Je ne crois d’ailleurs pas à la crise des vocations : un étudiant sur quatre se dit intéressé par le métier d’enseignant, et nous voyons des gens qui, à 30, 40 ou 50 ans, après une première carrière dans le privé, ont envie de donner du sens à leur travail et envisagent de devenir enseignants. Depuis cette rentrée, nous reconnaissons leur expérience et les rémunérons mieux en reprenant leur ancienneté. L’enjeu c’est l’attractivité. Il faut lever tous les freins pour réussir à recruter au moins 100 000 professeurs sur le quinquennat.