l’engouement pour le privé, davantage tourné vers l’enseignement professionnel que l’université, est de plus en plus fort. Près d’un quart (24,8 %) des étudiants sont inscrits dans un de ces établissements, relève une étude publiée en juin par la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol). Ils étaient 19 % il y a dix ans et 15 % en 2005. Écoles d’ingénieurs, de commerce, d’art, d’ostéopathie, d’hôtellerie…