L'école "42" de Xavier Niel

Et la suite sur "VousNousIls" du 16/07/13 : "42 de Xavier Niel : début de l'immersion dans l'école pour les candidats" .


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Nouveau témoignage au vitriol sur "Mediapart" du 22/07/13 : "42, l'école en carton de Xavier Niel et Nicolas Sadirac"

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Une copie ratée de l'Epitech

C'était prévisible, mais pas à ce point.
Mon passage préféré :

Oublions déjà l'incapacité de l'équipe pédagogique à envoyer un courrier électronique ou à publier un document sans faute de grammaire basique...

Sinon j'aime bien les commentaires divers liés à cet article.

Un témoignage plus positif sur ce blog : laurenecastor.com/42-les-chroniques-dune-noyee/

Le point de vue est peut-être positif, mais les faits sont toujours là, même si certains principes sont intéressants, il y a des valeurs bizarres.

A lire sur "EducaVox" du 3/11/13 : "ECOLE 42, mais est ce vraiment une école ?"

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A lire sur le blog "Obsession" du Nouvel Obs : "42, une école d'informatique pour 'sauver la France'"

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"Ici, c'est l'opportunité de construire. 42 est une communauté. Les élèves se rencontrent, s'aident. La compétition n'existe pas", assure-t-il. "Participer à un tel projet, une école gratuite, ça change du système actuel."

C'est sûr que ça change de l'école publique qui est payante et qui - comme 42 - sélectionne ses élèves.

"On a 40% d'élèves qui n'ont pas le Bac.

Aujourd'hui, pour ne pas avoir le Bac, il faut pourtant une sacrée volonté...
Une affirmation qui mériterait donc d'être vérifiée.

A Gundz d'enchaîner : "L'enseignement est bien mieux qu'ailleurs. Rien à voir avec le collège où tu es assis au fond de la classe à écouter les bobards de ton prof."

Comparer les études supérieures et l'enseignement secondaire a beaucoup de sens.

Depuis 20 ans, Nicolas Sadirac peaufine une méthode pédagogique particulière : "Je me suis rendu compte que les élèves apprennent mieux sans professeurs.

Et ça a l'avantage d'être bien moins cher.
En plus, des centaines de Mac alignés, ça en jette un max pour un coût finalement dérisoire en comparaison de la masse salariale annuelle d'une équipe de professeurs...

Le corps enseignant n'apporte que du négatif.

On retiendra surtout cette aimable généralisation.

Deuxièmement, parce que l'élève ne trouve aucune motivation et ne comprend rien avec la méthode traditionnelle d'enseignement."
Alors Nicolas Sadirac, en expérimentant avec ses équipes, a décidé de mettre les élèves tout de suite en situation avec des défis et des projets.

Il faudrait faire ça aussi avec tous les enseignements, et dès le primaire.

"Nous voulons sauver la France.

En toute humilité.

Ou tout du moins, devenir le patch pour digitaliser l'économie française."

On en revient à ce qui compte et ce qui compte seulement : l'économie.

A lire sur "EducaVox" du 12/12/13 : "L’enfant n’est pas une feuille blanche sur laquelle on écrit"

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