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Les devoirs à la maison
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Curieuse logique ici.Patrick Rayou écrit: Les devoirs tels qu'ils sont faits dans la plupart des cas tirent sinon le niveau vers le bas sinon vers l'horizontal parce que le bienfait des devoirs est sujet à caution : c'est très difficile à évaluer.
Où on apprend que les devoirs peuvent créer des conflits entre élèves et parents : "les parents n'ont pas à faire le job des enseignants". C'est toute la limite de la "coéducation"...
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Notamment le 7/11/17 : "Quand les devoirs « polluent » la vie de famille"
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Voir aussi : www.lemonde.fr/education/article/2017/11...5211484_1473685.html
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Les réponses à ce tweet constatant le manque, voire l'absence de travail personnel (leçons, devoirs) des collégiens :
- "Envie de vous approuver, et finalement non. Je me souviens de ces journées de collège lourdes et longues et de chaque prof qui donnait ses devoirs sans se rendre compte que ça faisait beaucoup au final. L'ado que j'étais n'en pouvait plus et attendait le bac comme une délivrance"
- "Je pense que vous ne réalisez pas le temps et l'énergie demandée aux élèves durant les heures scolaires et le transport. Je ne faisais jamais mes devoirs car je n'avais pas le temps. Quand je rentrais chez moi c'était dîner et au lit. Je n'avais pourtant pas d'activité extrascolaires"
- "J’ai toujours été contre les devoirs et les leçons. Les élèves font déjà en général 8h-18h avec parfois même pas une heure pour manger à midi. Perso je faisais en plus 1h30 de bus matin/soir. Pour moi c’est aux profs de faire que les élèves s’investissent EN COURS, pas en dehors"
- "En même temps sans cautionner cela, mais quand en 6e, t'as 3 profs qui donnent des exos + leçons pour le lendemain quand les gosses sortent deja à 17h voire plus, faut aussi se poser des questions sur le temps hors école."
- "C'est un point de vue assez égoïste. Si les élèves ne font pas le minimum de devoirs qu'il y a, c'est peut être qu'ils sortent d'au minimum huit heures de cours et qu'une fois chez eux ils aimeraient enfin avoir du temps libre ? Vs êtes un adulte, vs avez eu le choix, pas eux."
- "Le problème est déjà dans le fait de penser que les parents ne jouent pas leur rôle. beaucoup ne terminent pas à 17h, bossent en poste ou rentrent à 20h, doivent faire à manger etc et se retrouvent à faire faire des leçons à 21h là où les gamins devraient plutôt dormir.pas simple"
- "En fait les devoirs n aident pas et ca se verifie en Finlande "
- "Bah j'ai jamais ouvert un cahier ou bosser le soir, sauf quand il s'agissait d'un DM, j'ai arrêté du CM2 à la terminale. J'en avais pas besoin pour m'en sortir, et les journées de cours étaient suffisamment éprouvantes pour moi, j'avais besoin de me poser après. Y'en a trop, y'a des élèves qui rentrent chez eux pour bosser aussi (repas, garde de la fratrie), qui ont bcp de trajets. Arrêtez de les surcharger de travail et battons nous pour leur donner un meilleur emploi du temps de façon générale, et de meilleures conditions d'études.."
- "j'ai rapidement eu la réflexion dans ma scolarité que les devoirs étaient une punition , une forme de châtiment pour les élèves quand ils rentrent chez eux pour qu'ils pensent au travail H24 et vu ce que laisse l'éducation et ces centaines d'heures de cours une fois qu'on devient adulte et bah je me dis que j'ai bien fais de pas me casser le cul (désolé pour la grossièreté)"
- "Je pense que s'il n'y avait plus de travail à faire à la maison les élèves ne seraient pas aussi dégoûtés d'apprendre leurs leçons. La maison c'est fait pour partager des choses en famille et se reposer. Pas travailler. Le travail c'est à l'école. Je pense aussi que les devoirs apportent énormément de stress et pas tout les élèves peuvent travailler et réviser dans le calme chez eux. Ce stress et cette charge en moins, ils ne seraient pas aussi crevés et dégoûtés d'aller en cours le lendemain matin."
- "Les journées françaises sont parmis les plus longues. Faut pas s'étonner que les élèves decroche. Dans certain pays il y a moins de cours et pas de devoir, et ils ont de meilleurs résultats qu'en France. Se remettre en question peut-être ? Le système également ?"
- "Perso au lycée je prenais le bus à 6h40,je rentrais à 19h chez moi, la fatigue était bien présente. Et pour peu que tu es un minimum de passion dans la vie, sport, cinema.... T'as pas envie de faire tes devoirs en rentrant, non, pas du tout."
