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François Taddei, le CRI et les "enfants chercheurs"
Elle a conduit à l'EIST, que la réforme du collège veut généraliser.
Cette EIST a été déjà "expérimentée", et est, elle aussi, comment pourrions nous en douter, considérée comme "un grand succès", puisqu'il faut la généraliser.
Toutefois, si l'on se donne la peine de lire l'évaluation de l'EIST (Évaluation de l’effet du dispositif d’enseignement intégré de science et technologie (EIST)) réalisée par le ministère lui même ici , on découvre, après une savante analyse statistique et des remarques pertinentes (tout est possible), à la p. 89, en guise de "conclusions et perspectives", cet aveu:
Suivent tout un ensemble de remarques essayant de sauver le soldat EIST, laborieusement, sans y parvenir. Les auteurs semblent fort gênés par leur conclusion. Pour cela, ils font même une remarque assez discutable :" rappelons que les collèges engagés dans l’EIST sont des collèges volontaires, et qu’à ce titre, on pouvait craindre l’apparition d’un effet positif de l’expérimentation qui soit « artefactuel », c’est-à-dire ne traduisant pas les effets du dispositif lui-même mais celui de caractéristiques non observées des collèges, en lien avec leur adhésion à l’EIST. Cet effet n’apparaît pas, ce qui évacue mécaniquement la question de la surestimation de l’effet liée au volontariat."Les premières analyses de l’effet de l’expérimentation EIST sur les progressions des élèves, observées sur trois temps de mesure, du début de 6e à la fin de 5e,ne font pas ressortir d’effet significatif associé au fait d’avoir bénéficié du dispositif de l’EIST. Cette absence d’effet porte tant sur les progressions en termes d’acquis cognitifs dans le domaine des sciences qu’en termes d’attitudes à l’égard des sciences.
Il n'y a pas d'effet positif, donc il n'y a pas d'effet du volontariat.
Un esprit mal pensant pourrait oser une remarque différente : l'EIST pourrait avoir un effet légèrement négatif gommé par le léger effet positif dû au volontariat... C'est sans doute pour vérifier cette hypothèse que notre ministère bien aimé entend généraliser l'EIST dès l'année prochaine...
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- Loys
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J'ajoute à la critique sur l'absence "d'effet volontariat" le passage un peu rapide sur la fonte des effectifs concernés : pourquoi autant d'élèves n'ont pas finalement participé aux évaluations, quid des élèves redoublants dont on nous dit qu'ils n'ont pas été évalués ? Les causes de cette déperdition et les éventuels biais engendrés ne sont pas du tout analysés.
J'ajoute que ce rapport ne semble pas avoir été connu du ministère car on lit sur le site, pourtant mis à jour en août 2015
La subtilité réside évidemment dans la date choisie pour affirmer la pertinence...Entre 2006 et 2010, les évaluations croisées du ministère de l'éducation nationale et de l'Institut national de recherche pédagogique (INRP) ont montré la pertinence de cet enseignement.
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- Loys
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- Loys
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Difficile de faire plus nébuleux...
Rappelons que Ange Ansour et François Taddei se sont par ailleurs engagés en faveur de collège 2016 !
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- Loys
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Et, peu après, sur ce blog du "Monde" : "L’histoire « aberrante » d’un jeune Québécois qui assure avoir découvert une cité maya" .
Et si on revenait à la bonne vieille recherche scientifique, celle qui vérifie avant d'affirmer quoi que ce soit...Le professeur Stuart s’inquiète de ces phénomènes où la « junk science rencontre Internet » : « Retrouver des formes dans les constellations, c’est un peu le test de Rorschach », explique-t-il, faisant référence à ce test psychologique où l’on demande aux sujets d’interpréter librement des formes à partir de taches symétriques.
« Il y a des sites mayas partout, et des étoiles partout également. La forme carrée est en effet l’œuvre de l’homme, mais c’est un vieux champ de maïs (…). »
Edit : cette séquence médiatique est donnée en exemple pour l'éducation aux médias (séquence "Fake news et Fact checking" ). Cf www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/...530669131855195.aspx
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- Loys
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- Loys
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On ne parle pas d'enfants, mais d'adultes à qui il s'agit... d'imposer sa volonté."Si tu veux construire un bateau, ne rassemble pas tes hommes et femmes pour leur donner des ordres, pour expliquer chaque détail, pour leur dire où trouver chaque chose... Si tu veux construire un bateau, fais naître dans le cœur de tes hommes et femmes le désir de la mer.” (Antoine de Saint-Exupéry)
"pour l'apprentissage" n'était pas assez ambitieux, sans doute.Cet article est l’aboutissement d’une expérience pédagogique menée par Amélie Vacher dans sa classe de CE2 en Gironde pendant l’année scolaire 2015-1016, sous le tutorat d’Amélia Legavre et de François Taddei, membre et directeur du Centre de Recherches Interdisciplinaires de Paris. L’idée était d’associer les élèves à la création d’un environnement d’apprentissage favorable dans leur classe et de développer ainsi leur intérêt pour “l’apprendre”.
