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Le BYOD ou la promotion du smartphone à l'école
- C'est pas faux
C'est amusant de constater comment fonctionnent les journalistes : maintenant que, depuis votre canular, ils ont vos coordonnées, ils viennent vous chercher sur tout sujet. Tant mieux, en tout cas.
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- Loys
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Mais c'est vrai que certains médias me rappellent pour d'autres sujets, comme en ce moment le bac et la fraude. Il faut dire aussi que j'ai écrit un article à ce sujet, et que je revendique le droit au coup de gueule !
L'émission est en écoute ici : www.franceculture.fr/emission-ru ... -ecrans-da
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- Loys
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Des parents ont déposé plainte, considérant que cette interdiction était irrationnelle, dangereuse pour les enfants et portait atteinte au droit d'un parent à décider de l'attention à porter à son enfant, mais un jugement a confirmé cette interdiction, en raison des perturbations et de la triche induites par les téléphones portables : "L'interdiction est une façon raisonnable de préserver un environnement éducatif sain et ne viole aucun droit." (source : www.nydailynews.com/news/state-c ... e-1.250912 )
En conséquence, des sociétés de gardiennage de portable installent des camions ou ouvrent des boutiques devant les établissements scolaires, l'interdiction générant un véritable marché captif (jusqu'à un dollar par jour !).
Malheureusement des vols massifs ont accompagné l'essor de ce marché, de sorte que les parents réclament à présent des casiers fermés à l'intérieur des écoles. (Source : www.businessinsider.com/new-york ... 2012-06-18 et www.nypost.com/p/news/local/pay_ ... oAcNBGD6UP )
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- Loys
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Et à trop vouloir les interdire sans discernement (même si les autoriser sans discernement serait plus grave encore),
Le discernement, c'est une option dans l'abonnement ?
A.
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- Loys
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Tout en bas de la même page ces informations : "Les co-fondateurs : AN@E - APPLE France éducation - BIOTICS International - CYBION - France Télévisions, Curiosphere.tv - ORANGE - PROVINCE DE LIEGE Enseignement - SMART Technologies".
Maintenant vous pouvez lire l'article !
"Promouvoir les smartphones à l'école : un paradoxe ?"
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- Loys
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Commentons.
Enfin les mobiles ne s'allument pas tout seuls. L'art de la métonymie.Gérer les mobiles en classe
Ah... C'est donc au professeur de se questionner de manière éthique et morale sur la gestion des mobiles des élèves.L'auteur invite à se questionner de manière éthique et morale sur la gestion des mobiles dans les salles de cours...
Le mieux vivre ensemble oui, mais surtout AVEC les portables....afin de faire ressortir des pistes permettant de favoriser les apprentissages scolaires et le mieux vivre ensemble.
Appliqué à d'autres situations, ce raisonnement est convaincant. Renoncer à interdire les dépassements de vitesse parce que les automobilistes adoptent "des stratégies de contournement" par exemple...Dans bon nombre d'écoles secondaires et centres de formation du Québec, les appareils mobiles des élèves sont interdits car ils nuisent en règle générale aux apprentissages scolaires. Cette interdiction, au vu des situations relatées par plusieurs enseignants et relayées par Benoit Petit dans sa présentation, constitue de prime abord une solution simple et pratique. Cela peut néanmoins tout aussi bien engendrer des difficultés plus importantes encore si l'on considère notamment les stratégies de contournement adoptées par les élèves. Cet atelier vise donc à mener une réflexion globale sur les différentes manières de gérer les téléphones portables et plus généralement les appareils mobiles des élèves en classe.
C'est curieux, de parler de morale et d'éthique à adapter en fonction de leurs éventuelles "conséquences". :scrUne réflexion éthique
Benoit Petit propose une approche de la problématique de gestion des mobiles en distinguant éthique et morale. L'éthique vise selon l'auteur à envisager une compréhension du phénomène de manière globale et de percevoir les différents points de vue (distanciation) tandis que la morale se situe davantage du côté de l'individu, à son positionnement propre et à la défense de son opinion en fonction des valeurs auxquelles il adhère (implication). Ainsi l'auteur suggère de se questionner de manière éthique sur les autres choix éventuels entre l'interdiction pure et le laisser-aller, les conséquences positives et négatives pour soi, les autres et le groupe de tels usages, les choix et les actions favorisant le mieux vivre ensemble.
