Bon, en fait, il ne s'agit pas vraiment d'une "correction numérique". C'est juste qu'une étape de numérisation a été intercalée dans le processus de correction humain...
Un investissement jugé plus qu'acceptable au regard non seulement du stress engendré pour les candidats, mais aussi du coût que représenterait la réorganisation d'une épreuve en cas de perte de copies.
A ce stade de la réflexion il faut indiquer combien d'épreuves sont concernées chaque année pour une telle réorganisation, afin de comparer le coût d'une généralisation de cette procédure avec le coût total de telles réorganisations.