Pour les éloges, on n'est jamais mieux servi que par soi-même.Depuis, une classe de CE2 en réelle ébullition et des élèves dont la pertinence des questions et des interventions en viennent à m’impressionner.
Une attitude et une confiance qui se sont progressivement construites au fil de l’année à travers un projet très ramifié qui aura utilisé des démarches pédagogiques souvent qualifiées d’ « innovantes »
Un sacré pot-pourri pédagogique !...l’apprentissage par le questionnement, par la recherche, par projets, par la pensée design ou « design thinking » (1), par le numérique.
Il fallait y penser, à cette interdisciplinarité-là.Tout ceci mis en place dans le but de découvrir et donner du sens à une notion interdisciplinaire : l’apprendre.
L'épanouissement - curieuse notion dans l'espace scolaire : qui peut prétendre rendre heureux ? - devient donc ici utilitaire.Ma première hypothèse est que l’on apprend mieux lorsque l’on se sent bien : à la fois quand on se sent « à l’aise » dans l’espace de la classe et lorsqu’on s’épanouit dans ses relations avec les autres, élèves et enseignant.
En anglais, c'est toujours plus impressionnant.La première étape a donc été d’utiliser une démarche de « design thinking »...
Un espace qui ressemble curieusement à une classe de maternelle, donc. Pour le distributeur, le "bonheur" ne tient pas à grand chose, on dirait....pour que les enfants définissent les coins de la classe à réaménager : les bureaux ont changé de place plusieurs fois, les enfants ont souhaité ajouter un tapis, des coussins, des jeux et ils ont même proposé d’installer un distributeur de bonbons que nous utilisons pour célébrer les grandes réussites collectives du groupe.
Des réussites "citoyennes ou humaines" ?Dans cette idée, les enfants possèdent également un carnet de réussites sur lequel ils notent, au moment opportun pour eux, leurs réussites qu’elles soient scolaires, citoyennes ou humaines et qu’elles prennent place à l’école comme à la maison. Relu depuis le début, c’est un outil pour apprendre à prendre confiance en soi et dans sa capacité de réussir. Les enfants l’adorent.
La valorisation ressemble bien aux encouragements prodigués aux élèves de maternelle.
Un tel apprentissage de la parole est une grande nouveauté, assurément : il manquait en effet "la philosophie".Enfin, nous avons mis en place de nombreux moments de discussion : des débats coopératifs qui régulent les tensions en permettant aux enfants de proposer des solutions, des débats philosophiques autour de l’apprendre (« Qu’est-ce qu’apprendre ? », « Pourquoi apprendre ? », « Comment mieux apprendre ? »…) qui leur ont appris à prendre la parole de manière organisée pour exprimer un point de vue, à réagir aux mots d’un autre, à construire une argumentation.
On observe donc un grand écart entre régression consternante (l'univers des tout-petits) et ambition démesurée (la philosophie).
Et si on réfléchissait à l'intérêt d'apprendre en apprenant, en faisant ?Cet exercice s’est progressivement mis en place, encourageant les timides à prendre la parole, incitant les plus actifs à attendre leur tour pour s’exprimer… Il a créé un véritable espace d’échanges au sein du groupe et permis aux élèves d’entrer dans la notion complexe de « l’apprendre » en confrontant leurs premières idées.
Le constructivisme, donc.Ma deuxième hypothèse est que le questionnement constitue un moteur fondamental pour l’apprentissage.
Le questionnement, inné chez l’enfant, est parfois éludé par les adultes par manque de temps. Par conséquent, nos élèves sont souvent passifs et attendent une transmission du savoir sans aller le chercher.
Par ailleurs rien de plus faux : tout enseignant s'efforce de faire naître chez les élèves des questionnements.
Car la notion de choix, de progression ou d'organisation des apprentissages est désormais obsolète.Cette année, j’ai fait le choix inverse : encourager ce questionnement, lui permettre de s’exprimer à tout moment en classe et sans aucune restriction de thème grâce à l’utilisation d’une boîte à questions.