Ça méritait bien un vrai temps de réflexion.Impliquer les élèves
Le scénario imaginé par l'auteur consiste à inviter les élèves à apporter tous leurs appareils mobiles en classe, à les disposer sur une table centrale afin de les observer puis à réfléchir à la manière de les utiliser à l'école, notamment en leur demandant en quoi l'usage des mobiles en cours peut nuire aux apprentissages. Plusieurs éléments de nuisance sont évoqués par les participants : bruit, distraction, perte de concentration, vol, accentuation de la fracture numérique. Cette question des "effets nuisibles" est également posée vis-à-vis des individus : frein à la spontanéité, gestion du temps de l'enseignant, captation d'images et de vidéos au sein de la salle de classe.
C'est curieux, mais tous ces avantages me semblent plutôt des inconvénients. :xxA l'inverse, Benoit Petit invite les acteurs présents à réfléchir également sur les effets pédagogiques bénéfiques (disponibilité des sources, accessibilité, travail collaboratif, personnalisation des apprentissages, accès à des outils de production, mobile comme outil d'engagement de l'élève) et sur l'aide apportée aux personnes (autonomie, coût moindre en matière d'équipement, motivation accrue, rétroaction immédiate pour l'enseignant).
Donc autoriser en comptant sur la sensibilisation morale des élèves. M. Petit a-t-il déjà enseigné ? :penduCes différentes propositions orientent les échanges sur la possibilité d'énoncer des règles qui permettraient "d'aider sans nuire" aux apprentissages.
Le prêt d'appareil est assez cocasse...A nouveau plusieurs idées sont mises en avant : passage en mode vibreur, périodes d'utilisation déterminées, visibilité physique des appareils, outil d'évaluation des traces, prêt d'appareils mobiles pour garantir une certaine équité, co-élaboration avec les élèves d'une charte d'utilisation des mobiles.
Voilà qui va être simple...Ces règles se doivent d'être accompagnées des modalités de gestion (élèves et enseignants, auto-gestion, sanctions, identification des exceptions)
C'est très aimable à lui...Des considérations à retenir
Benoit Petit souligne un certain nombre de points qu'il juge essentiels dans la gestion des appareils mobiles en classe. Il estime qu'il est "très important d'impliquer les élèves dans le processus" mais qu'il ne faut non plus "négliger le point de vue de l'enseignant...
Ah... on peut aussi apporter son baladeur, sa console, sa tablette etc. ?...(prise en compte des craintes, démarche progressive) tout en veillant à faire la part des choses en faisant ressortir aussi bien "le positif que le négatif". Ces trois considérations, selon l'auteur, ne s'appliquent pas d'ailleurs uniquement aux seuls appareils mobiles mais peuvent être ré-utilisées pour l'ensemble des TIC qu'elles soient nomades ou non.
Il faut que je trouve un smiley qui fume...
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- Loys
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Une question : "Ouest-France" a-t-il consacré un article au fléau des portables à l'école ?
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- Loys
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- Loys
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"Technopédagogue", rien que ça.François Guité, Consultant québécois en éducation et nouvelles technologies et Jacques Cool, Technopédagogue au Nouveau-Brunswick, province orientale du Canada, proposent sur quatre épisodes, leur vision "outre-mer" sur des questions d’actualité sur l’avènement et l’intégration des nouvelles technologies en éducation.
Eh oui, avec un nouvel Android tous les six mois et une obsolescence programmée de tous les matériels technologiques, l’Éducation Nationale - avec sa lourdeur et son inertie - est nécessairement toujours en retard sur le dernier cri du marché.L’accélération de l’évolution fait en sorte que les élèves ne peuvent plus continuer à dépendre des achats nationaux ou locaux.
Ils vont donc "composer avec la diversité" en utilisant non pas un matériel autre, mais le leur.En outre, l’uniformité des appareils numériques dans les institutions scolaires sert mal les élèves, lesquels doivent apprendre à composer avec la diversité des outils numériques.
Sans parler du plan du ludo-éducatif, très développé surtout pour la première partie du terme.La plupart des élèves, de toute façon, possèdent déjà des ordinateurs qu'ils ont personnalisés, tant sur le plan de l'environnement de travail que de la méthode, voire les compétences.
Forcément, les malheureux. L'école aussi, d'ailleurs, ralentit les possibilités.L'imposition d'un appareil numérique dont l'environnement et les fonctions sont limités est perçue par les élèves non comme un moyen d'autonomisation (empowerment), mais une forme de ralentissement des possibilités (power down).
