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Éric Delcroix (3) - "et si le prof piégeur d'élèves avait aussi pourri les médias ?" (28/03/12)
- Loys
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Plutôt que de réfléchir à l'expérience, continuons à la mettre en doute, contre toute évidence.et si le prof piégeur d'élèves avait aussi pourri les médias ?
Aucune consultation ? Non, aucun achat, ce qui est sensiblement différent comme nous l'allons voir.Depuis la fin de la semaine dernière et notamment le passage éclair à Europe 1 pour exprimer mon opposition au « prof piégeur », trop occupé à mes activités professionnelles, je me pose à 3 h du mat. C’est parce que je n’ai pas besoin de contacter les deux sociétés mises en cause dans l’article d’origine pour leur demander des informations sur les statistiques de visite et de téléchargement sur les commentaires mis en ligne par notre éminent spécialiste.
Un commentaire dans l’un des deux billets précédents m’informe qu’ils ont publié l’information (sur Oboulo et Oodoc). Aucune consultation de la part des élèves et de quiconque sur les 2 sites .
Pas du tout, et je ne m'en suis jamais caché. Relisons l'article : "[les sites] ont publié exactement le même corrigé, en mettant en ligne gratuitement l’introduction, le plan et des extraits importants, le reste étant en vente pour quelques euros."Donc, contrairement à ce que dit Loys, permettez moi de vous appeler Loys puisque nous avons participé à la même émission, donc contrairement à ce que vous insinuez dans comment j’ai pourri le web, votre 3ème étape a été un échec.
Il vaudrait mieux, car je n'ai rien touché !Je me gausse (pas mal de connaître ce mot pour quelqu’un qui n’en possède que 300 selon certains commentaires à mon propos) lorsque je lis votre second article : Retour sur un petit maelström médiatique. À vouloir trop en faire parfois on s’y perd. Et, je ne pense pas que les 2 sociétés aient donné cette information à la légère.
Eh oui, nous sommes plusieurs...En effet, sous votre plume (enfin, j’espère que c’est la vôtre car après tout, pourquoi ne seriez-vous pas plusieurs à avoir orchestré cette communication d’envergure suite à votre expérience que je juge désastreuse ?
Vous pouviez aussi poser des questions ici, M. Delcroix. Je vais donc répondre pour la énième fois : parce que cette expérience n'était pas destinée au reste du monde, mais à mes élèves. Le but n'était pas de démontrer que mes élèves trichent, mais qu'ils prennent conscience de façon saisissante de leur servitude au web.Je note que lors de votre passage à « notre » émission radio, à la question pourquoi l’avoir publié 1 an et demi plus tard, il n’y a pas de réponses…).
Vous doutez qu'ils aient été validés ? Et pour cela vous vous appuyez sur les communiqués qui expliquent pourquoi ils ont été retirés ? Un petit problème de logique élémentaire, semble-t-il.Mais, c’est vrai lecteur, vous attendez les raisons de mes ricanements… Rappelez vous… Pas une consultation, pas un téléchargement et je lis : «Les sites de corrigés en ligne payants, ma vraie cible, ont promptement retiré mon corrigé qui sommeillait sur leurs pages depuis un an et demi. Ils avaient pourtant été validés par des « comités de lecture »… » C’est un gag ? Rassurez moi mon cher Loys… Vous nous l’avez fait exprès pour voir si nous savons lire ce que vous écrivez ?
Puisque vous le dites...Au passage, pour vos aficionados (mince, je connais aussi ce mot), je n’ai pas dit que j’approuvais ou non ce type de service, le débat n’est pas là.
Je ne l'ai pas insinué, je l'ai affirmé...Vous avez juste insinué que les élèves avaient utilisé votre corrigé. Aucun ne l’a fait.
Car à l'évidence un témoignage indirect, anonyme et sans preuve vaut plus que plusieurs témoignages directs de mes élèves, à visage découvert !La baudruche se dégonfle ? Oui, je connais d’avance vos commentaires… : la preuve. Il suffit de se référer (encore un mot en dehors des 300… dites donc, vos supporters ne sont pas très perspicaces ou ne savent peut-être pas consulter et analyser l’environnement d’un article dans un blog, il faudra leur apprendre un de ces jours !) il suffit donc de regarder ce que vous écrivez pour tenter de nous faire croire que le témoignage de Camille Tête-David (elle a aussi diffusé ces informations dans Le plagiat, le professeur et la documentaliste sur son blog) rapporte «des témoignages d’élèves « humiliés », sans un commencement de preuve». La balance de mon côté pencherait naturellement vers cette dame que je ne connais pas personnellement.
Et comment des élèves pourraient-ils avoir été "humiliés" si aucun n'a utilisé le corrigé ? Encore un autre petit problème de logique élémentaire.