C'est vrai que c'est un questionnement ("Pourquoi ferme-t-on les yeux quand on fait un bisou sur la bouche ?") fondamental en CE2. Et la recherche d'information peut se faire sans maîtrise du sens des mots, de la logique, sans culture solide.Collecter des questions est une première étape mais l’essentiel se passe ensuite : régulièrement, des questions sont tirées au sort, débattues de manière collective en émettant les premières hypothèses de réponse.
Puis, un travail de recherche documentaire se met en place : sur des livres, sur internet et si aucune réponse n’est trouvée, nous essayons de faire appel à des personnes qualifiées dans le domaine concerné. Ce fut le cas d’Alexandre Lacroix, philosophe, pour répondre à la question « Pourquoi ferme-t-on les yeux quand on fait un bisou sur la bouche ? ». Ces premières recherches ne furent pas faciles. Quand on n’est pas encore un lecteur expert, rechercher, trier et sélectionner l’information dans un livre, utiliser un moteur de recherche sécurisé, avoir un regard critique sur la pertinence des réponses trouvées est un exercice difficile mais important.
Les premiers résultats images de Google sont intéressants :
Le fait que la question soit posée par un élève ne suffit visiblement pas à donner du sens à l'apprentissage...Afin d’apporter une motivation à ces recherches, nous avons décidé d’en faire un magazine numérique et de les partager avec tous.
Voilà qui est important pour les élèves.L’apport interdisciplinaire de son contenu, le travail de groupes et l’utilisation du numérique liés à la recherche des réponses et à la rédaction du magazine nous ont permis de gagner un concours d’innovation pédagogique (2).
Phrase tout à fait spontanée à huit ans.Ma troisième hypothèse est que la diversité pédagogique et didactique représente une véritable source de motivation.
Comme disent les enfants « Nous, ce qu’on adore, ce sont les projets collaboratifs, surtout s’ils utilisent le numérique ».
Les élèves sont donc chercheurs ET écrivains.Ils se sont ainsi plongés dans de nombreux projets au cours de l’année : disciplinaires comme la Twictée (3) ou interdisciplinaires comme « animehistoire », un projet québécois de littérature collaborative augmentée dans lequel nous devions à la fois inventer la suite d’un récit et illustrer une autre partie en réalisant un film en réalité augmentée.
Les gadgets et leur nouveauté en classe exercent toujours une grande fascination. A vrai dire, les élèves peuvent facilement être demandeurs de plantes, de sorties ou d'animaux, mais c'est tellement old school.Les principales difficultés ont ici concerné notre accès au numérique et nos compétences en la matière : seulement deux PC en classe, une classe mobile défaillante, pas de tablettes et une totale découverte des logiciels de montage.
Malgré tout, les enfants restent très demandeurs de l’utilisation du numérique.
Quelles belles intentions ! Voilà qui est autrement plus "citoyen" qu'un bête apprentissage de la langue.Au-delà, le projet qui aura le plus marqué les enfants en termes d’engagement restera le dispositif Bâtisseurs de possibles dont la démarche est également issue du design thinking.
Les enfants partent ainsi d’une préoccupation collective (pollution, incivilités, violence...), imaginent des solutions, en choisissent une, testent sa validité puis la mettent en œuvre. Ils sont donc acteurs de la conception à la réalisation du projet.
Le rôle de l’enseignant est ici de leur permettre d’entraîner leur créativité et leur sens des responsabilités tout en s’effaçant le plus possible. Il aura fallu quatre essais pour que ma classe parvienne à concrétiser un défi : les premières idées qui concernaient une aide aux migrants puis une course aux déchets dans la ville n’ont pas pu aboutir (absence de migrants accueillis dans notre ville, plan vigipirate et restriction des sorties scolaires).
Protéger la planète, en toute humilité.Il aura fallu du courage et de la ténacité pour finalement organiser un défi afin de lutter contre la pollution entre le domicile des élèves et l’école en invitant toutes les classes à participer. Côté bilan, 73 enfants auront participé à trois jours d’action ce qui représente environ 200 trajets qui auront permis, à leur niveau, de contribuer à protéger la planète.
On pourrait aussi étudier comment l'économie numérique et ses objets de consommation génèrent pollution et gaspillage d'énergie. Ou bien le modèle commercial de groupes comme Twitter.
Un questionnement d'adulte soumis à des élèves de huit ans, donc.Enfin, ma quatrième hypothèse est que l’apprentissage par la recherche permet, en s’appuyant sur la pratique de la démarche scientifique, de construire une qualité de raisonnement et une méthodologie d’action utile à l’apprentissage.
Cette partie expérimentale s’est faite dans le cadre des Savanturiers du cerveau avec comme problématique posée par les enfants « Est-ce qu’on apprend mieux dans le plaisir et moins bien dans le déplaisir ? ».
