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Enseigner l'informatique à l'école
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Parcours distanciel algorithmique et programmation
L’objectif général de ce parcours est de permettre aux enseignants d'améliorer leurs compétences avec l'objectif de mettre en place la partie en algorithmique et programmation du programme de cycle 4 de mathématiques.
Objectifs pédagogiques : L’objectif général de ce parcours est de permettre aux enseignants d'améliorer leurs compétences avec l'objectif de mettre en place la partie en algorithmique et programmation du programme de cycle 4 de mathématiques.
Durée : La durée de ce parcours est estimée à 3 heures.
Pré-requis : Aucun
Le parcours est accessible à l'adresse suivante après vous être authentifié à l'aide de vos identifiants de messagerie académique: magistere.education.fr/dgesco/course/view.php?id=929
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Affelnet est aussi accusé pour le mystère entretenu sur son algorithme qui profiterait aux familles bien informées...
"Vous n'imaginez pas reprendre le pouvoir en divulguant l'algorithme d'Affelnet", rétorque P Thénot. "Il est bien trop complexe. C'est une question de confiance politique pas de numérique".
www.laviemoderne.net/veille/pilotage-eco...cole-numerique#16531
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Extrait :
L'aventure Niel, ou l'histoire d'un hacker né. Après s'être attaqué aux monopoles des télécommunications, dont il aimerait voir inscrit en épitaphe qu'il les a «cassés», le patron de Free s'en prend à nouveau au système éducatif. Une deuxième école 42, destinée à former 10 000 autres génies du code informatique, devrait voir le jour à partir de novembre prochain dans la Silicon Valley. «L'école 42, c'est un piratage du système. C'est prendre l'éducation et dire ‘on n'a plus besoin de profs', c'est appliquer l'économie collaborative à l'éducation… On est les premiers à le faire au monde, et c'est une forme de hacking», explique-t-il dans une interview à Society à paraître vendredi.
Pour suivre ce «combat personnel» en faveur d'un savoir non réservé aux seules élites et élèves de grandes écoles, la 7e fortune de France - ou 10e selon les sources - investit massivement. L'argent qu'il a amassé ces dernières années, et qui lui vaut selon lui un nombre d'amis de plus en plus restreint, lui permet de mettre en œuvre sa vision. Avec le rêve, qu'un jour, un élève de 42 biberonné à la «logique» et à la «motivation» le surpasse. «Parce que l'État n'a plus d'argent mais moi j'en ai, je pense qu'investir dans un truc comme l'école 42, c'est en faire bon usage. [...] Au bout, vous pouvez penser que cette école n'est pas élitiste, mais je peux vous dire que les mômes de l'école 42, ce sont des stars!»
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En savoir plus sur www.lemonde.fr/campus/article/2016/06/01...#UjxTOGp9ZFKloyPA.99Ces deux seules pages sont largement insuffisantes pour déterminer si les instructions informatiques appliquent correctement les critères déterminés et rendus publics par le ministère pour orienter les élèves. Seul un examen exhaustif du code permettrait de détecter d’éventuelles erreurs. Le ministère explique cette discrétion « par des raisons de sécurité, afin d’éviter les attaques informatiques », mais aussi « par souci de compréhension, le code source faisant 250 pages de lignes de codes incompréhensibles ».
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Voir : ecolededemain.wordpress.com/2016/06/24/u...grammation-a-lecole/1,2,3... codez !
Le projet « 1, 2, 3… codez ! » vise à initier élèves et enseignants à la science informatique, de la maternelle au collège.
Il propose à la fois des activités branchées (nécessitant un ordinateur, une tablette ou un robot) permettant d’introduire les bases de la programmation et des activités débranchées (informatique sans ordinateur) permettant d’aborder des concepts de base de la science informatique (algorithme, langage, représentation de l’information…). Ces activités sont organisées en progressions clés en main, propres à chaque cycle, mettant en avant une approche pluridisciplinaire et une pédagogie active telle que la démarche d’investigation ou la démarche de projet.
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... et après avoir fait l'essentiel de sa fortune dans le porno et le Minitel Rose : www.liberation.fr/societe/2006/09/14/le-...patron-de-free_51272Après s'être attaqué aux monopoles des télécommunications, dont il aimerait voir inscrit en épitaphe qu'il les a «cassés»
On sent la revanche de l'ancien cancre dont les profs n'ont pas reconnu le génie. Plus généralement, je suis surpris par la rage vengeresse qui anime de nombreuses personnes parmi les "pédagogues" et les apôtres du numérique. A croire qu'ils ont un compte personnel à régler avec l'école, qui malgré toutes les réformes proposées et entreprises, ne sera jamais assez bien pour eux.le patron de Free s'en prend à nouveau au système éducatif.
Et sinon, dans un tout autre registre, parlons un peu de Scratch : j'ai dit l'an dernier que mes collègues du Campus de Pau avaient décidé, pour les cours d'algorithmique de prépa intégrée, de laisser tomber les langages de programmation classiques (en l'occurrence, Pascal) pour passer à Scratch. Ceci afin de faire découvrir plus facilement l'algorithmique et la programmation. Au bout d'un an, l'échec a été complet : Scratch n'offrait aucune valeur ajoutée, et pire, les élèves ne voulaient pas travailler : moins on leur en donnait, moins ils voulaient en faire. Résultat : cette année, les élèves sont repassés à Pascal. Et l'an prochain, nous utiliserons Python comme langage de programmation, afin de nous aligner sur les prépas classiques CPGE.
Autre expérience ratée : cette année nous avions décidé de supprimer la partie algorithmique (abstraite, en pseudo-code) pour nous concentrer sur la partie programmation. Résultat : les élèves n'avaient aucune capacité d'abstraction, et prenaient de très mauvaises habitudes devant leur machine (du genre, se jeter sur le code plutôt que de comprendre le sujet). Du coup, nous allons rétablir la partie algorithmique l'an prochain.
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