Ceux de vos articles qui me sont consacrés ont suffisamment de succès pour ce qu'ils valent, croyez-moi. Mais je comprends votre rancœur de blogueur professionnel, amateur de statistiques de fréquentation et utilisateur de Twitter effréné.Fort astucieusement, vous ne citez pas mon blog en parlant «Des « blogs » assez peu sympathiques, voire diffamatoires, ont cherché à surfer sur le succès de cet article».
Vu mon traitement sur votre site (voir articles 1 et 2 ), je regrette d'avoir posté des commentaires et je m'abstiendrai à l'avenir.J’assume complément mes propos sous la colère… car je dois faire partie de l’un des types de blog. Et, je vous rassure ma petite notoriété me sied (encore un ! J’espère que votre « amie » n’est pas enseignante de français et ne note pas ses élèves comme elle émet des jugements sur mes productions) ma petite notoriété me sied très bien et je n’ai pas besoin de répondre à vos articles pour cela, mais si vous souhaitez réellement qu’il y ait débat, il est peut-être normal que la contradiction se fasse entendre. Je réitère mon invitation à débattre publiquement de nos points de vue dans un débat équitable en durée…
Lesquels ?Je ne résiste d’ailleurs pas au plaisir de vous conseiller de rechercher ainsi qu’à vos amis qui mettent en exergue un titre de journal de la presse locale —mince, encore une fois, les personnes de votre entourage, au sens large du terme, n’ont jamais appris à contextualiser un auteur… c’est grave, selon moi, pour des enseignants de Français classique ou moderne selon moi ! Il est urgent de faire une formation aux enseignants, qu’ils apprennent à lire une page web ! — donc de compulser mon blog, parmi les 1 800 articles (1 800 trolls selon certains de vos amis) à plusieurs occasions, j’évoque le succès d’un site, d’un article de blog, du rôle et des responsabilités, de l’influence des blogueurs avec un nombre d’abonnés conséquent, audience qui peut maintenant s’étendre sur les médias sociaux, etc. Cela vous (vous-même et vos amis) permettrait de relativiser certains de vos jugements.
C'est une des plaies du métier d'enseignant : toute personne qui est passée par l'école, c'est-à-dire presque tout le monde - se croit légitime pour donner des conseils de pédagogie. Pour ma part, je me garderai bien de donner de conseils professionnels dans un métier que je ne pratique pas.D’ailleurs, j’espère que vous n’avez pas commis l’erreur de m’inclure dans les «personnes qui ne sont ni professeurs de lettres, ni même professeurs tout court, ont vilipendé mon « manque de respect pour mes élèves » ou mon « absence de pédagogie ».» C’est vrai que depuis l’émission, au pire des cas, vous savez que l’on ne peut pas me mettre dans ce même paquet. Je note au passage que les parents chez vous n’ont pas le droit de posséder un jugement s’ils ne sont pas enseignants professeurs.
En l'occurrence, porter des jugements pédagogiques quand on ne connaît même pas les exigences des exercices du baccalauréat est assez atterrant.
Surtout qu'un commentaire de texte n'est pas un travail documentaire...Je vais même aller dans votre sens… Merci aux seuls certifiés de s’exprimer sur le sujet. Les agrégés en fac, vous n’avez pas le titre de professeur, ni les maîtres de conférence… (pour ceux qui ne sont pas dans le domaine, Professeur est un titre à l’université) Et puis, seuls, les certifiés de français d’ailleurs peuvent s’exprimer. Ceux qui travaillent dans le domaine des sciences de l’information dont les documentalistes n’ont rien à dire.
Pour une fois que la pensée unique du numérique est mise en infériorité, je m'en réjouis.Ce qui m’a amusé au début de l’émission, c’est que vous avez tout de suite annoncé le chiffre des visites sur votre site Cela vous tiens vraiment à cœur de cartonner…
Et je comprends votre aigreur : mon blog vient de naître, que je n'ai même pas de compte Twitter et l'article a été retweeté plus de 5000 fois. De votre côté, ce n'est pas faute d'essayer puisque vous tweetez des dizaines de fois par jour, la majorité de vos tweets étant auto-promotionnels.
Avec presque 100.000 J'aime Facebook c'est vrai que c'est impossible.Je ne dois pas m’être trompé tant que cela lorsque je juge votre comportement par rapport à vos élèves et au lycée, car c’est comme cela que vous introduisez également votre maelström médiatique. Dommage que l’on ne puisse faire le décompte de ceux qui l’ont jugé positif et de ceux qui ont été scandalisé à la lecture de votre prose. Mais, nous le savons vous et moi, cela est impossible…
Le Scoop-It de Marie-Anne Paveau est effectivement intéressant puisqu'il procède d'une vraie démarche objective, comme tout le monde peut le constater.Je remarque que de jour en jour de nombreuses voix, toujours plus nombreuses, s’élèvent en opposition à vos méthodes pédagogiques… le scoop-it L’affaire du « pourrisseur du web ».Points de vue critiques en recense quelques-uns. C’est sans parler des réactions sur Twitter ou autres réseaux sociaux. Aussi, attention de ne pas « manipuler » les lecteurs lorsque vous parlez de vos collègues (vous parlez de quels enseignants ? la plupart de ceux de Neoprofs ? c’est sûr que cela leur a donné un bon coup de projecteur).
