- Messages : 18191
"Design thinking" : l'expérience France Business School
- Loys
- Auteur du sujet
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
Nous avions déjà parlée d'elle ici à propos de l'école 42 de Xavier Niel : www.laviemoderne.net/veille/vers-l-ecole...atique?start=20#7094
A lire aussi cet article qui éclaire le cheminement de Laurène Castor sur la pédagogie : www.e-orientations.com/actualites/interv...-de-l-ecole-42-13873
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18191
Enseigner aiderait également Laurène Castor (d'EducaVox) à "voir le système éducatif autrement".Je m’appelle Laurène et je m’intéresse à l’éducation, à la créativité, au design, au numérique et au durable. Je me renseigne régulièrement sur les TICE et publier sur ce que j’apprends m’aide à réfléchir sur les moyens de voir le système éducatif autrement.
Sur ce blog vous pouvez trouver des tutoriels pour enseigner grâce à des outils pédagogiques numériques, des idées qui, j’espère, amènent à réfléchir, des chroniques de livres incontournables sur l’éducation et le numérique, des émissions de radio et des conférences dont nous devons tous nous inspirer.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18191
On se demande bien quelle mouche a piqué Laurène Castor pour parler de quelque chose qu'elle ne connaît visiblement pas avec des mots qu'elle ne connaît pas non plus.Education : pour changer de paradigme, il faut violer la norme…
Avec des amis comme Laurène Castor, l'école n'a pas besoin d'ennemis !L’éducation est aujourd’hui dans une impasse. C’est non seulement parce qu’elle est intégrée à un système mais c’est aussi parce que ce système est désespérément défaillant et qu’il s’en va en déshérence…
A noter que cette déshérence s'explique en grande partie par une déroute pédagogique dont Laurène Castor est ici le fidèle relais.
Je l'apprends ici.Cette fuite est démente puisque l’éducation est supposée être le lieu de l’épanouissement personnel...
J'ignorais qu'on pût "rencontrer" un impératif....de l’ouverture à la pensée et à la connaissance, de l’élévation à la culture, et le lieu de l’intégration à l’âge adulte et à la société. Pourtant, le système éducatif est en panne car il échoue à rencontrer ces impératifs premiers.
Alors que le site "EducaVox" , partenaires de grands groupes technologiques et faisant la promotion systématique de l'école numérifiée, ne recherche que l'épanouissement des élèves.Le problème de l’éducation actuellement c’est que son système est engoncé dans un autre système, celui de l’économie, de la compétition, de la consommation et de la spéculation.
C'est toujours bien de placer l'adjectif "sociétal" dans une phrase même si ça n'a strictement aucun sens. J'ignorais que l'école républicaine eût un "objectif sociétal", ici non précisé bien entendu : la pensée de Laurène Castor est trop vaste pour s'abaisser à de simples exemples clairs.L’éducation s’est écartée de son objectif social et sociétal...
Voilà qui ressemble effectivement à une vision numériste du savoir.... pour intégrer un objectif plus à la mode : l’économie de marché. Le savoir n’est plus intégré mais consommé.
"sources d'inspiration" ?Les programmes sont normalisés et standardisés au lieu d’être libres et sources d’inspiration.
Les programmes étaient donc "libres" avant cet "écart "? Et qu'est-ce qu'un programme "libre", au juste ?
Laurène Castor réclame donc la fin des programmes nationaux ?
Où les nouvelles pédagogies pointent à nouveau le bout de leur nez.L’évaluation discrimine les élèves au lieu de les aider à progresser.
L'évaluation viendrait donc d'apparaître dans l'école.
C'est quand même une tribune assez audacieuse : détruire, au nom d'une idéologie libérale, ce qui reste de l'école républicaine traditionnelle en réécrivant l'histoire de celle-ci comme victime d'une perversion libérale !