- "Bah qui leur explique l'utilité de l'école ? J'étais bon élève quasi toute ma scolarité mais ya un sérieux problème dans l'éducation nationale. Les méthodes, le manque de personnalisation des cours. Mettre plus l'accent sur les notes que ce qu'a réellement compris l'élève. Les gosses on doit leur dire pourquoi c'est important l'école. À l'école on s'en blc des élèves, ce sont des numéros, des machines à qui on demande des résultats sans explication. Qui leur dit pk les maths c'est important ?"
- "Faudrait commencer par intéresser les élèves à un programme pas forcément séduisant de prime abord... il y'a forcément une raison pour laquelle le système scolaire français est l'un des pire en Europe, en tout cas ça ne vient pas des élèves qui ne font pas leurs devoirs "
- "Je pense qu'il faut revoir cette méthode qui consiste a donner des devoirs à faire à la maison. J'ai toujours pensé que la qualité vaut mieux que la quantité !! Et ça commence ďés le primaires plein de devoir dés le CP !!!"
- "Non. Chez moi c'est chez moi et le travail c'est le travail. Ca semble rien mais c'etait un ajout a ma depression votre mentalite. Que un lieu où j'étais forcé d'aller et qui me deprimait me suive jusque chez moi. A contrario avec ma reprise d'etudes a la fac où je taf chez moi"
- "Quand t'avales 8h-17h tous les jours avec 1h de transport tous les jours, y a un moment on préfère dormir, déjà qu'on fait des petites nuit..."
- "C’est une blague ? La France est l’un des seuls pays où on ramène l’école à la maison. Comme si les journées n’étaient déjà pas assez longues, il faut en plus les démotiver en leur prenant sur leur temps de loisirs. Un élève bien dans sa peu, détendu, défoulé, sera bien plus efficace en classe qu’un élève auquel on demande de faire des exercices le soir, qui si il n’y arrive pas ne font qu’attiser sa frustration. Pas étonnant que notre éducation soit si mal classée."
- "Il y a plusieurs écoles (ah ah !) Le prof de mon fils (CM1) donne très peu de devoirs arguant que le cerveau des enfants sature après les cours et qu'il n'enregistre donc pas plus. En revanche, il donne beaucoup d'exposés sur base de volontariat et les gosses sont à fond Tous en font plusieurs par an et en y mettant énormément de motivation et de travail. Ce qui leur apprend plutôt très bien, finalement, à apprendre... "
- "Le travail donné ne semble pas pertinent aux élèves qui galèrent entre transports et vie de famille lourdes pour donner 5 minutes ? Je ne m’en suis pas trop mal tiré niveau études mais les discours des profs sur le travail à la maison. Lol. Ils vivaient dans un autre monde."
- "Perso quand je faisais une journée d'école, donc levé 7h avec 30-45min de marche pour rester à l'école jusqu'a 16-17h et que je devais retaper 30-45min de marche. Bah j'avais tout sauf envie de faire 1h de devoir. D'autant plus sur des trucs qui paraissent futile dans l'avenir"
- "Faut revoir la pédagogie, le par cœur, les devoirs, les notes, le temps de focus, le partage entre élève, tout, absolument tout est à revoir. L'enseignement français est une catastrophe grâce à un conservatisme délirant et inquiétant. Le danger, ce ne sont pas les enfants."
- "Jamais fais mes devoirs et aucun regret. J'avais déjà quasiment pas de temps à consacrer à moi et mes loisirs le soir, ne rajoutons pas les devoirs. Et jparle même pas de certain de mes potes qui finissaient en réalité à 19h30 et qui n'avaient tout simplement aucun temps libre"
- "Je ne comprends pas pourquoi on donne tant de devoirs aux élèves. Pourquoi l’enseignement ne peut pas se faire uniquement sur les « heures ouvrables » ? Pourquoi leur voler leur jeunesse à leur faire faire des exercices supplémentaires le soir ? C’est aberrant. Et ça commence tres jeune. 1h de leçons et devoirs pour ma fille en CE2 hier soir, ce n’est pas normal. Et encore elle se débrouille bien et a des parents disponibles."
- "Il faudrait se demander si le problème ne vient pas surtout du système scolaire français. Il y a beaucoup de pays où les élèves n’ont simplement pas de devoir, et pourtant, ils ne se plantent pas pour autant."
- "Franchement ici les devoirs c'est la croix et la bannière avec ma sixième et ce depuis le CP. Il y a eu une période de mieux mais depuis la rentrée c'est à nouveau la guerre pour les faire."
- "C'est à dire que les programmes n'aident pas. Clairement l'histoire au collège..."
