"L'enfant et les écrans" (Académie des sciences)

A lire dans le "Café pédagogique" du 25/10/13 : "Tisseron : L’enfant, l’école et l’enseignant transformés par le numérique" .

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Commentaires à venir

Je me permets de faire de la pub pour un camarade du forum de Merlanfrit, qui a publié ceci sur son blog : "Essai : Internet rend-il bête ? De Nicholas Carr"
Certes, il s'agit surtout d'un compte-rendu du livre de Carr, mais le dernier paragraphe concerne le rapport de l'Académie des Sciences, puisque l'auteur l'a lu en parallèle avec beaucoup de perplexité :

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J'ai lu cet ouvrage et j'avoue avoir été déçu : j'ai trouvé la réflexion intéressante sur certains points mais dans l'ensemble trop superficielle. La question de la transmission n'y est quasiment pas abordée. On voit que Nicholas Carr ne pense pas le numérique en tant que pédagogue.
Sur la réflexion de Manu à propos de l'avis de l'Académie des sciences et notamment la distinction "culture du livre" et "culture des écrans" (un point repris sempiternellement par Serge Tisseron), il y aura tôt ou tard un article dans LVM.

Un entretien avec Bruno Harlé dans "Le Cercle psy" à télécharger : "Les écrans rendent-ils hyperactifs ?"

Tiens, ça fait une paye que je ne l'ai pas recontacté (depuis la Saint-Valentin, en fait... ). Il m'avait effectivement pointé l'étude de Daphné Bavelier concernant les effets "positifs" de Call of Duty sur le cerveau des ados. Je lui ai promis de regarder la vidéo où elle présente son étude, mais je n'ai pas encore réussi à dégager du temps pour le faire.

C'est la nouvelle vogue : les tablettes spécialement conçus pour les bébés.
A lire à ce sujet : "La tablette détourne le bébé des activités dont il a besoin" , entretien avec Serge Tisseron, dans "Le Figaro" du 20/12/13 : "La tablette détourne le bébé des activités dont il a besoin".

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Vous pouvez commenter ici l'article détox "Les petits et l'écran" du 23/12/13.

"Jeux vidéo : partiale Académie" dans "Le Monde" du 27/01/14 (une mise en cause de la méthode de travail de l'académie des sciences).

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Merci archeboc.

La liste des personnes auditionnées ? Elle est le fruit de discussions informelles au sein du groupe de travail et non celui d’une sérieuse analyse bibliographique. C’est ainsi que, concernant l’impact psychologique des jeux vidéo, n’ont été entendues qu’une chercheuse d’Ubisoft, importante société française de création et de distribution de jeux vidéo, et Daphné Bavelier, de l’université de Genève, dont les recherches visent justement à identifier et à exploiter les effets positifs des jeux vidéo. Deux discours qui ont de grandes chances d’être orientés. Et pourtant.
« Des parties entières du rapport proviennent de textes rédigés par des personnes auditionnées… », déclare Pierre Léna, cosignataire de l’avis. Point que confirment Serge Tisseron, de l’université Paris-VII-Diderot, et Jean-François Bach. « Nous procédons toujours ainsi, explique le secrétaire perpétuel. Nous demandons aux intervenants de nous fournir un texte ou nous rédigeons des comptes rendus que nous utilisons pour la synthèse. » Un exercice apparemment banal, à aucun moment explicité dans le rapport. Pas plus que la provenance des fragments de textes compilés dans l’avis de l’Académie des sciences.