"La « révolution numérique » : un passage obligé pour l’Ecole" (Armande Le Pellec-Muller)

Dans "LudoMag" du 19/02/15 : "La « révolution numérique » : un passage obligé pour l’Ecole" avec Armande Le Pellec-Muller, recteur de l'Académie de Montpellier.

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On retrouve tous les arguments habituels, dans le désordre, avec le premier d'entre eux : il n'y a pas d'alternative. Pourquoi argumenter dès lors ?
Le numérique permet, pour l'élève, un "rapport positif" avec le savoir". C'est curieux mais j'ai comme un doute...
Je serais également curieux de savoir comment le numérique permet de "'manipuler dans des situations plus concrètes", à moins que le sens du mot "concret" ait changé.
"Le numérique permet de repenser l'acte d'enseigner pour l'enseignant et l'acte d'apprendre pour l'élève."

Depuis que Margaret Tatcher et Ronald Reagan ont popularisé les aventures de la grande et belle TINA (There is no alternative), le sophisme de l'inéluctable est devenu l'argument imparable!