- "Je pense pas que le fait d'asseoir un gosse sur une chaise de 8h a 16h pour ensuite le faire travailler a la maison de 17h a 20h puisse générer une quelconque motivation sur cette personne ..."
- "Le pire c'est que ce qui défendent le travail à la maison serait contre de bossé en plus chez eux après une journée de boulot.
Je ne fessait pas mes devoirs et pourtant professionnellement je ne suis clairement pas à plaindre"
- "Peut-être que s'ils ne font pas ce qu'ils n'en voient pas le sens.,..qu'on ne leur montre pas..."
- "Je me demandais : as-t-on finit par intégrer les découvertes des neurosciences dans la pédagogie nationale ? Il paraît qu'on intègre bien mieux si l'apprentissage a été ludique. Des modifications des programmes ont-ils été effectué dans ce sens ?"
- "Quand on est prof, on ne peut pas ne s’arrêter qu’au constat : il faut chercher des solutions.« Apprendre une leçon » : quelle leçon, quel support ? Quelle pédagogie ? Développer la notion de plaisir dans l’apprentissage !c’est au delà de la « mentalité »!"
- "Alors en fait non, c'est pas aux élèves de motiver les profs mais le contraire. ça fait partie de votre boulot en fait."
- "Le problème n'est pas les élèves mais la façon archaïque d'apprentissage. Il serait temps de foutre un gros coup de pied la dedans et de réformer l'enseignement."
- "C'est assez blasant d'avoir des cours et des devoirs en fait."
- "Bonjour, les devoirs, c'est de la merde. Arrêtez avec cette ignominie. Au revoir"
- "Les devoirs sont un cauchemar je comprends même pas qu’on en donne encore…"
- "8 18h tous les jours, des devoirs pour 5 6 matières différentes, faut pas s'étonner hein"
- "C'est de la merde les devoirs. Jamais aimé les faire. Tu rentres d'une journée de boulot (parce que oui, les cours c'est du boulot), tu dois te taper des pages d'exercices + des leçons à apprendre, alors que t'es juste HS et que t'as envie de te détendre."
- "Faites les travailler en classe. Les parents qui galèrent le plus peuvent pas faire le suivi, le travail à la maison est générateur d'inégalités ! A vous de leur apprendre à apprendre !"
- "Si tes élèves ne s'intéressent pas à ton cours, c'est juste que tu n'es pas doué dans ton métier, si en 8 ans tu ne sais tjrs pas intéresser et motiver tes élèves alors par pitié change de métier pour le bien de nos enfants."
Beaucoup de réponses relèvent de la projection personnelle (sa propre scolarité ou celle de ses enfants), souvent non pertinente voire anachronique. Petite typologie :
- La plupart des élèves sont dans des situations familiales/sociales extrêmes qui les empêchent de faire des devoirs/d'apprendre des leçons
- C'est faire des efforts : c’est pénible/une punition/un cauchemar/une torture (pour moi qui suis élève/parent d’élève)
- Si le professeur/les cours étaient motivants/ludiques, les élèves aimeraient faire des efforts
- Il y a trop de devoirs, de toute façon
- Déjà qu’il y a trop de cours (des journées de 10h au collège, voire 12h30 avec les transports)
- Les devoirs, c'est de droite
- Ça n’a pas de sens/c’est pas intéressant, d’ailleurs les cours et l’école non plus
- Ça sert à rien pour apprendre
- J’ai jamais fait mes devoirs et j’ai réussi dans la vie
- En vrai, les leçons et les devoirs à la maison expliquent l’échec de notre système scolaire
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Page du 13/02/12 : www.meirieu.com/DICTIONNAIRE/devoirs_a_ma_maison.htm
Philippe Meirieu fustige allongement du temps scolaire et externalisation des devoirs... en oubliant de préciser qu'en primaire le temps scolaire n'a cessé de diminuer depuis un demi-siècle et que l'interdiction des devoirs écrits est appliquée depuis un quart se siècle. Paradoxe, d'ailleurs : les constructivistes promouvant le travail en autonomie des élèves... mais seulement en classe ! C'est qu'un travail de réinvestissement systématique (et n'exigeant à ce titre pas d'autonomie) va, en effet, à l'encontre du dogme constructiviste.Curieusement, s'ils s'interrogent sur les conséquences sociales de devoirs scolaires n'exigeant pas d'autonomie, les pédagogues constructivistes ne s'interrogent pas sur les conséquences sociales de l'autonomie qu'ils prônent en classe.DEVOIRS (A LA MAISON)
Assez curieusement et par un étrange renversement, les « devoirs scolaires » sont aujourd’hui identifiés comme des travaux que l’on fait à la maison, ou, pour les élèves internes, en étude… mais, dans tous les cas en dehors de la présence d’un professeur. Certes, il existe des structures encadrées par les enseignants sous des noms divers (aide individualisée, accompagnement personnel, tutorat, etc.), mais, dans l’immense majorité des cas, ce qui se fait là relève plutôt d’une « pédagogie de soutien » qui reprend des notions mal comprises en classe et n’exonère en rien l’élève de son travail personnel à la maison.