Heureusement qu'Apple et Orange ont des solutions innovantes pour "favoriser l'engagement" des élèves !Des jeunes s’ennuient au lieu de s’épanouir et des professeurs sont coincés dans un programme à respecter.
Ah... Je l'apprends...Le problème lié au système éducatif vient du fait que nous avons persuadé insidieusement les élèves, les professeurs, les parents et la société entière que le droit à l’erreur était banni…
C'est vrai quoi, la connaissance du passé et celle de l'avenir, c'est la même chose.Nous avons instauré l’apprentissage de la certitude alors que nous ne savons même pas à quoi ressemblera le monde dans cinq ans…
Faudrait pas voir à pousser les méméplexes dans les orties.Nous avons instauré la peur de l’échec et plutôt que d’éduquer les individus, nous avons fabriqué un système scolaire qui reproduit l’inertie méméplexe.
Trop aimable !Autrement dit, la peur de l’échec (élément devenu objet culturel) est répliquée inconsciemment par les professeurs...
Laurène Castor a raison : aimons et chérissons l'échec !
...et même dans une perspective tautologique de reproduction homothétique de l'habitus cognitif....et retransmise aux élèves dans une logique mimétique de sauvegarde du paradigme.
Quelle idée, aussi !Et tout cela pour supprimer la faute, pour lutter contre l’erreur, pour résister à l’échec.
Rien que pour l'orthographe ou la syntaxe, la "pensée alternative" donne des résultats très créatifs, quoique peu compréhensibles.Mais l’échec de quoi ? En stigmatisant l’échec, le système éducatif se prive d’une prise de risque essentielle et formidable : la contingence, la culture du « pourquoi pas », la pensée alternative ;
On le voit d'ailleurs : les grands créatifs actuels (dans l'esprit de Laurène Castor, les Gates, Larry Page et autres Zuckerberg...) sont nés par génération spontanée, en dehors des grandes universités de la Silicon valley....en somme la créativité. Dans une culture où l’on refuse l’échec et où l’on s’éduque dans la peur, il n’y a pas de place pour la créativité, ni pour la liberté…
Rimbaud lui-même aurait été un peu plus fulgurant s'il n'avait pas été un élève brillantissime. On est plus "libre" quand on n'a accédé à aucune culture.
Car une récompense est - en bonne logique - une source d'angoisse et de stress, jamais de satisfaction. C'est curieux car , quand on propose aux élèves de supprimer les notes, ils demandent à les conserver...Sans compter les désastres que peut avoir l’évaluation sur les élèves : au lieu de stimuler l’apprentissage, les notes sont vécues comme une forme de prix ou de sanction et sont donc source d’angoisse et de stress.
Car jamais elles ne sont accompagnées d'indications d'erreur ou d'appréciations.Les notes ne donnent aucune indication sur le « comment progresser ? »...
Beaucoup plus dans l'esprit des élèves que dans celui des enseignants......mais donne une information très précise sur le rang… car « elles sont utilisées de façon normative », autrement dit elles comparent les élèves entre eux.
Et même de la terreur, n'ayons pas peur des mots...En réalité, « ce ne sont pas les notes qui induisent une culture de la peur...
...mais c’est la culture qui s’en sert comme d’un bras armé » (1)
Il faudra que Laurène Castor vienne expliquer à quel point la compétition est mauvaise dans les prochaines assemblées générales d'Apple ou d'Orange, les partenaires de son site "EducaVox". Ou qu'elle relise les missions de l'école dans laquelle elle est "chargée d'innovations pédagogiques" : France Business School , "un établissement d'enseignement supérieur international et multi-campus, expert en détection de jeunes talents créatifs et entrepreneuriaux [...] une école sélective tournée vers l’excellence."...elle structure l’esprit de compétition et elle est un outil de classement puis de sélection.
Un nouveau concept ?Les effets de cette calamité ne sont pas durs à cerner : crispation, échec scolaire, décrochage des professeurs...
