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"Un collégien, un ordinateur portable" dans les Landes
- Loys
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"EducaVox", c'est aussi une ferme de contenus (orientés).
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- Loys
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Curieusement cette "preuve de l'efficacité" n'est évoquée qu'en tête de l'article.Testés dans la discrétion depuis 18 mois avec un coup de pouce de Cupertino, les iPad mini sont en train de faire la preuve de leur efficacité à l'école primaire, dans les apprentissages fondamentaux.
Un reportage d'une grande rigueur journalistique, avec deux liens directs vers l'Applestore conservés de l'article d'origine. Rappelons qu'Apple est co-fondateur d'"EducaVox".Reportage dans le sud des Landes.
Sans aucun résultat notable...2250 tablettes à l'école dans les Landes
Décidément, les Landes ont la fibre numérique en matière d’éducation ! Un peu plus de 10 ans après le plan « Un collégien, un ordinateur portable » qui avait vu le plus grand département de Métropole équiper systématiquement d’un ordinateur portable ses élèves de 4e et de 3e...
Ah, il y aurait eu des erreurs...... et alors que l’école élémentaire d’Orthevielle a également su jouer un rôle pionnier dans le défrichage des utilisations du podcasting et du numérique en classe, la Communauté de communes MACS (Maremne Adour Côte-Sud) est en train de mettre en place un ambitieux plan d’aménagement numérique pour ses écoliers, tout en s’affranchissant des erreurs du passé.
Presque deux millions d'investissements pour une communauté de 23 communes.Cette fois-ci, la collectivité locale a pris à bras-le-corps l’ensemble de son champ de compétence, depuis le déploiement du Très Haut Débit sur l’ensemble de son territoire, en tant qu’opérateur neutre, jusqu’à l’équipement de ses 2250 élèves de cycle 3 (CE2, CM1 et CM2) et de leurs enseignants avec des tablettes 7 ou 10 pouces. Un investissement de 800 000 € lorsque la grande section de maternelle, le CP et le CE1 seront également équipés, après avoir doté l’ensemble des classes de 156 écrans numériques interactifs, pour environ 900 000 €.
Car il s'agit bien d'être premier...Et si le nombre de tablettes déployées dans cette première tranche depuis la rentrée 2013 est inférieur d’un tiers à celui du département de la Corrèze dans sa première année avec ses collégiens des classes de 6e, l’expérience tentée dans les 23 communes de la communauté d’agglomérations landaise n’en est pas moins comparable, de par son caractère pionnier à cette échelle au niveau du primaire, et de par le caractère essentiellement rural de son territoire.
Formule creuse qui ne fait l'objet d'aucune démonstration.Avec la même volonté des élus d’utiliser le levier du numérique pour réduire les inégalités en matière de réussite scolaire.
Une démarche globale, d’inclusion et d’aménagement du territoire
Quel rapport avec le sujet qui nous intéresse ?La démarche retenue est cependant particulière, dans la mesure où le territoire, qui regroupe 23 communes sur un peu plus de 2 cantons et un peu moins de 612 km², se caractérise à la fois par une faible densité de population, une forte attractivité (+ 21,75 % de progression de la population entre 1999 et 2006) et une forte amplitude saisonnière, avec plus de 300 000 touristes par an. Ceux-ci viennent s’agglutiner en majorité sur ses 35 km de côtes, quand le territoire compte à l’année 60 000 habitants, essentiellement regroupés autour de 3 pôles : Saint-Vincent de Tyrosse, Capbreton-Hossegor et Soustons-Vieux Boucau. Outre des projets d’aménagement touristiques et commerciaux autour de la « glisse » et du golf qui font l’objet de controverses, la collectivité locale a décidé de d’appuyer son développement sur le numérique.
Quel rapport avec le sujet qui nous intéresse (bis) ?En premier lieu avec le déploiement d’un réseau numérique d’initiative locale, pour tenter d’équilibrer à long terme les tensions auxquelles le territoire est soumis : d’un point de vue de la démographie et du calendrier entre la côte et l’intérieur des terres, mais également entre le Nord et le Sud de celui-ci, à 15 minutes à peine de la côte Basque et de sa forte pression immobilière. De même, la collectivité locale a souhaité pouvoir se doter de l’ensemble des outils juridiques que la décentralisation mettait à sa disposition.
L'intérêt de "l'expérience", c'est donc le rabais consenti par la marque la plus chère du marché des tablettes. Merci pour le lien publicitaire au passage !L'expérience menée sur la communauté de communes de MACS est particulièrement intéressante, à plusieurs titres :
D’abord, si celle-ci n’avait pas fait mystère du déploiement de ces 2250 tablettes à ses petits écoliers du cycle 3, elle n’avait pas jusqu’ici communiqué sur le choix des iPad mini 7 pouces, qui l’ont emporté haut la main à l’issue d’un appel d’offres très disputé. Ceci grâce à une offre très étudiée, que l’APR local (iConcept) n’aurait pas été en mesure de proposer sans un effort conséquent de la marque à la pomme – laquelle a su se mettre à l’écoute de son terrain – offre dont les derniers arbitrages ont été rendus à Cupertino 1.