Pourtant, historiquement, le travail personnel de l’élève – qu’il concerne la mémorisation, l’entraînement, la recherche ou l’élaboration personnelle – a été conçu comme un des éléments fondamentaux de la scolarisation, devant être effectué en classe ou, au moins, sous la responsabilité directe de l’école. Dans les collèges jésuites, puis dans les lycées napoléoniens qui s’en sont inspirés, le temps de « cours » à proprement parler n’excédait pas trois heures par jour ; le reste était consacré à « l’étude », directement avec le professeur ou sous la responsabilité de moniteurs plus âgés. Or, depuis les années 1950, le temps de cours n’a cessé d’augmenter au détriment du temps d’études, jusqu’à externaliser ce dernier presque complètement. Cela s’est effectué en raison de l’introduction progressive de nouvelles disciplines et du désengagement des professeurs de ces tâches. On arrive ainsi aujourd’hui, en dehors des disciplines comme l’Éducation physique et sportive ou des heures de laboratoire, à une situation assez troublante : les élèves vont en classe pour prendre de l’information et repartent chez eux pour « faire leurs devoirs ». Cette situation a, très tôt, été dénoncée par des psychologues comme Henri Wallon (1879-1962) ou des pédagogues comme Robert Gloton (1906-1986). Ce dernier rédigea un rapport qui aboutit même, en 1956, à l’interdiction (toujours en vigueur et jamais vraiment respectée) des devoirs à la maison à l’école primaire.
Que reproche-t-on aux devoirs à la maison ? D’une part, d’alourdir la charge des enfants et adolescents au détriment d’autres occupations comme le sommeil, le sport ou les activités culturelles ; d’autre part, d’entériner, voire d’accroître les inégalités scolaires, en faisant effectuer le travail dans des contextes matériels, sociologiques et psychologiques très hétérogènes ; enfin, de renvoyer en dehors de la classe des moments d’appropriation et des temps d’apprentissage méthodologique (apprendre une leçon, réviser un contrôle, faire un résumé ou une dissertation, préparer un exposé, etc.) qui sont absolument décisifs pour la réussite scolaire.
Les défenseurs du travail à la maison argumentent, eux, en faveur de cette pratique au nom d’une nécessaire formation à l’autonomie et de la nécessité de réserver les temps de classe – insuffisants aux regards des exigences des programmes – à des cours collectifs indispensables.
Néanmoins, les chercheurs et les pédagogues, s’entendent, aujourd’hui, dans leur immense majorité, sur quelques principes simples :
Il faut rééquilibrer le temps scolaire en donnant plus de place à de vraies « études dirigées » où les élèves puissent bénéficier de la guidance de professionnels de l’apprentissage.
Il faut s’interdire de renvoyer systématiquement à la maison des tâches pour lesquelles aucun mode d’emploi précis n’a, auparavant, été donné et travaillé en classe.
Il faut promouvoir l’entraide entre élèves dont toutes les recherches montrent l’impact très positif et qui est tombée progressivement en désuétude dans l’école.
Concernant la méthodologie du travail personnel, plusieurs directions doivent être privilégiées. Il faut, en fonction des besoins des personnes, fournir une aide adaptée concernant la gestion du temps et l’équilibre des différentes activités dans la semaine et tout au long de l’année. Il faut, également, travailler à l’identification des mécanismes fondamentaux de l’apprentissage : mentalisation de la tâche à accomplir et de ses critères de réussite, planification, décentration et correction, repérage et stabilisation des stratégies individuelles d’apprentissage les plus efficaces, autoévaluation, entraînement au transfert des acquis dans des contextes de plus en différents.
À cet égard, le travail à la maison reste un enjeu fondamental dans le processus de démocratisation de l’institution scolaire et de l’accès aux savoirs. L’école et les enseignants doivent investir cette question et non la laisser traiter par les officines privées de soutien scolaire ou par le seul secteur associatif. Il en va de l’équité de l’éducation entre tous les jeunes Français.
Philippe Meirieu
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Et typologie des réactions virulentes et consternantes :
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Deux mois plus tard, rebelote avec trente pages de Bilbo le hobbit (1937) à lire pendant les vacances :
Trois mois plus tard, rebelote :
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