La lecture numérique

A lire sur le site de la revue Skhole.fr | penser et repenser l'école, cet article "Critique de la lecture numérique : The Shallows de Nicholas Carr ", par Alain Giffard.


Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.

The shallows » signifie les eaux peu profondes, les bas-fonds ; l'image renvoie à la superficialité et à la dangerosité

La dangerosité est liée au risque de naufrage, et on traduira dans ce cadre par "haut-fonds", ou mieux encore, par "écueil" (de même étymologie que "risque").

A.

PS : remarque superficielle de ma part. Le contenu de l'article est tout à fait intéressant.

A lire sur "ActuaLitté" du 14/01/13 : "L'ebook commence à séduire les jeunes américains" .


Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.

Jusqu'à présent, les enfants n'étaient pas les plus grands fans du livre électronique, ce qui est plutôt étonnant quand on considère leur grande capacité d'adaptation aux nouvelles technologies.

Comme c'est étonnant, en effet.

Pour l'instant, les livres pour enfants ne représentent pas grand-chose dans le volume des ventes de livres électroniques. Mais la démocratisation des tablettes, plus adaptées pour la lecture de livre jeunesse, va certainement changer la donne.

Une bonne raison d'acheter une tablette à votre enfant, donc !

Un avantage certain a été reconnu à l'ereading par Scholastic. Le Chief Academic Officer, Francie Alexander, a déclaré : « la lecture numérique semble offrir une opportunité excitante d'attirer et de motiver les garçons et les lecteurs réticents à lire plus de livres.

On se motive et on y croit !

Loys écrit: A lire sur le site de la revue Skhole.fr | penser et repenser l'école, cet article "Critique de la lecture numérique : The Shallows de Nicholas Carr", par Alain Giffard.

J'ai bien remarqué que les étudiants lisent les sujets d'examen non de façon linéaire, mais comme on lit une page web : en diagonale, en évitant les publicités, à l'affut, parmi des dizaines de sites plus ou moins pertinents, de l'info que l'on cherche. Or, dans un sujet d'examen, TOUT est important. Je ne m'explique pas autrement le fait qu'ils demandent s'il faut répondre sur le sujet ou sur copie séparėe, alors que la réponse figure en toutes lettres sous leurs yeux, qu'ils répondent å une question en faisant ce que je dis explicitement qu'il ne faut pas faire. En fin de compte, ils ne "lisent" pas.

Puisqu'on en parle, quand je rédige un sujet d'examen, j'ai presque à chaque fois la tentation de mettre certaines phrases en gras, histoire que le élèves ne les loupent pas. Pourquoi ? Parce que j'ai une confiance limitée en leur capacité à lire attentivement un sujet.
Le plus souvent, je résiste à la tentation, mais pour combien de temps ?

A lire (en anglais) dans le "Washinton Post" du 07/04/14 : "Serious reading takes a hit from online scanning and skimming, researchers say" par Michael S. Rosenwald.

Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.

Ce qui devient logiquement dans "RSLN" du 15/04/14 : "Comment notre cerveau s'adapte à la lecture numérique" ...

Heureusement il existe des solutions !
Sur "EducaVox" du 8/08/14 : "Lire à l’écran : (re)tournons (à) la page " par François Jourde.

Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.

Sur ce blog du "Monde" le 12/09/14 : "Non, on ne mémorise pas moins bien sur Kindle que sur papier !" par Hubert Guillaud.

Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.