Ces sentiments ne peuvent venir d'une société qui prône le seul plaisir immédiat, la facilité, le consumérisme.......ennui général et frustration…
Jamais aussi peu d'élèves n'ont été "mis au ban" de l'école qu'aujourd'hui.Les « mauvais » élèves, qui sont mis au ban sont bien conscients qu’ils ne sont pas adaptés à un système qu’ils perçoivent comme abstrus.
Une nouvelle définition de l'éducation, donc : éduquer, c'est s'adapter.En fait, c’est le système éducatif qui n’est pas adapté à ces élèves.
Mais au fait renoncer à élever et s'adapter aux élèves, ce n'est pas entrer dans une "inertie méméplexe" ?
On attend avec impatience les solutions de Laurène Castor.Il les a rejetés. Face à un élève qui s’ennuie ou qui décroche, le système éducatif ne sait pas quoi faire, et comme dans tout système fermé, quand il ne sait pas quoi faire, soit il ne fait rien, soit il fait ce qu’il ne faut pas (2). ...
S’il ne les abandonne pas, le système éducatif cherche à enrégimenter de force les « rebelles »…
et les obligent à rejoindre la culture de la compétition (c’est-à-dire qu’il les force à accepter la doctrine selon laquelle il y a des gagnants et des perdants). Nous n’éduquons plus nos enfants, nous les dressons à la résistance à l’échec.
A une société... consumériste plus exactement, rappelons-le à toutes fins utiles.Pourtant les fins de l’éducation sont nobles. Sans être exhaustif dans l’énumération des objectifs originels de l’éducation, on doit préciser ici qu’elle permet avant tout d’élever les individus au savoir et surtout de les intégrer à la société.
Il faudrait savoir : il a dévié de ce qu'il était ou il est "suranné" ?En fait, l’éducation est censée permettre aux individus de trouver leur voie. Cela semble simple a priori, pourtant il apparaît clairement que ce n’est pas évident d’atteindre de tels objectifs lorsque l’on s’entête à demeurer dans un système schizoïde, fermé et suranné.
Il faudra expliquer également en quoi le système éducatif est "schizoïde"...
Et la violation de la norme commence par la conformation à la norme commerciale.C’est la raison pour laquelle le changement de paradigme est une étape plus que nécessaire dans l’élaboration de la nouvelle éducation : il faut sortir de ce carcan. Et cela commence par la violation de la norme…
Laurène Castor devrait se méfier des mots compliqués dont elle ne connaît pas le sens.Violer la norme c’est en réalité se battre contre le démiurge de la notion guindée de normalité.
Oui, c'est vrai, la normalité, c'est tellement "guindé". Vive l'anormalité !
La "conformisation" ? A force d'employer des mots compliqués sans les maîtriser, on s'expose au barbarisme. Enfin, bel exemple de la "pensée créative".La conformisation à la normalité fait des ravages car elle empêche la création de valeur dans une société.
Eh oui : la "création de valeurs" (sic), c'est important à l'école.
Quand on a dit ça, on n'a rien dit.Cette valeur doit provenir de l’ensemble des individus et embrasser la diversité.
En violant la norme pour rentrer dans un processus inédit de création de valeur, les individus pénètrent la sphère féconde de l’imagination et réinventent la liberté.
Des exemples à tout hasard ?
C'est fou ça, qu'une vision "nouvelle" de la réalité (de quoi parle-ton au juste ? ) soit également "alternative" et "originale".La créativité transforme la perception supposément établie et collectivement acceptée en une nouvelle vision alternative et originale de la réalité.
Parce que la connaissance scolaire n'offre aucune perspective à la réflexion ou à la créativité.Elle offre une kyrielle de possibilités et suppose donc que l’on sorte du cadre préétabli et flétri de la licence scolaire.
Ken Robinson dit beaucoup de bêtises.Pour Ken Robinson, la créativité est la solution ultime pour redonner sens à l’éducation.