Sans nul doute. D'ailleurs vous y avez intérêt, n'est-ce pas ?Donc, nullement besoin de revenir sur vos faits pédagogiques, il suffit de consulter le web pour se rendre compte qu’il existe des dizaines de solutions où il n’est pas besoin de « pourrir » le web…
Mais peu importe, la démonstration vise le numérique sauvage, celui qui ne répond pas à un vrai objectif pédagogique, celui les élèves préfèrent consulter, celui qui pourrit notre pédagogie.
Parcourez cette section du forum.Mais, je ne pense pas que vous ayez pris la peine de répondre un tantinet sur le fond… comme vous avez évité de le faire en commentaire. Je pense que votre objectif n’est pas de faire avancer le dialogue sur le sujet !
Vous êtes trop bon.Juste une remarque. Malgré la virulence de mes propos, je n’ai jamais demandé l’intervention des instances d’inspection à votre encontre et je ne la demanderai jamais pour cette opération.
Avant le numérique.Par contre, ce n’est pas la remise en question du dogme sacré du numérique venant pallier les défaillances de l’école, mais plus simplement l’évolution de l’école que vous remettez en question. C’était mieux avant… avant quand d’ailleurs ? J’ai vécu comme écolier et comme collégien, pas vous en raison de l’âge, l’arrivée des math modernes dans les années 70 et bien, je peux vous assurer, ce n’était plus la même chose !
Votre définition du vandalisme est très... wikipédienne . Et je suis ravi de voir que vous avez des exigences déontologiques concernant Wikipédia, vous dont la page Wikipédia est si élogieuse (cf ma petite présentation de M. Delcroix ). Parfois je me demande qui pourrit vraiment le web sans le dire.Mais revenons quelque instants à l’article qui a tout déclenché. Si je comprends bien :
1ère étape : Wikipédia… Je reste persuadé que l’on aurait exclu de l’établissement un élève si c’était lui qui l’avait commis le vandalisme, même si pour vous il n’est pas grave de détériorer le travail d’autrui (il suffit d’écouter votre réaction à ce propos à « notre » émission) est pour moi impardonnable, même si je ne produis pas sur ce site. Il été évoqué pendant l’émission une réaction officielle de Wikipédia,
Ce qui a fait monter ma colère c’est que lors de votre coup d’essai Wikipédia, vous avez averti ! la copie d’écran est plus parlante. Donc, étape 1 nulle. Je ne sais pas si les médias le savaient, si vous leur avez expliqué.
Voilà qui plaide en ma faveur, puisque j'ai d'abord demandé une autorisation. Merci pour ce rappel.
On en trouve encore, cherchez bien, M. le "spécialiste de la galaxie internet".2ème étape : dans les forums, difficile de vérifier vos dires puisque comme vous le mentionnez la plupart de ces pages ont depuis malheureusement disparu dans les abysses du web ou ne sont plus référencées (mais si vous donnez quelques indications, nous pourrons avec joie nous faire un plaisir de rechercher leurs traces, contacter les forums concernés pour leur demander les statistiques de visites…)
Et pour les consultations de Wikipédia , elles sont assez probantes. Pourquoi n'en parlez-vous pas ?
(bâille)3ème étape : le fiasco… pour ceux qui ne s’en rappellent pas, le nouvel objectif était de montrer que les élèves copiaient les sites de devoirs corrigés (il faudra qu’un jour vous nous donniez enfin le véritable objectif de tous vos efforts pour cette manipulation car il change d’un article à l’autre). Aucun élève ne les a utilisés.
Quelques heures m'ont suffi. Vous m'étonnez un peu, d'ailleurs, à surestimer ainsi le temps nécessaire à un tel piège.4ème étape : Pour celle-là, je vous reconnais un grand talent… mais en l’occurrence il ne servait pas à grand chose car seuls vos éléments en parlaient sur le web ! À moins que vous ayez des doutes Cela remettrait tout en cause alors… Non, je redeviens sérieux. Vous avez perdu un temps précieux pour la préparation de vos cours. Je suis sérieux, je vous assure… c’était inutile !