Quel est le sens de ceci ?Ce déploiement n’est d’ailleurs pas terminé, et aux environs de la fin de l’année c’est le cycle 2 (CP, CE1 et CE2) puis le cycle préparatoire qui devraient être à leur tour équipés d’iPad mini, pour un total avoisinant peu ou prou les 4000 appareils, une fois la problématique de la fibre dans les écoles finalisée.
4.000 "appareils" pour 800.000€, ça fait du 200€ par mini-tablette de 7", bien au dessus du prix du marché pour ce genre de tablettes, et sans négociation.
Il faudrait développer ici.C’est donc en quelque sorte un « petit scoop » que Macplus est en mesure de présenter.
Ensuite, le projet n’a pas fait l’erreur de privilégier tel ou tel aspect plus « vendeur » auprès des parents en fournissant uniquement des appareils électroniques, comme cela a pu être auparavant le cas lors de plans d’équipement précédents.
Et c'est vrai que des iPads mini, ce n'est pas du tout "vendeur".
Ah oui : si le projet est "architecturé, ça change tout. Et c'est drôlement bien pensé, cette idée de connecter les tablettes à un réseau.Au contraire, il a su s’appuyer sur l’ensemble des différents aspects de l’écosystème du numérique pour élaborer un projet architecturé autour de la connexion des écoles et de la disponibilité des ressources pédagogiques...
Des espaces de stockage ? Une idée révolutionnaire !...puis en intégrant un espace d’élaboration collaboratif avec les écrans interactifs. Celui-ci est lui-même articulé avec les appareils de production de contenu plus individuels que sont les iPad, et avec au final des espaces de stockage et de diffusion à la disposition des enseignants, espaces entièrement maîtrisés par la collectivité : en quelque sorte un Cloud local.
Exemplaire concernant l'achat des tablettes et la promotion de l'opération (pour Cupertino et pour les collectivités locales). Pour le reste, d'un point de vue scolaire...Sans oublier la formation des enseignants. On est donc dans une expérience tout à fait exemplaire...
A lire ici : www.education.gouv.fr/cid84231/apprentis..._et_en_mathematiques...susceptible d’être généralisée à l’occasion du prochain plan numérique national pour l’école. Edumax, le projet de plate-forme d’évaluation et de remédiation (autocorrection de l’élève) des apprentissages fondamentaux à l’école, élaboré dans le prolongement du déploiement actuel, a d’ailleurs été lauréat cet automne du 3e appel à projets e-Éducation lancé par le Ministère, pour être soutenus par les investissements d’avenir.
Le projet de plateforme Edumax est un ensemble de services destiné aux élèves, aux enseignants et aux familles. La plateforme pédagogique numérique vise l’évaluation régulière et approfondie de compétences fines des élèves, l’entraînement et la remédiation personnalisés pour les apprentissages fondamentaux pour les niveaux CM1, CM2 et 6ème, en lecture et en mathématiques.
Une solution pour les élèves
Des parcours d’évaluation-remédiation en lecture et mathématiques sont proposés pour analyser les difficultés de chacun et les conduire avec bienveillance, ambition et lucidité vers la maîtrise des compétences fondamentales.
Une solution pour les enseignants
La plateforme offre des outils pour faciliter l’utilisation de ressources numériques et pour simplifier la gestion de la classe. Elle repose notamment sur :
la personnalisation de l’entraînement et de la remédiation
une insertion dans les habitudes pédagogiques des enseignants
la mise en place d'un réseau communautaire d’échange et de partage
Une solution pour les familles
Edumax vise à développer des pratiques éducatives hors de l'École et créer des lien plus étroits entre l'École et les autres lieux d’enseignement ou de culture. La plateforme propose ainsi des services périscolaires et extrascolaires.
La solution doit bénéficier à l’ensemble des acteurs du monde éducatif grâce au raccordement des établissements et lieux culturels au très haut débit et à l’équipement généralisé en outils collectifs et individuels.
Pour accompagner et suivre l’opération, un observatoire de l’utilisation pédagogique du dispositif ainsi que des services de formation et de support utilisateurs seront mis en place.
Le projet Edumax est conduit par le groupe Sejer. Il rassemble l’Université Paris Descartes – Laboratoire CI FODEM d’Alain Bentolila, la SPL Digital Max de la communauté de communes MACS, les PME Stantum, Shalama, Middleweb et Nandou. Il bénéficiera de l’appui de la DSDEN des Landes.
