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Twitter à l'école
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C'est bien logique : quand on s'adresse à quelqu'un qu'on connaît on peut être moins vigilant.On est en effet plus vigilant lorsque l’on cherche à s’adresser à quelqu’un qu’on ne connaît pas encore.
C'est vrai que l'immédiateté apparaît comme une "prolongation"...Emmanuel Davidenkoff ajoute :
« En fait, ce n’est pas nouveau : la pédagogie Freinet avait déjà popularisé l’idée de s’adresser à l’autre en privilégiant la presse scolaire ou la correspondance épistolaire. Il y a un impact sur la façon dont on écrit. Twitter prolonge cette idée en rajoutant le principe d’immédiateté. »
Tautologie: l'utilisation du numérique a cet avantage d'être... une utilisation du numérique.« Ça peut paraître lourd mais ça permet aux élèves de valider les connaissances du brevet informatique et Internet qu’ils doivent de toute façon passer avant d’entrer en sixième. »
Nul doute que Twitter fait partie du monde qui entoure les élèves de primaire. Enfin, grâce à l'école moderne, c'est désormais possible !« Il faut enseigner aux enfants leur époque. S’ils ne se retrouvent pas dans le monde qui les entoure, l’enseignement ne passe pas. »
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Les pédagogistes comme Michel Guillou détestent le concept même de "liberté pédagogique", il est toujours important de le souligner.Par dessus tout, vous souhaitez qu’on respecte enfin votre sacro-sainte liberté pédagogique...
Ce qui est bien avec Michel Guillou, c'est que ce genre de choses ne risque pas de lui arriver, vu qu'il n'a pas d'élèves !Pire, il y a un risque non négligeable que vous croisiez un de vos élèves ! Habituellement, vous mettez tout en œuvre pour éviter d’avoir un rapport quelconque avec ces trublions bruyants, au-delà des cours, bien sûr.
Si Twitter est un endroit pour "penser", c'est effectivement inquiétant.Croyez-moi, non, vous n’avez strictement rien à dire à tous ces médiocres ni même rien à retirer de leurs babillages fielleux. Vous avez fort justement votre dignité et ne souhaitez pas condescendre à participer à cette cacophonie étriquée d’où la pensée ne sort pas grandie.
Tiens, Michel Guillou ne prend même pas la peine de réfuter les arguments de ceux qui critiquent cette pratique. Il est vrai que cela demanderait d'argumenter.Savez-vous que des maîtres irresponsables y font travailler leurs élèves ? On se demande par quel miracle cette noble institution qu’est l’Éducation nationale peut autoriser ces pratiques honteuses et particulièrement mesquines. Il serait temps de mettre bon ordre à tout ça et de mettre les jeunes à l’abri de ces bauges virtuelles.
Ah...Twitter, vous a-t-on dit, c’est un lieu idéal pour la vie sociale et la relation à l’autre.
Comprendre que ne pas se connecter à Twitter, c'est refuser l'engagement politique...Vous détestez plus que tout que les avis se valent et que n’importe qui parlant haut et fort puisse vous asséner ses convictions, qui plus est si elles sont politiques et donc nauséeuses.
De fait on ne trouve que rarement des références contradictoires sur les sites pédagogistes comme ""EducaVox" et bien d'autres... Sur LVM, on les trouve, avec le lien valide qui plus est. La preuve avec cet article, d'ailleurs.Fuyez donc ce réseau social qui s’assoupit à la remorque de curateurs — encore un mot branché qui devrait vous irriter — auto-proclamés et suffisants qui exercent une forme néo-moderne de censure de l’information.
Ils veulent "partager"... mais en ignorant ou en bloquant ceux qui leur portent la contradiction ! Un "partage" très endogène, finalement.Mais ce qui devrait vous rebuter davantage, c’est que la norme, sur les réseaux sociaux et sur Twitter en particulier, c’est celle de l’échange et du partage. Que veulent tous ces gens à partager les informations qu’ils détiennent ? Qui sont-ils ? Quels sont leurs réseaux ?
Sans oublier ceux qui, en lieu d'argumentation, insinuent, invectivent ("le pourrisseur"), ou mettent en cause votre professionnalisme.
En vérité les réseaux sociaux sont moins un lieu de rencontre qu'un lieu de recherche du même, de l'identique.
Quand on voit qu'une collègue déchargée de service trouve le temps de créer et d'alimenter un "twittmooc" pour expliquer le fonctionnement (simplissime) d'un réseau commersocial, on peut effectivement se poser des questions.Le pire vient quand on vous demande de collaborer à des projets collectifs voire collectivistes ! S’il y en a un qu’il convient de fuir à toutes jambes, c’est bien le TwittMooc qui se donne pour mission d’accueillir les nouveaux participants.
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