Accueillons, accueillons !C’est en accueillant la créativité avec amour que l’on sera capable de revoir notre façon d’enseigner, de « reconstruire notre conception de la compétence et de l’intelligence »(3).
Ce qu'ils ne sont jamais, merci pour eux.Faire l’avènement de la créativité signifie que le système éducatif autorise (ou permette) aux professeurs d’être créatifs pour qu’à leur tour...
Quelle belle image ! Quel monde merveilleux !...ils permettent aux élèves de laisser libre cours à leur créativité. Ainsi chaque individu, élevé (éduqué d’une part, et hissé d’autre part), peut venir ajouter sa nuance chromatique au panorama participatif de la société.
On a bien compris, Laurène Castor. Et les élèves défavorisés à l'école vous remercient pour votre travail de sape !Ce nouveau paradigme détruit des croyances collectivement assumées telles que l’éducation se fait à l’école uniquement ou encore que les établissements scolaires sont les seuls lieux où il faut briller.
Alors que la créativité, pas du tout. La créativité a le bonheur d'être égalitaire.Cette prémisse pernicieuse est préjudiciable car elle est cause d’exclusion et de discrimination.
Le système français, contrairement à la plupart des pays du monde, inclut presque tous ses élèves dans le secondaire et leur ouvre des centaines et des milliers de perspectives d'étude ou de professions.En effet, les individus qui ne rentrent pas dans le schéma classique du système éducatif actuel, sont exclus.
Maillons, maillons !Le système échoue à mailler les individus...
Quel usage audacieux de la syntaxe ! Encore une démonstration de "pensée créative" !...car en voulant les uniformiser, il les disloque de leur talent naturel.
Merci encore, Laurène-Castor-qui-n'enseigne-pas !En cela, il les prive de la chance de découvrir leur(s) compétence(s).
Eh bien tant mieux puisque l'école est pernicieuse, non ?C’est pourquoi, les « cancres » du système finissent par en sortir et vont chercher ailleurs leur propre champ de possibles.
Alors que les autres sont enfermés à jamais !Par là même, ils se créent des espaces de liberté et parfois sans le savoir des espaces de création…
Il faudrait justement que Laurène Castor y réfléchisse quelques instants... car pour en sortir il faut précisément y entrer.D’ailleurs, éducation désigne étymologiquement l’action de « guider hors de ». En effet, l’école doit permettre à l’origine que l’on en sorte !(4)
C'est-à-dire ?Ce n’est donc pas fondamentalement dramatique qu’un enfant n’ait pas un fonctionnement, une attitude proprement scolaire ;
Il est employé péjorativement par les professeurs eux-mêmes, comme quoi...l’adjectif est par ailleurs plutôt péjoratif à la réflexion…
Vive la pensée nébuleuse !Ainsi donc, les expériences extra scolaires peuvent parfois redonner de l’ambition culturelle et souvent ces expériences se jouent à peu : « il s’agit d’une valorisation qui vient de manière étonnante dans un cortège de gamelles » et « qui fait événement ».
Ah, une "rencontre", c'est nécessairement "une personne qui nous fait confiance et qui conséquemment nous valorise"...Ce type d’expérience est soumis à deux conditions : un renouvellement (un changement par exemple, une nouvelle donne), et une rencontre (une personne qui nous fait confiance et qui conséquemment nous valorise) (5).
Comme la pensée et la syntaxe de Laurène Castor ?Cette issue est possible si le système cesse de croire aux bienfaits de la culture de l’élitisme et commence à penser que les contours de l’événement éducatif sont perméables et souvent flous :
C'est vrai que la "France Business School" est une entreprise autrement philanthropique que l'école publique.
