Il y a des constats que les politiques peuvent difficilement enjoliver. «Nous ne sommes plus le pays proposant la meilleure éducation. Nos jeunes ne sont plus les plus intelligents.» C'est en ces termes qu'Anita Lehikoinen, secrétaire d'État au ministère finlandais de l'Éducation, a commenté les résultats d'une étude menée par son ministère. Par cet aveu, la femme politique a alimenté dans son pays un débat houleux sur les problèmes des écoles finlandaises.