater des pratiques de lecture réduites à peau de chagrin...Alors ne stigmatisons pas la nouvelle génération, mais laissons les choisir, mélanger et découvrir les possibilités qui s’offrent à eux.
Le "Super Media" de Marie Grosbois est rattaché à "Super Demain", un évènement très enthousiaste sur l'avenir numérique mais qui n'a lu Lewis Carroll... que très superficiellement : www.laviemoderne.net/forum/le-marche-de-...umerique/22462#22462
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Beaucoup d'arguments pour montrer que la littérature jeunesse n'est pas traitée comme "une « vraie » littérature", mais aucun pour justifier qu'elle en est. De fait, si la "littérature jeunesse" est de la littérature, pourquoi la distinguer ?
Enquête 2015-2019 Ipsos pour le CNL "Les Français et la lecture en 2019" montrant un progrès des taux de lecteurs (au sens large : incluant bandes-dessinées, comics et mangas) et une stabilité du nombre de livres lus. Si elle renseigne sur le taux de lecteurs, l'enquête ne quantifie selon les types de lecture (combien de livre lus de chaque "genre littéraire") ni l'âge.
Progrès de la lecture "fractionnée". Les grands lecteurs (20 livres [au sens large] et plus) sont plus nombreux (de 28% à 31%) mais surtout chez les plus âgés. La dynamique de lecture reste globalement en baisse : "Le manque de temps et la pratique d’autres loisirs (surtout pour les hommes et les jeunes) sont toujours les premiers freins à la lecture de livres".
64% des 15-24 ans reconnaissent que leurs autres loisirs ont un impact négatif sur la lecture.
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- Shane_Fenton
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Est-ce qu'on parle d'un public spécifique auquel on ne peut pas raconter la même chose qu'aux adultes ? (je pense notamment aux auteurs de polars, Thierry Jonquet et Frédéric Fajardie : pour avoir lu "Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte", je comprends qu'on ne veuille pas le faire lire à des marmots de 10 ans)
Est-ce qu'on parle d'une littérature reconnue par le plus grand nombre, mais qui a plus de succès auprès de cette tranche d'âge ? (au hasard, les Aventures de Huckleberry Finn, ou les Souvenirs d'Enfance de Marcel Pagnol, mon premier coup de coeur littéraire)
Ou est-ce qu'on parle d'un marché qu'on essaie à tout prix de légitimer parce qu'on a un peu honte de se reposer sur le seul succès commercial ?
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