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Le "profbashing" au jour le jour
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L’école à la française me semble vouée à transformer les enfants en adultes malheureux.
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Pas vraiment étonnant : Philippe Watrelot donne tort au MEDEF sur la forme mais raison sur le fond : philippe-watrelot.blogspot.fr/2017/09/le...mpletement-tort.html
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Selon cette association : www.phobiescolaire.org/definition-phobie-scolaire
Les causes sont soit environnementales ou plus individuelles.
Les causes environnementales peuvent être liée à des situations de violence (tels que le harcèlement, cyber-harcèlement) ou des difficultés ou des efforts pour s’adapter. Cela peut être dû à des troubles « instrumentaux » (dyslexie par exemple) qui engendrent une difficulté et quand les exigences augmentent (au collège), les jeunes n’arrivent plus à suivre, malmenés par les exigences.
Les causes plus individuelles incluent des situations sans relation avec l’école, telles que l’angoisse de séparation ou de la phobie sociale. Cela peut aussi être un moyen de pression sur les parents, qui vivent des choses très difficiles – comme un moyen d’attirer leur attention, l’expression de leur propre malaise.
C’est souvent la conjonction de causes environnementales et individuelles qui conduisent à la phobie scolaire.
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Les deux auteurs Hugues Poissonnier et Pierre-Yves Sanséau sont professeur d'économie et de management ou de Gestion des Ressources Humaines et tous deux membres de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM). Leur tribune est truffée d'erreurs...
Extrait sur l'école :
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La référence dans l'article précédent est un article de "Psychologies magazine" en mai-juin 2015 : "Le paradoxe français" . Ilona Boniwell est présentée comme une "analyste" ou citée comme une chercheuse… alors que son métier est de vendre des formations de coaching au bonheur.
La fin de la tribune est même copiée-collée de ce premier article, ce qui est assez malhonnête puisque dans l'article la dernière phrase est censée corroborer l'analyse d'Ilona Boniwell, qui est en fait celle de Claudia Senik :
La référence à "PISA 2014" (sic) est donc recopiée de ce premier article, les auteurs s'étant contentés de trouver un lien vers un article évoquant PISA. En réalité, ce chiffre est tiré de PISA 2003 et ne concerne… que les mathématiques (p. 149 fig 3.. L'effondrement du "sentiment du bonheur" laisse perplexe puisqu'un tel indicateur n'existe pas.Le facteur scolaire est peut-être le plus important. Quand des immigrants débarquent en France, ils arrivent avec leur niveau de satisfaction initiale et le gardent pendant plusieurs années s'ils arrivent heureux, ils le restent longtemps. Mais pas leurs enfants. Dès que ceux-ci entrent dans le système scolaire français, ils adoptent le niveau d'optimisme - de pessimisme, en fait - de leurs petits concitoyens. II se passe, derrière les portes doses des écoles françaises, quelque chose de l'ordre du broyage, un saccage systématique de l'espoir. Selon une étude, 75% des élèves français tremblent avant de recevoir leurs notes, par exemple, et le sentiment du bonheur tombe en chute libre dès l'entrée en sixième.
La considération sur les migrants est elle-même tirée, semble-t-il, de L'Économie du bonheur de Claudia Senik.
Pour Ilona Boniwell, le bonheur est surtout lié à l'esprit d'entreprise. L'article est de fait très subjectif ("Vous trouvez ça normal ? Allons-y voir d'un peu plus près. Suivons, par exemple, ma propre progéniture […] Pourtant, l'ambiance à la maison n'a guère change en cinq ans Jason se sent toujours autant aimé. Je suis convaincue que s'il a perdu son optimisme, c'est parce que l'atmosphère sociale - et donc l'école - dans laquelle il baigne le tire vers le bas.")...Ilona Boniwell dirige la société Positran qui intervient dans le domaine de l'éducation en Grande-Bretagne et du bien être citoyen auprès de plusieurs gouvernements. Elle est I'auteure de nombreux ouvrages dont Introduction à la psychologie positive (Payot 2012). D'origine lettone Ilona vit en France avec son mari et leurs cinq enfants.
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Voir aussi : books.google.fr/books?id=Rk5cBAAAQBAJ&pg...0aveugles%22&f=falseRoger-François Gauthier (IGAENR) évoque également les questions d'évaluation. Il dénonce en particulier « le recours permanent aux moyennes aveugles ». Pour lui, d'ailleurs, le problème n'est pas tant la note que le harcèlement permanent exercé par les pratiques d'évaluation vis-à-vis des élèves. Et de prôner des évaluations adaptées à la logique curriculaire : démarches pluridisciplinaires, oral, travail collectif, activité de création au sein d'un projet, et des examens par grands champs disciplinaires, avec plusieurs niveaux d'épreuves et un diplôme délivré sous forme d'unités, sans compensation possible.
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