- Messages : 18131
Les derniers résultats de PISA
- Loys
- Auteur du sujet
www.education.gouv.fr/pid37635/pisa-prog...quis-des-eleves.html
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18131
Premiers articles avant la publication des résultats le 3/12/19 :
- "Le Monde" (avec notre analyse) : "A l’école du « grand écart » : le niveau des élèves français est-il si mauvais ?"
- "Les Echos" : "Education : comment Pisa note les systèmes scolaires"
- "L'Express" : "Enquête Pisa: à quoi servent les comparaisons internationales?" avec Eric Charbonnier
- "Libé" : "Barême Pisa : pour les profs, «le test est froid et rationnel»"
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
- Le "JDD" : "L'inventeur du classement Pisa : "La France a besoin de rendre le métier d'enseignant plus attractif"
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
Quelques commentaires :
C'est vrai mais Andreas Schleicher ne formule aucune remarque sur un système éducatif qui institutionnalise la ségrégation scolaire. Ou sur la Chine qui ne présente que les provinces les plus favorisées et exclut de son système scolaire (et donc de l'enquête PISA) les enfants venus du reste de la Chine...Quand vous êtes un enfant d’immigrés ou de famille défavorisée, vous avez moins de chances de réussir que dans la plupart des autres Etats de l'OCDE. Pour un pays qui prône l'égalité, c'est très frappant!
Andreas Schleicher approuvait de même l'action des ministres précédents...Depuis son arrivée, le ministre de l’Éducation, Jean-Michel Blanquer, multiplie les réformes. Vont-elles dans le bon sens?
Globalement oui.
"revaloriser le métier d'enseignant ?Revaloriser le métier d’enseignant, faire davantage pour les élèves les plus défavorisés ou insister sur les fondamentaux, c’est central.
Dédoubler c'est donc "parfois une condition nécessaire" mais finalement moins "important" que la qualité de l'enseignement : allez comprendre !Dédoubler les classes de CP-CE1 et bientôt les grandes sections de maternelle dans les écoles défavorisées, c’est un bon moyen pour réduire les inégalités?
C’est parfois une condition nécessaire. En Finlande, les professeurs ont 30% de temps en plus pour enseigner en petits groupes, et ça marche. Le succès n’est pourtant pas garanti. Car il faut aussi changer leurs comportements, leurs pratiques, et ça, c’est plus difficile. En réalité, la qualité de l’enseignement est plus importante que la taille des classes. La preuve : Singapour, avec quarante élèves en moyenne, a un système éducatif très performant.
Pour le reste, s'il s'agit de réduire les inégalités, c'est un très mauvais exemple que Singapour puisque selon PISA 2015 c'est l'un des pays les inégalitaires (voir notre billet note 3 )...
Le ministre n'oublie certainement pas "l'école numérique", comme en atteste son action depuis 2017... Pour le reste, on peut donc considérer que l'enseignement du français n'a peut-être plus de raison d'être une priorité "à l'ère du numérique"...Le ministre met l’accent sur le français et les mathématiques. À l’ère du numérique, n’y a-t-il pas d’autres priorités?
"s’adapter", "travailler en équipe" (et non en groupes) : la langue devient celle du management d'entreprise...Les élèves ont besoin aujourd’hui d’un large éventail de connaissances et de compétences : ils doivent savoir travailler en équipe, s’adapter, se tromper et réessayer.
On aimerait bien savoir sur quoi se fonde ce jugement de valeur lapidaire. A noter la contradiction immédiatement apportée...En France, on leur apprend surtout à connaître par cœur les bonnes réponses, pas trop à les chercher. Malgré tout, c’est important de leur donner des bases solides.
Andreas Schleicher applaudit donc la future réforme des concours 2022.La formation initiale est donc essentielle. L’étude Pisa montre qu’il faut privilégier la pratique plutôt que les connaissances académiques.
Selon la DEPP RERS 2019 p. 70) "depuis vingt ans, la quasi-totalité des enfants âgés de trois à cinq ans est scolarisée (98,9 % à la rentrée 2018) : l'instruction obligatoire à partir de trois ans n'est qu'une mesure symbolique. M. Schleicher connaît bien mal le système éducatif français pour prétendre lui donner ses ses conseils...Rendre l’école obligatoire à 3 ans, ça change vraiment la donne?
C’est important de tendre la main, très tôt, aux familles défavorisées. Mais ça ne suffit pas. La moitié des pays de l’OCDE ont des systèmes éducatifs intégrés entre 0 et 6 ans. Ce qui veut dire : un ministre de l’Éducation impliqué, des enseignants qualifiés et des objectifs pédagogiques fixés dès le plus jeune âge. La France devrait s’en inspirer.