Quelle idée fulgurante : au lieu d'interdire, utilisons ! Notez que "Samsung Galaxy player II" devient un "dispositif".Profitant de l'essor fulgurant des mobiles personnels, certaines écoles adoptent une nouvelle stratégie TICE qui repose sur l'utilisation des dispositifs des élèves.
Ça valait donc le coup (et le coût).Le phénomène, auquel on a donné le nom « BYOD » (Bring Your Own Device), est désigné en français par l'acronyme AVAN (apportez votre appareil numérique). Au Canada comme ailleurs, malgré les hésitations des services informatiques et des directions, le mouvement gagne des adeptes. Le plus souvent, les écoles qui ont mis en place des programmes d’un ordinateur par élève se sont laissées envahir par les dispositifs des élèves.
Et apprendre à s'approprier un autre appareil n'a évidemment aucun avantage.Tout utilisateur du numérique reconnaît les avantages d'un appareil qu'il s'est approprié.
Tiens, un nouveau mot.Dès lors que les technologies du numérique sont là pour rester, et du fait de leur indispensabilité...
Le mot "consommation" est bien choisi.... il importe d'éduquer les enfants à leur consommation.
L'argument est donc toujours celui - volontariste - du "on-ne-peut-rien-y-faire" puisque les dispositifs jouissent d'une "indispensabilité". C'est vrai que c'est convaincant, d'un point de vue pédagogique.
Ah oui, c'est tout de suite mieux. Transformer l'achat d'un iPhone d'importation chinoise en geste citoyen, il fallait le faire.Par consommation, nous entendons ici non seulement l'achat et l'utilisation personnelle d'un bien, mais l'analyse critique, l'utilisation citoyenne, le partage, la préservation, l'entretien, la réutilisation et le recyclage de ce bien.
Avec un soupçon de développement durable, pour faire bonne mesure.
Des "consommateurs responsables" : voilà un bel oxymore qui résume l'essence libérale de ce projet en même temps que la bien-pensance de ses promoteurs.Ainsi, mieux que les TICE gérées par l'institution, l'AVAN fait que les élèves apprennent à devenir des consommateurs responsables et contributeurs avertis du numérique.
Nooonnn ??!!Par souci d'objectivité, l'AVAN n'a pas que des avantages pour un système scolaire.
Ils devraient même apporter leur console de jeux.Online Colleges résume bien les avantages et les inconvénients de l’AVAN, que nous traduisons ci-dessous :
Avantages :
• les élèves utilisent des appareils qui leur sont familiers ;
C'est beau, une école où l'élève doit acheter le matériel. Pourquoi n'a-t-on pas fait ça avant, en faisant acheter les chaises, les tables par les familles ?• économies pour les écoles qui n’ont pas à payer les appareils ;
On s'en moque, qu'ils en prennent soin, d'ailleurs, puisque c'est leur problème.• les élèves sont plus enclins à prendre soin du matériel et à ne pas l'oublier ;
Un engagement et un contrôle mesurés scientifiquement en laboratoire.• les élèves sont plus engagés et en contrôle de l'apprentissage ;
Traduction : le dernier iOS ou Android Jelly Bean.• ils ont accès à des technologies plus d’avant-garde.
Il n'y a qu'acheter des smartphones à tous les pauvres.Désavantages :
• les TIC ne sont pas à la portée de tous les budgets familiaux ;
Quelles distractions ? Tous les jeux ne sont-ils pas éducatifs ?• les élèves sont plus enclins aux distractions sur leurs propres appareils ;
Oui mais imposer une application commune risque d'être perçu "par les élèves non comme un moyen d'autonomisation (empowerment), mais une forme de ralentissement des possibilités (power down)"...• les applications ne sont pas compatibles avec tous les systèmes d’opération ;
Ce qui est bête, pour un téléphone.• il peut être difficile de communiquer entre les appareils ;
Ce n'est pas à, la charge des familles ?• coûts additionnels sur le plan de la sécurité et des services informatiques.
"Sous l'empire de l'enseignant" ?Les désavantages de l'AVAN varieront considérablement en importance selon le contexte et les conditions d'utilisation. La stratégie fait peu de sens dans une classe où les élèves sont constamment sous l'empire de l’enseignant.
Bref le chaos dans la classe, mais attention : le chaos voulu. Les noms des "spécialistes (autoproclamés) de l'éducation" me brûlent les lèvres.L’AVAN nécessite une pédagogie particulière centrée sur l’apprenant, sur la différenciation, sur l’autonomisation et sur la collaboration, des considérations dont les spécialistes de l'éducation reconnaissent aujourd'hui l'importance.