Voilà une conclusion très claire, à l'image de l'ensemble du texte, une bouillie anti-école indigente et d'une pédanterie assez cocasse.il ne faut pas chercher à délimiter les espaces d’apprentissage, ni à les désarticuler.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18191
A lire sur "EducaVox" du 21/01/14 : "France Business School lance son MOOC sur la Pensée Design"
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
Mince ! Laurène Castor oublie de préciser dans l'article ou dans sa fiche "EducaVox" qu'elle est salariée par "France business school"...
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18191
Un bon vieux paradigme, finalement.
A lire pour mieux comprendre le cri du cœur de Laurène Castor ; etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/fra...s-d-une-sicsion.html
En lisant le palmarès 2014 de "L'Etudiant", on comprend pourquoi "FBS", bonne dernière ou presque, veut "violer" la norme : www.letudiant.fr/palmares/palmares-des-g...ce-academique-1.html
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18191
A lire sur "EducPros" du 13/06/14 : "France Business School : la CFDT-CCI tire la sonnette d'alarme ".
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18191
Dans "EducPros" du 18/06/14 : "Le design thinking réinvente le processus créatif"
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18191
Attendons maintenant le prochain article de Laurène Castor.Le Monde écrit: France Business School tire les leçons de l'échec de son nouveau concours : Patrick Molle s'en va et FBS réintègre les banques d'épreuves.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Messages : 279
C'est une tactique éprouvée dans la presse généraliste : confier un sujet spécifique à quelqu'un qui n'y connaît rien, afin de garantir "l'impartialité" et "l'objectivité" du papier (et, parfois, de se payer la tête des connaisseurs à peu de frais...).Loys écrit: On se demande bien quelle mouche a piqué Laurène Castor pour parler de quelque chose qu'elle ne connaît visiblement pas avec des mots qu'elle ne connaît pas non plus.
Le premier exemple qui me vient à l'esprit (quoi qu'un peu hors-sujet, désolé), ce sont les premières critiques de Game of Thrones quand cette série a débarqué sur HBO. La presse dite "sérieuse" (le New York Times et Salon, notamment) avait dépêché des critiques qui non seulement n'y connaissaient rien à la Fantasy, mais en plus affichaient ouvertement le plus grand mépris pour ce genre et ses amateurs (le chroniqueur de Salon s'était même enorgueilli d'avoir, adolescent, posé un lapin à une fille parce qu'elle lui avait dit qu'elle participait à des reconstitutions médiévales). Leur critique commençait donc par quelque chose du genre "je dois vous l'avouer, mes chers lecteurs, moi, je n'entends rien du tout à ces histoires d'elfes et d'orcs - quand bien même il n'y en a pas dans GoT - je trouve même ça complètement puéril et idiot" pour finir sur le thème "qu'est-ce qu'une chaîne comme HBO est venue faire dans cette galère en diffusant une série sur un sous-genre aussi indigne ?"
Et ça vaut pour à peu près tous les genres ou sujets un peu "spécifiques".
ça, c'est le résultat auxquels arrivent pratiquement tous ceux qui veulent se frotter à quelque chose qu'ils affectent de ne pas connaître : pour compenser leur ignorance du sujet, ils en rajoutent dans la pédanterie. En somme, ils vivent intellectuellement au-dessus de leurs moyens.Loys écrit: Voilà une conclusion très claire, à l'image de l'ensemble du texte, une bouillie anti-école indigente et d'une pédanterie assez cocasse.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
- Auteur du sujet
- Messages : 18191
Depuis Laurène Castor, qui a échoué à la sélection de "42" (mais a quand même inscrit l'école dans son CV), a suivi les cours en ligne ""E-learning and digital cultures", "Gamification" et "Creativity". Son poste actuel ? Elle est "blogueuse" !Pêle-mêle sont pointées du doigt "la politique de prix inappropriée et dissuasive (9.000 euros par an pour le programme grande école), le retrait des banques communes d'épreuves (Ecricome et BCE), la stratégie de rupture en matière pédagogique et le rapprochement d'écoles de rang et de cultures très différents".
Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.