Les moyens, c'est comme les effectifs : secondaire. La politique consistant à "attirer les meilleurs profs" n'a pas de sens dans le système français, où le recrutement n'est pas local. Le problème n'est pas d'"attirer les meilleurs profs", mais de faire en sorte que les professeurs nommés aspirent à rester en poste.Le gouvernement a prévu de revoir sa politique d’éducation prioritaire. Que faudrait-il faire?Les directeurs d'école appellent à l'aide : "On est sans cesse sur le front, sans reconnaissance ni avantage"
Ce dont les écoles défavorisées ont le plus besoin, c’est d’une expertise, de savoir comment attirer les meilleurs profs, plus que d’un gros chèque du ministère.
Alors qu'en France, les jeunes professeurs débutants n'exercent pas en éducation prioritaire : la méconnaissance du système éducatif français est décidément atterrante...Les exemples étrangers le montrent. Dans la province de Shanghai, par exemple, un enseignant ne peut pas faire carrière sans avoir exercé plusieurs années dans un établissement difficile.
Sur quoi se fonde ce nouveau jugement de valeur ? On ne le saura pas. Encore une politique de désinvestissement éducatif, avec l'apprentissage plutôt que l'enseignement professionnel.Les cours ne sont plus cantonnés aux établissements scolaires. C’est une bonne chose : dans ces filières, on apprend mieux au sein d’une entreprise que dans une salle de classe.
Mais, curieusement, M. Schleicher oublie de préciser que l'orientation valorisante dans la voie professionnelle se faitd ès onze ans en Allemagne par exemple...Le défi pour la France, c’est maintenant de "valoriser" la voie professionnelle. Les élèves issus de milieux défavorisés y sont encore surreprésentés. Contrairement à la Suisse ou à l’Allemagne, ça reste un choix par défaut.
De nouveau la langue du management : elle est ici obscène. Car c'est précisément la défausse des institutions scolaires sur les directeurs et directrices d'écoles qui expliquent le suicide de Christine Renon. Dans sa dernière lettre, elle ne demandait pas "une autonomie ou un leadership renforcés", "la possibilité de prendre des risques" etc...Une directrice d’école maternelle s'est récemment suicidée. Les chefs d’établissements sont-ils particulièrement mal lotis en France?
Diriger un établissement scolaire devient difficile, en France comme ailleurs. Mais les directeurs d’école ont ici beaucoup de responsabilités et… un pouvoir de décision très limité. Il faudrait décentraliser davantage, renforcer leur autonomie et leur leadership. Ils devraient avoir la possibilité de prendre des risques, de mobiliser de l'argent pour innover ou attirer des talents.
On voit mal en quoi l'embrigadement et la mise en concurrence de professeurs dont la formation serait donc moins académique pourraient rendre le métier "intellectuellement" plus attractif. Pour ce qui est de "financièrement", on voit encore une fois que ce point est secondaire malgré le très important écart des salaires des enseignants français, pas même évoqué ici.La France a besoin de rendre le métier d’enseignant plus attractif, financièrement mais surtout "intellectuellement". Il faut proposer aux profs des carrières plus attrayantes, leur donner la possibilité de travailler ensemble, de comparer leurs pratiques, de s’impliquer dans la recherche.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18131
T1 www.oecd-ilibrary.org/education/pisa-201...volume-i_5f07c754-en
T1 (français) www.oecd-ilibrary.org/education/resultat...volume-i_ec30bc50-fr
T2 www.oecd-ilibrary.org/education/pisa-201...btZK.ip-10-240-5-163
T3 www.oecd-ilibrary.org/education/pisa-201...lume-iii_acd78851-en
Note pour la France : www.oecd.org/pisa/publications/PISA2018_CN_FRA_FRE.pdf
Dans la presse :
6h15 www.lemonde.fr/education/article/2019/12...6021428_1473685.html
8h59 www.lesechos.fr/politique-societe/societ...ves-francais-1153200
9h00 www.leparisien.fr/societe/nouveau-classe...-12-2019-8208645.php
9h00 www.challenges.fr/education/pisa-l-ecole...-selon-l-ocde_687647
9h00 www.lexpress.fr/actualite/societe/enquet...litaire_2109679.html
9h01 www.liberation.fr/france/2019/12/03/pisa...mais-stables_1766933
9h06 www.francetvinfo.fr/societe/education/cl...te-pisa_3727845.html
9h17 www.lemonde.fr/societe/article/2019/12/0...re_6021440_3224.html
11h12 www.lemonde.fr/education/article/2019/12...6021463_1473685.html
11h52 www.courrierinternational.com/article/ed...cruter-plus-de-profs
12h26 www.lepoint.fr/education/pisa-2018-la-fr...019-2351040_3584.php
16h21 www.slate.fr/story/184872/classement-pis...ference-fait-opinion
17h15 www.lesechos.fr/politique-societe/societ...ure-scolaire-1153371
18h22 www.lesechos.fr/politique-societe/societ...nt-ameliores-1153400
18h33 www.la-croix.com/Famille/Education/Etude...019-12-03-1201064279
20h41 www.liberation.fr/france/2019/12/03/rapp...t-tintamarre_1767100
www.lefigaro.fr/vox/societe/la-pedagogie...-francaises-20191206
Invalid consumer key/secret in configuration
Communiqué du MEN : www.education.gouv.fr/cid147361/enquete-...ncais-de-15-ans.html
Communiqué de presse - Jean-Michel Blanquer - 03/12/2019
Les résultats de l'enquête Pisa 2018 ont été communiqués par l'OCDE mardi 3 décembre. L'enquête PISA est menée dans 79 pays auprès de 600 000 élèves. 6 300 élèves français de 15 ans scolarisés dans 252 collèges et lycées français ont été testés. Ces élèves sont entrés au CP en 2008.
