Ainsi donc l'École est responsable du cyberharcèlement en explosion.
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Le harcèlement en ligne
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L'enquête se limite au harcèlement sexuel, ce qui modifie quelque peu la perspective. Cette forme de harcèlement étant plus grave et moins communément partagée, il semble logique que les harceleurs évitent de se compromettre en ligne. Le harcèlement "présentiel" est beaucoup moins compromettant. Il semble délicat de tirer des conclusion sur le harcèlement sur les réseaux sociaux ("L’idée très répandue selon laquelle les pratiques en ligne sont devenues le premier vecteur de confrontation à la violence n’est pas tenable") à partir du cas du cas particulier du harcèlement sexuel.
Par ailleurs, personne n'imagine que les réseaux dits "sociaux" créent le harcèlement. Ils n'en sont évidemment qu'un vecteur, mais un vecteur incroyable puisqu'il n'offre plus de limite dans le temps (le harcèlement peut se produire à tout moment) et dans le public (le harcèlement peut être partagé à grande échelle).
Évidemment puisque la classe est le lieu où s'exerce une autorité, déjà moins sensible hors de la classe.94,7 % des élèves se sentent bien en classe, 81,7 % se sentent en sécurité dans l’établissement
Certes mais le harcèlement en ligne… n'existait pas auparavant.En revanche, sur l’ensemble des variables comparables, la proportion d’élèves victimes est toujours plus importante en présentiel qu’en ligne.
C'est sûr que les attouchements en ligne…Sur les violences à caractère sexuel, les proportions sont non seulement significatives en présentiel [...] Ce sont ainsi 14 % des filles qui signalent avoir subi des attouchements sexuels (toucher les seins, les fesses ou les parties génitales sans consentement), contre 6,7 % de garçons. Ce sont aussi près d’un tiers des filles qui disent avoir été confrontées à des gestes sexuels qui les ont mises mal à l’aise.

Personne n'a jamais prétendu que "seules" les "réponses techniques" pouvaient suffire. Mais cet article dédouane un peu facilement les objets numériques, au sujet il serait bon également de s'interroger puisqu'ils permettent, par exemple, l'exposition de plus en plus précoce à la pornographie : l'étude dénonce bien "un sexisme [...] bien trop ordinaire".
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Le problème, ce n'est pas l'écran sans supervision parentale dès le plus jeune âge, mais le harcèlement...
Les réseaux sociaux à un âge inapproprié, ça ne pose visiblement aucun problème à un ministère qui par ailleurs envisage d'équiper tous les élèves de tablettes.Najat Vallaud-Belkacem dit: Éduquer prend ici tout son sens ; dans la famille, à l’école, dans les médias, pour que cessent ces violences répétées. Le harcèlement peut aussi débuter mais surtout se prolonger sur un téléphone portable, une tablette, un ordinateur, par des centaines de SMS, des vidéos, des photos, des commentaires injurieux sur les réseaux sociaux, sur les forums ou sur les jeux en ligne.Le cyberharcèlement n’offre aucun répit et c’est pourquoi j’ai souhaité que cette deuxième journée « Non au harcèlement » y soit consacrée. Ce ne sont pas les outils ou les réseaux sociaux qu’il faut combattre mais bien les mauvais usages, les comportements et les propos déplacés qui parfois s’y répandent.
Et @najatvb se rend chez @facebook France pour l'opération #nonauharcelement twitter.com/elsagpp/status…
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En savoir plus sur www.lemonde.fr/campus/article/2016/11/03...#mXKxGh0DyF3sU5uV.99Est-ce que vous constatez une hausse du cyberharcèlement ?
On ne constate pas d’augmentation, non. Parce qu’en général le harcèlement ne se passe pas qu’en ligne. S’il est virtuel, c’est qu’il s’est déjà produit dans la réalité. II se prolonge en ligne. La différence, c’est que ça ne s’arrête jamais, et que les jeunes ont plus de mal à en parler.
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Mais rien pour l'immense majorité des collégiens qui contournent les restrictions d'âge.Mais quelle est la politique de Facebook en matière de protection des plus jeunes ?
Des protections et des paramètres spécifiques par défaut sont installés pour les jeunes de 13-17 ans qui ouvrent un compte Facebook.
Dit autrement : il faut leur apprendre à bien utiliser le service commercial qu'est Facebook.Il est donc important d'initier les jeunes à une maîtrise des règles de confidentialité de leur compte et à une bonne pratique des réseaux sociaux .
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Un indice de cyber-harcèlement a été construit en comptabilisant le nombre de fois où apparaissent les cyber-violences. Les filles y sont un peu plus exposées : 16 % déclarent au moins une de ces violences contre 14 % des lycéens. Un lien fort apparaît entre cyber-violence et les autres formes de violences, qu’elles soient psychologiques ou physiques. Cette affirmation est d’autant plus vraie pour les garçons qui sont en situation de harcèlement : un tiers des garçons qui ont déclaré un cyber-harcèlement ont aussi déclaré une multivictimation forte contre 22 % des filles.
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Premiers cas de harcèlement d’élèves sur le réseau #sarahah, avec le gros problème de l’anonymat. Et chez vous, che… twitter.com/i/web/status/9…
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Célébrée cette année le 8 novembre, la 4e édition de cette journée a pour thème central le cyberharcèlement, qui se développe depuis plusieurs années sur les réseaux sociaux. En 2017, 18 % des collégiens ont été victimes de rumeurs, diffusion de vidéos, ou usurpation d’identité sur ces réseaux, 11 % y ont été insultés ou humiliés, tandis que 7% déclarent avoir subi au moins 3 attaques, ce qui pour l’Education nationale s’apparente à du cyberharcèement.
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The 16-year-old had been receiving anonymous messages for months, according to a federal lawsuit filed Monday in California, through a popular Snapchat app called Yolo. The messages included sexual comments and taunts over specific incidents, such as the time he’d fainted in biology class at his Portland, Ore., school.
The messages had to be coming from people he knew, but the app’s design made it impossible for him to know who was behind it. If he replied to the taunts, Yolo would automatically make the original message public, revealing his humiliation to the world.
His family found him dead June 23, 2020.
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Suicide de Lucas: dans l'Éducation nationale, des profs souvent "dépassés" face aux élèves LGBT+… twitter.com/i/web/status/1…
S'agissant du jeune Lucas, treize ans, qui s'est suicidé en janvier 2023, l'institution scolaire, voire les professeurs, sont mis en cause... mais pas l'absence de modération sur les réseaux sociaux, auxquels elle n'a pas accès.
L’habitude a été prise, semble-t-il, de renvoyer Lucas à son orientation sexuelle. Comme ce jour où, sur le groupe Snapchat de la classe, le nouveau a posé une question sur un exposé. Le tacle a fusé : « quesqui veut le LGBT ? ». Suivent les messages indignés de deux élèves (« mais enfin t homophobe ou quoi ? »), et l’intervention de la mère de Lucas dans la conversation : « Je coupe le Snap de Lucas, au moindre souci je viens au collège. »
www.leparisien.fr/societe/apres-le-suici...DOLGMVXE7D554U7Q.php
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