Vous avez des estimations très précises... Pour ma part je n'ai pas gardé les chiffres détaillés malheureusement, à part les 51 élèves sur 65. C'est un vrai regret mais mon expérience n'avait pas une vocation scientifique et n'était pas destinée à être médiatisée un an et demi après. Dans mon souvenir, une bonne moitié des élèves a recopié à des degrés divers des éléments sur les sites de corrigés.5ème étape : qui n’est pas à votre honneur si j’en crois les résultats à vos étapes précédentes. Ah oui, vos marqueurs n’ont pas été d’une grande utilité… Pour nous aider à réfléchir, j’aimerais bien obtenir le décompte… Ce serait profitable. Allez dites nous précisément combien d’élèves ont employé Wikipédia, combien les forums… Connaissant le comportement des étudiants (je n’ai jamais écrit qu’il n’y avait pas un souci sur les citations !) le taux doit être proche de 95 % pour Wikipédia et 5 % pour le reste ?
Bah, Éric Delcroix, on dirait.Alors, pris au piège de qui et de quoi dans une ambiance chaleureuse ?
J'en connais d'autres, et qui ne modifient pas Wikipédia dans l'intérêt des élèves, mais dans le leur.D’un malfaiteur intellectuel (Source cnrtl —on a les références dont on est capable) au niveau de Wikipédia ?
Ah... L'argument de la triche perpétuelle et universelle, assorti comme toujours d'une prétérition. Que concluez-vous de ce raisonnement, M. Delcroix ? Allez seulement jusqu'au bout.Et puis, je ne vais pas défendre la triche, loin de moi, mais étiez-vous un étudiant modèle lors de vos études au point de nous jurer sur la bible que jamais vous ne vous êtes servi d’un document de référence pour vous inspirer dans un exercice de réflexion personnelle ? Y compris dans vos études dans le supérieur ? Curieux… autour de moi pas mal d’enseignants du supérieur me glissent à l’oreille l’inverse.
Et c'est vrai que vous êtes bien placé pour savoir qu'il existe des tricheurs sur le web.
Bien sûr, je garde la trace de tous les travaux faits à la maison de mes élèves sous scellés.Donc, si je résume, en attendant vos chiffres de façon que l’on puisse vérifier, c’est-à-dire au moins avec les copies (dans le supérieur, nous devons conserver les copies plusieurs années, je pense qu’il en est de même pour les lycées)...
Presque rien. D'ailleurs je dis bien dans l'article que cette erreur était vénielle....vous avez falsifié Wikipédia et les élèves se sont inspirés de ce texte… Nous savons qu’ils n’ont pas tous été heureux de vos procédés.
Aussi, pourriez-vous nous indiquer également la longueur de la copie de vos élèves ! Si, j’insiste… J’ai du mal à imaginer la longueur du texte : une phrase de modifié dans Wikipédia dans une copie d’élève, en pourcentage… Ça donne quoi ?
Faites comme la presse, interrogez mes élèves !Sans la possibilité de vérifier vos informations dans les forums… Comment pouvons-nous être sûr pour le reste ? Au fur et à mesure votre parole est de plus en plus mise en doute.
Je serais curieux de connaître votre morale du web, M. Delcroix...Précepte 1 du web 2, tu parleras vrai… ou alors tu en assumeras les conséquences.
Donc, après avoir manoeuvré, vous nous jetez en pâture une morale… Difficile d’y adhérer après tous les sous-entendus erronés et incohérences mentionnées dans les points précédents.
Certes non.Et donc, la remise en cause des différents points de vos articles laisse un goût amer sur la médiatisation de vos articles. Je vous arrête, ce n’est pas de la jalousie de ma part !
Cette humilité glorieuse vous honore.J’aurai d’autres occasions d’intervenir dans les médias… même si ce n’est pas un objectif en soi dans mon existence.
Je ne vois pas bien ce que j'aurais prévu...Ah oui, désolé encore une fois de vous contredire, mais le « tourbillon roüant » contrairement à ce que vous pensez ne commence pas à s’évanouir aussi vite qu’il s’est formé (je note que vous avez modifié le texte de votre page, car comment prévoir ce qui allait se dérouler lors de « notre émission » puisque le billet est publié la veille ? une manipulation ? Si c’est le cas, ce n’est pas bien… Sinon, félicitation pour vos dons de voyance), au contraire, il ne fait que commencer. Sans parler des effets de la longue traîne.
Quel don de voyance vous avez vous-même : tous les médias ont réalisé depuis - grâce à votre article clairvoyant - que mon expérience n'en était pas une !Et, je me demande si la morale de cette histoire de la montagne qui accouche d’une souris ne sera pas celle de l’arroseur arrosé suite à la réflexion de ce qui pour moi ressemble plus à un baroud d’honneur qu’a autre chose.
Pour en revenir à votre titre, contrairement à vous, les médias ont fait un travail journalistique rigoureux de vérification d"identité, ils m'ont contacté, ils se sont déplacés dans mon lycée, ont interrogé des témoins.
Mais comme vous ne pouvez pas avoir tort, ils ont forcément été pourris !
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