Enfin, en repensant le développement du territoire tout entier autour du numérique...
Et dont il faut assurer d'urgence la promotion sur "EducaVox"....quand nombre d’entreprises peinent encore à évoluer en ce sens, les choix opérés par MACS semblent un bon exemple de la stratégie qu’une collectivité rurale peut mettre en œuvre pour orienter et maîtriser son développement, en minimisant les contraintes de la géographie…
Dommage, on n'en saura pas plus.Et des « Telcos » multinationales. La mésaventure rencontrée par le département 92 dans le déploiement de sa propre stratégie numérique et obligé de dénoncer sa délégation de service public, est malheureusement là pour le rappeler.
Ajout final sans aucun rapport, mais il ne fautr pas oublier la dimension citoyenne de tout projet numérique.Mais il s’agit également de produire du lien social.
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Détrompez vous Loys, le prix est bon marché : les mini-iPads 7,9 pouces coûtent dans le commerce 299 ou 399€ selon la version.4.000 "appareils" pour 800.000€, ça fait du 200€ par mini-tablette de 7", bien au dessus du prix du marché pour ce genre de tablettes, et sans négociation.
Cela étant, le choix du format est franchement discutable, surtout pour un zélote du 2.0 : même si les mouflets ont de petits doigts, vous oubliez la production avec l'IPad mini. Écran trop petit.
Donc, c'est un super outil de consultation internet, appareil-photo et baladeur audio et vidéo. Rien de plus.
On peut donc présumer qu'il n'y a guère eu de consultation des enseignants dans le choix d'équipement...
De quoi navrer un militant du constructivisme 2.0.
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- Loys
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Attention : je parle de "ce genre de tablettes". En prix public, sans négociation, on trouve des tablettes à moins de 100€.
Notez que le premier prix public actuel pour un iPad Mini sans négociation, c'est plutôt 239€ : www.conrad.fr/ce/fr/product/809371/
Les modèles iPads Mini à 399€ sont ceux avec la 3G/4G, inutiles dans le cadre scolaire.
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La diagonale d'écran du Ipad mini est effectivement de 7,9 pouces, erreur corrigée.
Les prix publics pour particuliers sur le site Apple sont de :
249 € (Ipad mini 1, modèle en fin de vie, derniers stocks à écouler donc aussi sur des sites de discounter comme conrad.fr ).
299 € (Ipad mini 2, modèle d'entrée de gamme).
399 €(Ipad mini 3, modèle haut de gamme).
La politique de prix chez Apple, c'est le prix d'appel : 299 + x50 €
Les rossignols ne sont pas bradés longtemps, question de standing.
Ces prix s'entendent en 16Go (configuration minimale) de mémoire et sans 3G/4G (cellular = + 50 €).
Quelle version a été choisie dans les Landes ?...
S'il s'agit de l'Ipad mini 1, le prix négocié a pu être cassé, car c'est du déstockage.
À ce sujet d'ailleurs, une tablette à 16Go peut vite arriver à saturation, entre l'IOS qui occupe déjà autour de 4Go et des applications gourmandes (pack office Mac, logiciels musicaux et vidéos... Les apps de base livrés ou gratuites sur Apple Store sont déjà lourdes).
Donc des questions d'arbitrage risquent de se poser si le choix s'est porté sur la configuration minimale, surtout pour un usage photo/vidéo qui nécessite beaucoup de mémoire pour les apps et le stockage.
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- Loys
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D'après le lien dans l'article de "MacPlus", il s'agit d'iPads Mini de première génération, 299€ prix public en octobre 2013. Les 2150 premiers iPads ont été distribués en novembre 2013 (notification du contrat en octobre 2013), pile quand la seconde génération venait d'être présentée au monde et commençait à être commercialisée. En novembre 2014, lancement de l'iPad mini 3. L'obsolescence, c'est rapide avec ces petites choses-là.
Détail supplémentaire :
www.tablette-tactile.net/wp-content/uplo...se_avril2014_Web.pdf« Cet apprentissage des enseignants ne se ferait pas aussi bien si le rectorat ne nous avait pas autant suivi dans la formation délivrée aux enseignants sur ces nouveaux outils. » Sabrina Caliaros souligne : « C’est non seulement la formation, mais aussi l’accompagnement qui est important. » Les professeurs de MACS ont bénéficié du soutien des maîtres assistants en numérique, dévolus à leur accompagnement, qui ont pu eux-mêmes bénéficier du transfert de compétences des formateurs Apple. Cependant, « on n’impose rien aux enseignants. Chacun s’approprie l’outil selon ses moyens, à sa vitesse.
www.laviemoderne.net/images/forum_pics/2...ctiles-numerique.pdfLe deuxième rond-point concerne le déploiement massif de tablettes pour les élèves du cycle 3, soit environ 2 500 unités, distribuées depuis janvier 2014. « Tout cela à marche forcée, puisqu'après les premiers contacts avec le fournisseur et l'Éducation nationale, la passation du marché public puis les distributions sont intervenues avant la formation des enseignants », reconnaît Christophe Carayon. Les enseignants et les élèves se sont donc autoformés avant qu'un plan de formation ne soit assuré à la fois par les équipes de l'Éducation nationale et par le service informatique de la collectivité.