Mes élèves ont donc imaginé, conçu, réalisé puis analysé trois séries d’expériences.
Dommage : il faut être ambitieux !Le but était d’opposer les notions de plaisir et de déplaisir dans leurs situations d’apprentissage scolaire afin de déterminer si le plaisir rendait vraiment plus efficaces (4). L’idée n’était pas tant de produire un savoir scientifique valide étant donné la taille des échantillons et les biais que les enfants ont eux-mêmes repéré (agitation, différence de certains supports, tirage au sort inéquitable) que de permettre aux enfants de s’initier à la démarche scientifique en portant un regard critique sur leurs conditions d’apprentissage.
Le distributeur de bonbons ? Ils le savaient déjà !A ce jour, ils ont compris qu’ils ne pouvaient pas conclure de manière formelle sur l’influence de la musique, de l’odeur et de la récompense mais en observant les résultats globaux, ils perçoivent qu’une récompense positive peut motiver à être plus efficaces
Découverte importante.... et les résultats individuels de quelques élèves ont montré qu’ils perdaient complètement leurs moyens dans le bruit.
A signaler aux apologistes du "bruit pédagogique".
Ce qui compte, c'est de faire comme si.La conséquence, bien que pouvant difficilement être qualifiée de « scientifique »...
On imagine pas un professeur bienveillant obtenir le même résultat dès le premier jour de classe....aura néanmoins eu des influences en termes d’ambiance de travail, avec, pour exemple, une élève s’exclamant « Moins fort, vous savez bien que je ne peux pas travailler dans le bruit ! » et une classe qui, après avoir éclaté de rire s’est immédiatement tue.
Il faut croire que les collègues n'obtiennent que des regards moroses, avec des classes inefficaces, se sentant mal, ne prenant pas de plaisir, n'ayant pas "le droit" (sic) à l'erreur et ne devenant jamais "libres".Pour conclure, aujourd’hui, je pense que ce projet d’exploration de l’apprendre entraîne de nombreux effets.
Mes élèves arborent de grands sourires, s’organisent en groupe avec efficacité, osent explorer, se tromper, s’entraînent à recommencer. Ceux-ci définissent qu’apprendre, pour eux, c’est se sentir bien, travailler en groupes, faire des projets, prendre du plaisir, découvrir, chercher, avoir le droit à l’erreur, recommencer et que cela les rend « libres ».
Quoique, si on considère que l'acquisition de certaines compétences (assez peu évoquées dans ce long article) émancipe...
C'est vrai qu'en l'absence de devoirs à la maison, le suivi d'un compte Twitter est finalement une sinécure de "co-éducation".Leurs parents se sont majoritairement abonnés au compte classe (5), le suivent, le commentent régulièrement. Ils s’impliquent également dans nos rencontres de suivi de projet. De leur point de vue, l’école leur ouvre ses portes, ce qu’ils apprécient.
Quelle chance ont les élèves !Ce projet permet d’initier des échanges sur l’apprentissage en établissant un lien école-maison et pourrait aboutir à un partenariat co-éducatif. Dans mon école, cette première vaste exploration de l’apprendre m’aura incitée à présenter le projet à la CARDIE (6) et huit classes devraient participer à un projet Bâtisseurs de possibles l’an prochain.
Comme il est dit dans l'article, le seul risque vis à vis de la hiérarchie est d'obtenir une promotion rapide.Enfin, pour moi, enseignante, ce projet aura permis de concrétiser une envie d’évolution dans mes pratiques. En permettant à mes élèves de faire des choix en classe, que ce soit au niveau du mobilier, des activités, de l’emploi du temps ou de leurs manières de faire, en constatant la portée de ces essais dans leur engagement, il me serait très difficile de faire marche arrière. Néanmoins, ces changements nécessitent, de mon point de vue, un accompagnement : le tutorat dont j’ai bénéficié, les connaissances qui m’ont été apportées représentent une garantie « confiance » qui permet de prendre des risques vis-à-vis des parents comme de ma hiérarchie.
"aimer chercher à apprendre" ?Pour reprendre une très belle phrase de leur parrain de projet qui donne toute la mesure de ce que les enfants ont appris cette année : « J’aime chercher, j’aime apprendre, j’aime apprendre à chercher et chercher à apprendre ».
Comme des universitaires !Sans aucun doute que pour ce groupe avec lequel nous approfondirons l’an prochain les compétences initiées cette année, les élèves continueront à chercher, à apprendre, à apprendre à chercher et à chercher à apprendre !
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