Tous les trois ans, Pisa évalue la capacité des élèves à utiliser des connaissances académiques (en compréhension de l’écrit, en mathématiques et en sciences) dans la vie courante. Une compétence majeure est testée à chaque fois à tour de rôle. En 2018, la majeure porte sur la compréhension à l’écrit comme en 2009 qui constitue donc le point de référence.
Après un fort décrochage entre 2000 et 2006, la France stabilise ses résultats en 2018 :
En compréhension de l’écrit, le score moyen des élèves français est stable à 493 (496 en 2009) et nettement au-dessus de la moyenne de l’OCDE (487 points). Les élèves français sont au niveau de l’Allemagne ou encore de la Belgique entre le 20 et 26e rang des pays de l’OCDE.
En mathématiques, le score moyen est de 495, légèrement au-dessus de la moyenne de l’OCDE (489 points en 2018 contre 490 en 2015). 11% des élèves sont très performants contre 37 % à Singapour.
Le poids des déterminismes socio-économiques est encore très fort mais ne s’accroit plus : 107 points d’écart (moyenne de l’OCDE 88) contre 110 points en 2009.
L’écart entre les résultats des filles et des garçons en compréhension de l’écrit est plus faible en France (25 points) que dans la moyenne des pays de l’OCDE (40 points). Cet écart se réduit car il s’élevait à 40 points en 2009.
L’enquête note que les pays qui ont le plus progressé ont agi à la fois sur l’organisation de leur système scolaire et sur les méthodes pédagogiques. Les méthodes explicites, systématiques et dont les résultats sont mesurés par des évaluations sont les leviers essentiels des progrès des systèmes éducatifs.
Ces constats viennent conforter le diagnostic posé il y a deux ans et demi à l’origine de la politique d’élévation du niveau et de justice sociale déployée. Afin d’attaquer à la racine la difficulté scolaire, la priorité a été mise sur l’école primaire : instruction à 3 ans, dédoublement des classes de CP et de CE1 en zone d’éducation prioritaire au profit de 300 000 élèves, dédoublement à venir des grandes sections de maternelle en zone d’éducation prioritaire, 8 000 postes créés depuis 2017, évaluations nationales pour permettre aux professeurs de mieux répondre aux besoins des élèves, renforcement des méthodes de lecture et de mathématiques, transformation de la formation continue des professeurs.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18131
La "Chine" revient au sommet du classement dans PISA 2018, avec une progression miraculeuse. J'ai édité mon billet sur la Chine dans PISA 2015 :
"Schneider: The Strange Case of ‘China’ and Its Top PISA Rankings — How Cherry-Picking Regions to Take Part Skews Its High Scores" (10 décembre 2019)
Réponse d'Andreas Schleicher sur son blog du 12/12/19 : "Beyond borders: What really matters when comparing student performance across countries"
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
Donc pour M. Schleicher, les critiques seraient celles de mauvais perdants, les systèmes éducatifs occidentaux étant surclassés par les quatre provinces chinoises. Il reconnaît néanmoins que "l'OCDE insiste dans ses rapports sur le fait que les résultats [des quatre provinces] ne devaient pas être interprétées comme représentant l'ensemble de la Chine". Il affirmait pourtant en 2010 que les résultats de 12 provinces de Chine testées par PISA (mais dont les résultats n'étaient pas publiés) montraient que "même dans certaines des régions les plus pauvres on obtient des performances proches de la moyenne de l'OCDE".