Une évidence...L'AVAN ne favorise pas nécessairement les riches. Puisque les jeunes sont aujourd’hui plus enclins à partager...
Les pauvres pourront donc toujours apprendre sur les "dispositifs" des gentils riches qui leur prêteront avec une générosité toute moderne. Mais quid des "avantages d'un appareil qu'il s'est approprié" ?...... ils se prêtent et s’échangent volontiers les appareils numériques, de sorte que ceux qui en sont dépourvus ont néanmoins l’occasion d’apprendre à utiliser les appareils avant d’en acquérir.
Les pauvres pourront observer les riches plus seulement hors de l'école, mais dedans. Un grand progrès.Les plus fortunés jouissent déjà de l’avantage des mobiles à l’extérieur de l’école. En les admettant à l’école on permet à tous de faire certains apprentissages, ne serait-ce que par observation.
Responsabilité que l'on peut aller constater en images : www.laviemoderne.net/veille/viewtopic.php?f=41&t=280On assiste à une plus grande ouverture face aux initiatives AVAN de la part des responsables en services informatiques. Des stratégies de gestion des appareils qui accèdent aux réseaux (liste « blanche », meilleurs points d'accès sans fil, logiciels de gestion de mobiles, concertation avec les éducateurs, politiques d'utilisation) font en sorte que les écoles s'ouvrent à cet influx d'appareils. Conséquemment, il y a une responsabilité accrue qui revient à chaque utilisateur, en soi une forme d'éducation associée à la gestion de l'identité numérique.
Au cas où vous rencontreriez une quelconque résistance de quelque esprit rétrograde.Devant ces considérations pédagogiques, techniques, administratives et d’équité d’accès, il convient de lister quelques conseils (tirés de cet article en anglais) pour les instigateurs de l’AVAN en milieu scolaire :
Et les inconvénients, il faut les afficher ?1. Soyez explicites quant aux buts et aux options et affichez les bénéfices pédagogiques. Ceci aidera à la mesure de vos progrès.
Une vraie question.2. Un plan clairement articulé favorisera l’engagement des autorités et des parents, ainsi que l’appui de partenaires.
3. Déterminez si vous permettrez les appareils en connexion wifi ou 3G/4G.
Les chartes résolvent tout. Et attention, pour le ton proactif, entrainez-vous avant devant une glace.4. Mettez à jour (ou générez) une charte d’usages appropriés en employant un ton proactif.
Nul doute qu'un enfant plus libre est un enfant plus responsable....mais qui balise clairement les usages. Avec la liberté vient la responsabilité.
Cette phrase a l'air de vouloir dire quelque chose, mais en fait elle est purement décorative.5. Établissez les protocoles d’appui et de soutien technique par les services informatiques de votre institution.
Savoir faire un reset, par exemple.6. Accompagnez les enseignants dans leur appropriation professionnelle de l’AVAN : approches pédagogiques qui intègrent judicieusement les mobiles, soutien technique de premier niveau (troubleshooting).
7. Ayez un plan clair qui s’adresse aux questions d’équité d’accès...
Joli, la "flotte d'appui". Ayez toujours quelques smartphones au cas où un élève aurait oublié d'être responsable et engagé....une flotte d’appui pour ceux et celles qui n’ont pas d’appareil, représentant une fraction de ce qu’un programme 1:1 coûte.
C'est noté.8. Préparez votre réseau sans fil pour l’influx d’AVAN afin que ces appareils soient dirigés vers un LAN distinct (séparé du réseau sécurisé principal, genre ‘Invité’) à bande large.
Ça ne risque pas de faire doublon avec l'ENT ?9. Offez une plateforme mobile, collaborative et sécurisée afin que les élèves, les parents et enseignants puissent y télécharger travaux, messages, ressources et discussions, etc.
Et l'efficacité scolaire, on en parle quand ?10. L’AVAN est un changement énorme pour une école : soyez préparés, mais soyez flexibles. Les pépins de parcours font aussi partie du processus d’apprentissage.
Jusqu'ici l'école ne formait pas à l'autonomie : la preuve, les adultes sont incapables d'utiliser un smartphone ou de réfléchir par eux-mêmes.L'AVAN ne doit pas être évalué au regard de quelques difficultés actuelles, mais comme une éducation à l'avenir. Apprendre à apprendre, c'est voir à la formation continue; or, si on ne forme pas aux réseaux et à l'autonomie, alors on est en formation discontinue.
Et on ne fait pas d'Hamlet sans casser des œufs.Apprendre, ou dépendre, là est la question de l'éducation.
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