Autre détail : l'équipement tablettes + tableaux approche un budget de 2M€. En 2014, le budget de fonctionnement de la communauté de communes, c'est 70M€ et le budget d'investissement , c'est 24M€... dont 17M€ d'emprunts.
Comme le dit Chistophe Carayon :
On est quand même loin des préoccupations pédagogiques...L'idée, c'est de construire et de rendre attractif ce territoire avec un levier qui s'appelle le numérique
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Je développe un peu pour satisfaire votre curiosité :JC écrit: À ce sujet d'ailleurs, une tablette à 16Go peut vite arriver à saturation, entre l'IOS qui occupe déjà autour de 4Go et des applications gourmandes (pack office Mac, logiciels musicaux et vidéos... Les apps de base livrés ou gratuites sur Apple Store sont déjà lourdes).
Donc des questions d'arbitrage risquent de se poser si le choix s'est porté sur la configuration minimale, surtout pour un usage photo/vidéo qui nécessite beaucoup de mémoire pour les apps et le stockage.
Avec 16Go de mémoire, l'installation d'applications diverses, l'abonnement à des flux (podcasts), et le stockage d'images et de vidéos peuvent très vite saturer la mémoire.
J'ai un iPad à 16 Go, pur outil de consultation sur lequel je ne produis rien, et j'ai dû virer des apps, je jette les podcasts régulièrement, etc. Je ne m'imagine pas avoir un usage photo ou vidéo avec la tablette, car elle souffrirait vite d'obésité... Des logiciels de retouches photo ou vidéo sont très lourds, par exemple.
Problème : à défaut de port USB (ce qui est un gage de fiabilité : on ne peut mettre n'importe quoi sur la tablette. mais tout passe par Apple ; contrôle et utilisateur captif), faire de la place dans la mémoire exige de passer par le Cloud d'Apple, en permanence. Donc il faut un Wifi au débit suffisant pour charger-décharger plusieurs tablettes simultanément, bref une forêt d'ondes. Ou alors des liaisons filaires, qui réduisent considérablement la mobilité de l'engin !
Bref, la gestion quotidienne des tablettes, (le back-up) risque de s'avérer vite compliquée pour les professeurs...
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- Loys
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On cède, au contraire, à l'effet de mode et au réflexe de consommation : il n'y a qu'à voir les ordinateurs sous Linux adoptés en 2008 en Corrèze et abandonnés en 2010 pour des iPads qui éblouissaient le monde par leur nouveauté.
Par ailleurs Apple, avec son système propriétaire fermé, est très heureux d'entrer sur le marché de l'éducation pour fidéliser de nouveaux clients. Bon, Android ou Windows ont beau sembler plus ouverts, ce sont également des systèmes fermés, notamment par leur magasin d'applications.
Précisément sur ce point, le dossier Weka d'octobre 2014 (un an après la première distribution de tablettes, est assez ingénu à ce sujet :JC écrit: Donc il faut un Wifi au débit suffisant pour charger-décharger plusieurs tablettes simultanément, bref une forêt d'ondes. Ou alors des liaisons filaires, qui réduisent considérablement la mobilité de l'engin !
Bref, on équipe à la va vite. Pour la formation des enseignants ou le débit Internet, on verra plus tard. Un bel exemple de la façon très pédagogique qu'ont les collectivités locales de passer à l'école numérique.L’an passé, jusqu’à 400 tablettes ont pu fonctionner en simultané. La consommation en bande passante a donc été exponentielle. « Au démarrage nous étions à 4 Mbit/s puis à 10 Mbit/s. Il faudra aller vers 100 Mbit/s, puis passer à la fibre optique et au Gbit/s, sinon il y aura des dysfonctionnements », anticipe le chargé de mission.
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- Loys
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Encore une fois : la "réussite" du pari n'a rien de pédagogique...
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- Loys
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Pour exemples, au départ, des élèves arrivaient en classe avec leurs photos personnelles et les partageaient avec leurs camarades pendant les heures de cours ; afin de cadrer l’utilisation des tablettes en classe, une charte des usages de la tablette de l’élève a du être rédigée.
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