L'argumentaire de M. Schleicher s'appuie ensuite sur d'autres exemples de participations partielles, "en raison de considérations techniques, administratives ou politiques" (sic), pour justifier l'étrange exception chinoise dans PISA : certaines régions de la Belgique ou du Royaume-Uni dans le IEA, la province canadienne d'Alberta dans TALIS, ou la Flandre belge, Jakarta au lieu de l'Indonésie et l'Angleterre avec l'Irlande du Nord dans PIAAC. M. Schleicher, qui ne recule davant aucun paradoxe, va jusqu'à louer ces participations partielles comme permettant de mieux comprendre les politiques éducatives.
Au delà du fait de considérer l'Angleterre comme l'équivalent d'une province chinoise, aucun exemple de M. Schleicher n'est pris dans PISA, qui classe donc indifféremment des villes, des régions et des pays, et aucune réponse n'est apportée sur le fait que, de surcroît, la "Chine" dans PISA n'est jamais représentée par le même panel de provinces depuis 2012 (avec les variations de performance gigantesques que l'on constate) : on voit donc mal en quoi cette approche - non seulement partielle mais variable - serait plus fine...
M. Schleicher ne fait évidemment aucune mention, en évoquant les leçons à prendre des provinces chinoises, du scandaleux hukou qui y sévit : les Chinois, nous dit M. Schleicher, ne se sentent pas "menacés par d'autres façons de penser" et sont "ouverts au reste du monde". Tellement ouverts que les Chinois choisissent soigneusement quels résultats de quelles provinces l'OCDE peut publier et quels élèves peuvent être évalués !
Toute critique est ainsi écartée (sans réponse aux objections) comme relevant de la mauvaise foi : M. Schleicher sait "ce qui compte vraiment quand on compare les performances des élèves d'un pays à l'autre" !
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18131
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
Accuser le redoublement (devenu résiduel !) ou mieux la compétition pour les grandes écoles (à quinze ans !) et ne pas mentionner une seule fois les conditions d'enseignement (ce qui explique peut-être la moindre disponibilité des enseignants...) ou la ségrégation institutionnelle du privé et du public en France... Il y a des sociologues qui pratiquent une sociologie étonnante ! Une bonne nouvelle cependant : Mme Duru-Bellat, qui avait fondé ses analyses passées sur une erreur de traduction ( en 2008 par exemple ), n'évoque plus le sentiment d'appartenance.
Autre tribune d'un "expert international" : "Roger-François Gauthier : « PISA nous révèle une école rigide, qui formate comme elle est formatée »"
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
Accuser les notes ou la formation trop disciplinaires des enseignants "tellement formatés" et enseignant eux-mêmes des savoirs "formatés" : PISA a cette vertu que les experts internationaux comme M. Gauthier ont l'occasion de promouvoir à nouveau publiquement leurs convictions souvent très idéologiques. Pour un "expert", confondre la pédagogie et l'éducation...
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18131
« Pour être mieux classés dans les tests PISA [Programme international pour le suivi des acquis des élèves de l’OCDE], les autorités éducatives ne cherchent qu’à renforcer les mathématiques et l’anglais, au détriment des LV2. Parmi elles, le français est la plus frappée par le décret car c’est la plus étudiée », souligne Purificación Gomez, présidente de Madrigalia.
www.lemonde.fr/international/article/202...re_6070067_3210.html
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18131
Dans "Le Monde" (abonnés) du 5/12/23 : "Comment les gouvernements français ont fait de l’enquête PISA un instrument politique dans l’éducation"Oui il y a une baisse de niveau, il faut la regarder sans fard, il faut le dire et surtout y répondre.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18131
Revue de presse
Les enseignants dans la ligne de mire de Marie-Caroline Missir (Canopé) ! www.lopinion.fr/politique/les-enseignant...-collegues-europeens
Dans "Le Monde" (abonnés) du 5/12/23 cette synthèse : "PISA 2022 : une baisse sans précédent des résultats des élèves français, comme partout ailleurs dans le sillage du Covid-19"
Voir aussi : "PISA : un élève français sur deux se plaint du bruit et du désordre en cours"
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18131
De façon amusante, "la Chine", première dans PISA 2018, n'a pas vu sa performance baisser dans PISA 2022, contrairement à la plupart des pays. Et pour cause : elle n'a pas participé à l'enquête !Vous pouvez commenter ici le billet du 11/12/16 (édité en grande partie le 4/12/19) : "Les miracles chinois - Hauts et bas du classement de la « Chine » dans PISA"
Chinese provinces/municipalities (Beijing, Shanghai, Jiangsu and Zhejiang) and Lebanon are participants in PISA 2022 but were unable to collect data because schools were closed during the intended data collection period.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18131
Les élèves qui avaient 15 ans en 2022 avaient donc 10 ans en 2017.Emmanuel Macron écrit: Pourquoi les résultats Pisa sont mauvais ? Parce qu'ils ont été conduits sur des classes qui n'ont pas été touchées par les réformes que nous avons menées au 1er quinquennat.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.