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Enfants, ados et écrans en chiffres
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Kids age 8 and under spend an average of 2 hours and 19 minutes a day with screen media, roughly the same as in prior years. Where they spend that time, however, has changed dramatically. TV is still king, commanding 58 minutes a day of kids’ attention this year. But mobile is rapidly gaining ground, rising from 5 minutes a day in 2011 to 15 minutes in 2013 and now to 48 minutes a day in 2017. Meanwhile, time spent watching TV declined 11 minutes over the same period.
Mais surtout : "Exploring the digital divide 2011-2017"
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abcnews.go.com/Lifestyle/screenagers-doc...nt/story?id=36703516
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Géraldine Woessner écrit: Les chiffres ahurissants de cette étude @harrisint_fr : les petits français de 4 à 14 ans visionneraient quotidiennement 3H55 de vidéos par jour. 3H04 à 4 ans, 5H28 à 14 ans ! OK, c'est moins que les petits américains (8H24.) Mais c'est gigantesque...
www.lagardere-pub.com/fiche-etude/videokids-decembre2017
L'étude : www.lagardere-pub.com/files/Expertises/%...-publicit-harris.pdf
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- le pourcentage ayant utilisé Internet à l'âge de 6 ans ou moins est passé de 14,7% à 17,5% entre 2012 et 2015 (+19%). Il y a fort à penser que ce pourcentage ne cessera d'augmenter avec la généralisation des smartphones et tablettes à partir de 2010 (résultat dans PISA à partir de 2026). Les chiffres pour la France ne sont pas connus.
- le temps quotidien moyen passé sur Internet en dehors de l'école est passé de de 105 à 145 minutes (+38%)
- "Dans la plupart des pays et économies participants, l’« utilisation extrême d’Internet » – plus de six heures par jour – est en relation négative avec la satisfaction des élèves à l’égard de leur vie."
- "dans les pays de l’OCDE, le pourcentage d’élèves qui se sentent seuls à l’école s’établit à 17 % chez les « utilisateurs extrêmes d’Internet », mais à 14 % chez les « utilisateurs occasionnels » (qui passent moins d’une heure par jour sur Internet), à 12 % chez les « utilisateurs modérés » (qui passent entre une et deux heures par jour sur Internet), et à 13 % chez les « utilisateurs assidus » (qui passent entre deux et six heures par jour sur Internet). Les utilisateurs « occasionnels » et « extrêmes » sont aussi plus susceptibles que les utilisateurs « modérés » et « assidus » de se dire harcelés à l’école."
- "L’utilisation extrême d’Internet est en relation négative avec la performance académique. Après contrôle du statut socio‑économique des élèves, le score des « utilisateurs extrêmes d’Internet » est inférieur de 30 points environ dans tous
les domaines d’évaluation à celui de tous les autres types d’utilisateurs."*
- "dans tous les pays et économies dont les données sont disponibles sauf en Corée, les élèves qui passent en ligne plus de six heures par jour en semaine en dehors de l’école sont aussi plus susceptibles de chatter en ligne ou d’utiliser leur messagerie électronique pendant les cours. En moyenne, dans les pays de l’OCDE, 14 % des élèves disent chatter en ligne à l’école tous les jours et 5 %, utiliser leur messagerie électronique à l’école tous les jours." (mais l'OCDE rappelle que les smartphones peuvent être utilisés de façon pédagogique)**
De plus les élèves français font partie de ceux :
- qui pensent le plus qu'"Internet est une formidable source pour trouver les informations qui m'intéressent"
- qui éprouvent le plus un sentiment d'énervement ("feeling bad") en cas d'absence d'accès à Internet (81,8% pour les filles)
* "Cette relation négative entre l’utilisation extrême d’Internet et la performance pourrait s’expliquer par le fait que les élèves très actifs en ligne négligent leurs devoirs faute de temps ou sont distraits en classe parce qu’à l’école, ils ressentent le besoin de rester en contact avec leurs amis en ligne. Toutefois, il est aussi possible que les élèves passant autant de temps en ligne resteraient moins performants même si Internet n’existait pas, car ils ne s’intéressent pas à leurs études, ne sont pas capables de rester attentifs longtemps, etc."
** "L’utilisation de smartphones et d’autres applications de communication en ligne n’a toutefois pas nécessairement pour effet de réduire les périodes d’attention ou de troubler le climat de discipline. Plusieurs études suggèrent que le smartphone à l’école, s’il est utilisé à des fins pédagogiques, pourrait renforcer l’engagement scolaire des élèves (Brooks-Young, 2010 ; OCDE, 2015). L’intégration des technologies dans l’enseignement pour proposer des activités éducatives de qualité pourrait réduire les problèmes liés à une mauvaise utilisation d’Internet tant à l’école qu’ailleurs."
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Si le téléviseur reste le premier équipement du foyer, le smartphone renforce sa première place comme terminal personnel (84% des 13-19 ans et 24% des 7-12 ans), devant l’ordinateur et la tablette.
Pew research center : "How teens and parents navigate screen time and device distractions" (août 2018)
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