Twitter et la loi française
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Et pourquoi j'essaye de discuter avec vous...
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Si vous voulez "décrire la loi française", merci de donner des liens vers les textes de loi qui valident vos propos. Parce que j'ai de mal à me fier à l'avis juridique de quelqu'un qui prétend sans sourciller que les licences Commons seraient illégales...
Wikibuster écrit: ...la haine que vous déployez contre les bannis de Wikipédia...
Les bannis de Wikipédia dans votre genre, qui ont comme objectif de "faire couler Wikipédia", on les empêche d'agir sur Wikipédia. Il n'y a que vous pour trouver ça anormal.
Quant à la haine, vous devriez vous relire car c'est vous qui en avez à revendre.
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Allez au Musée en question, on en reparle après sinon restez à lire Wikipédia le monde qui vous va comme un gant."Quel est le rapport avec la presse du début du siècle précédent ?"
C'est mon point de vue vous avez le votre, amenez vos sources je les lirai avec intérêt sinon je reste avec l'idée que ce charabia pseudo juridique n'a aucune valeur en France."quelqu'un qui prétend sans sourciller que les licences Commons seraient illégales..."
Je combats votre organisation comme d'autres combattent la Scientologie, sans haine spéciale d'ailleurs contrairement à vos coreligionnaires de la secte Wikipédia et à vous-même je ne suis jamais grossier ni n'exprime de mépris pour les contributeurs de Wikipédia.
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- Typhon
- Auteur du sujet
Wikibuster écrit: "quelqu'un qui prétend sans sourciller que les licences Commons seraient illégales..."
C'est mon point de vue vous avez le votre, ammenez vos sources je les lirai avec intérêt sinon je reste avec l'idée que ce charabia pseudo juridique n'a aucune valeur en France.
Il n'est pas question ici de point de vue. Il y a le droit et la loi. Que ce soit dans le sujet qui nous occupe (les tweets racistes), ou les licences Commons, votre point de vue n'a pas de raison d'être.
Il n'est pas question ici d'opinion divergentes, de goûts et de couleurs.
Sur les questions de droit, il n'est pas plus question d'opinion que pour la théorie de la gravitation. Il faut être factuel.
Une "opinion" divergente des faits, ce n'est pas une opinion, c'est une erreur.
Comme je l'ai dit précédemment, pour étayer des affirmations juridiques, vous devez citer les articles de loi, la jurisprudence si elle existe, bref, bâtir un raisonnement, une démonstration documentée.
Comme vous en êtes manifestement incapable, ce que vous dites n'est que de la roupie de sansonnet.
Souffrez, cuistre, qu'on vous ignore, et laissez discuter les gens qui ont autre chose que des imbécillités péremptoires à proposer.
Typhon
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Extrait :
Un sentiment d’impunité, jusqu’à quand ?
Sur Twitter, il existe certes un sentiment d’impunité grâce à l’anonymat. Mais en juillet 2011, l’éditeur de sites Zlio a été condamné à 10 000 euros d’amende pour un tweet de son PDG, Jérémie Berrebi. Il l’a supprimé depuis. Il dénigrait un site de référencement. Sur son blog, le PDG a annoncé sa décision de faire appel. A la différence des tweets homophobes et racistes de ce week-end, il « tweetait » en son nom.
Mise en demeure de supprimer des tweets – comme dans l’affaire Anne Hidalgo –, citation à comparaître, les utilisateurs français de Twitter ont souvent été menacés d’être traînés devant la justice pour leur virulence en 140 signes. Mais que l’on sache, aucun des utilisateurs ayant rédigé des messages antisémites #UnBonJuif n’a été poursuivi.
Blandine Poidevin, avocate spécialisée dans le droit d’Internet assure qu’une condamnation Twitter serait « tout à fait possible ».
Au Royaume-Uni, la jurisprudence a tranché. Un homme politique britannique, Colin Elsbury, a été condamné à payer 3 000 livres (environ 3 600 euros) pour diffamation, après avoir tweeté, a tort, l’évacuation d’un bureau de vote de son opposant par la police.
Les lois sur la presse et la liberté d’expression inadaptées
Poursuivre en justice 10 000 personnes ? C’est ce que menace de faire Alistair McAlpine, un lord anglais. Un reportage de la BBC diffusé le 2 novembre accusait, sans le nommer, ce politicien britannique de premier plan de l’ère Thatcher d’avoir abusé d’enfants d’un orphelinat, sur la base d’un témoignage.
Les avocats de McAlpine ont identifié « une vingtaine » de comptes Twitter disposant d’un nombre particulièrement important d’abonnés. Il va les attaquer en diffamation.
Notre journaliste Martin Urtensinger expliquait que cette affaire mettait en lumière, une fois de plus, à quel point les lois sur la presse et la liberté d’expression sont inadaptées à Internet ]Est-on responsable du contenu que l’on partage à l’identique sur les réseaux ? Peut-on mettre sur le même plan un article de presse et un « tweet » ? Les réseaux sociaux sont-ils strictement publics ou privés ? Lors de l’affaire #unbonjuif, c’est ce que rappelait un article des Inrocks, qui déplorait « la judiciarisation du champ de la conversation » : « Internet n’est qu’une grande conversation, qui a la particularité de se dérouler le plus souvent en public et sans aucune barrière à l’entrée (tout le monde peut y participer, même les plus jeunes). Conséquence : des propos de cour de récré sont maintenant soumis au droit de la presse qui punit la diffamation, l’injure, la provocation à un délit, le racisme, l’antisémitisme ou l’homophobie. »
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Je ne dois rien du tout... Tout votre baratin ne vaut que dans votre monde étriqué. Votre étroitesse d'esprit, votre absence totale de distance, votre pensée à une seule dimension sont bien la preuve que votre univers wikipédien est dangereux pour la liberté de penser et pour la liberté tout court. Vous n'êtes pas là pour discuter mais pour défendre contre vents et marées votre idéologie numérique annonçant un monde nouveau, de la même façon que ces sympathiques dames des Témoins de Jéhovah qui sont venues essayer de me vendre leur religion hier soir.Typhon écrit: Comme je l'ai dit précédemment, pour étayer des affirmations juridique, vous devez citer les articles de loi...
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Wikibuster écrit: ... contrairement à vos coreligionnaires de la secte Wikipédia et à vous-même je ne suis jamais grossier ni n'exprime de mépris pour les contributeurs de Wikipédia.
Ça doit être ça qu'on appelle "avoir l'esprit de contradiction", quand on se contredit soi-même dans la même phrase.
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